Par Nate Bear – Le 3 décembre 2025 – Source Do not panic
Une entreprise ayant des liens étroits avec les services de renseignement israéliens supervise la cybersécurité dans plus de soixante-dix agences gouvernementales américaines, y compris le ministère de la Défense et de la Sécurité intérieure.
Axonius a été fondée par d’anciens espions de l’unité 8200 israélienne et son logiciel [Pegasus, NdT], qui permet à un opérateur de « voir et de contrôler tous les types et le nombre d’appareils« , donc de collecter et analyser les données numériques de millions d’employés fédéraux américains.
L’objectif déclaré de la plateforme Axonius est de centraliser les outils informatiques pour identifier et corriger les failles de sécurité. En tant que produit des renseignements israéliens, cependant, l’ampleur de l’utilisation d’Axonius dans l’ensemble du gouvernement américain soulève de sérieuses questions.
Un agent notoire du MI6 britannique a infiltré l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) pour le compte de Londres, selon des documents divulgués examinés par The Grayzone. L’agent, Nicholas Langman, est un vétéran du renseignement qui revendique le mérite d’avoir aidé à organiser la guerre économique de l’Occident contre l’Iran.
Le Centre national chinois d’intervention d’urgence contre les virus informatiques a publié lundi son dernier rapport sur l’opération Typhon Volt, exposant une fois de plus les opérations de cyber-espionnage et de désinformation menées par les agences gouvernementales étasuniennes, y compris une technique permettant d’induire en erreur les enquêtes et piéger d’autres pays en les accusant d’activités de cyber-espionnage menés par les Etats-Unis eux-mêmes.
Le député Matt Gaetz (R-FL) a demandé une enquête sur les allégations formulées par un « officier supérieur du renseignement de la CIA accrédité top secret » lors d’une rencontre sous couverture avec le journaliste James O’Keefe, travaillant pour le O’Keefe Media Group.


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L’échelle est colossale : ce sont les procureurs généraux de pas moins de 40 États des États-Unis qui se rassemblent pour accuser Google de duper ses utilisateurs. Cette fois-ci, les poursuites sont centrées sur la pratique consistant à laisser penser aux utilisateurs qu’ils ont bien débrayé la fonction de suivi du positionnement géographique depuis leur compte, alors que la société continue de collecter des données à leur sujet.
Le 14 octobre 2016, The Daily Beast