Philip Giraldi – 18 avril 2025 – Source Unz Review
Ma réécriture de la célèbre citation de Lord Palmerston concernant les « intérêts » pour qu’elle reflète la réalité d’Israël et de ses puissants amis serait à peu près la suivante : « Je dis que c’est une politique étroite que de supposer qu’Israël doit être désigné comme l’allié éternel ou l’ami perpétuel des États-Unis et des valeurs occidentales éclairées. De par sa conception, Israël n’a pas d’alliés éternels. Ses intérêts sont en effet perpétuels, mais ils sont centrés sur son propre succès à se présenter agressivement comme la victime tout en faisant avancer ses propres intérêts tribaux ». Il est vrai que j’ai souvent tendance à penser à l’ennemi que la tradition chrétienne occidentale a nourri en son sein pendant des décennies dans un esprit de tolérance, une vipère qui ne cherche qu’à nous corrompre, puis à nous détruire, ce qui se manifeste particulièrement en cette période de l’année où la vie et la mort de Jésus-Christ devraient être célébrées à juste titre. Hélas, dans l’Israël d’aujourd’hui, ce qui est vraiment remarquable, c’est la suppression ouverte par le gouvernement de l’identité et du culte chrétiens, sans qu’aucune plainte ne vienne de Washington ou des autres nations nominalement chrétiennes d’Europe.
Dans les années 1970, j’ai participé au cours de Field Trade Craft destiné aux nouveaux Case Officers dans le principal centre de formation de la Central Intelligence Agency, situé à Camp Peary, près de Williamsburg, en Virginie. Peary était et est toujours appelé par tous « la ferme », bien que l’élevage n’y soit que très rudimentaire. L’un des instructeurs avait affiché sur la porte de son bureau une partie d’un poème de Rudyard Kipling. On pouvait y lire : « Le crapaud sous la herse«
Le fait que Ghislaine Maxwell 

Dire que des choses étranges sont sorties récemment de la Maison Blanche serait un euphémisme. Si le président Donald Trump en savait un peu plus sur l’histoire, il comprendrait que les pays qui louent leurs armées nationales pour servir de mercenaires finissent généralement par tenir le mauvais bout du bâton.



