Par Moon of Alabama – Le 13 janvier 2025
Vendredi, j’ai manqué cette info au sujet de l’Iran :
L’envoyé de Trump en Ukraine déclare que le monde doit rétablir une « pression maximale » sur l’Iran
Par Moon of Alabama – Le 13 janvier 2025
Vendredi, j’ai manqué cette info au sujet de l’Iran :
L’envoyé de Trump en Ukraine déclare que le monde doit rétablir une « pression maximale » sur l’Iran
Par Alastair Crooke – Le 10 janvier 2025 – Source Strategic Fondation
La semaine dernière, Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères, qualifiait d’insatisfaisantes les propositions de paix de l’équipe Trump pour l’Ukraine. Pour l’essentiel, le point de vue russe est que les appels à geler le conflit passent précisément à côté de l’essentiel : Du point de vue russe, de telles idées – conflits gelés, cessez-le-feu et forces de maintien de la paix – sont loin de correspondre au type d’accord « global » fondé sur un traité que les Russes préconisent depuis 2021.
Sans une fin durable et permanente du conflit, les Russes préféreront compter sur une issue sur le champ de bataille, même si leur refus risque fort d’entraîner la poursuite d’une escalade – voire d’une escalade menant au nucléaire – de la part des États-Unis.
La question qui se pose est donc la suivante : Une paix durable entre les États-Unis et la Russie est-elle vraiment possible ?
Par Brandon Smith − Le 10 Décembre 2024 − Source Alt-Market

En octobre 2024, la Russie a accueilli le sommet annuel des BRICS dans la ville de Kazan avec l’intention de montrer l’unité entre les nations en développement et les intérêts généraux de l’Est. Le Kremlin, cible des sanctions sévères de l’OTAN depuis le début de la guerre en Ukraine, a réussi à consolider les garanties économiques des partenaires des BRICS et à contourner les contrôles économiques occidentaux.
Par Zénon – Janvier 2025

Le confort favorise le mental.
Le mental aime le confort.
Peu s’épargnent le supplice de Tantale
de vouloir demeurer dans la forme.Le Père et la Mère
sont unis dans l’éternité.
Rien dans nos souvenirs
ne peut nous l’ôter.Nous sommes l’ombre et la lumière
au théâtre des faux amants.
Soyons l’union des hémisphères
à la croisée du moment.
Zénon
Extrait du recueil de poèmes inédits « Hérésies« de Zénon. À retrouver dans Les Chroniques de Zénon
Le désert croît ; malheur à qui recèle des déserts. La concentration de la population et la désertification d’autres territoires sont essentiels.
Janvier 2025 – Source Nicolas Bonnal

Comme je l’ai souligné des pays comme le Canada ou l’Australie sont d’immenses territoires vides et féodaux qui concentrent leurs populations dans quelques (je dis bien : quelques) villes. Cinq villes possèdent 80% de la population australienne : Sydney, Melbourne, Brisbane, etc. En Arizona, Phoenix comprend 70% de la population de cet Etat démocrate « remplacé ». Et au Canada par exemple (40% de la population concentrée à Montréal et Toronto) 66% de la population du Manitoba vit à Winnipeg. Populations concentrées, soumises, vite remplacées et numérisées. On l’a vu au moment des grands confinements, vrai drill du totalitarisme global à venir. Tout cela fait partie du plan.
Les Démocrates s’immolent sur l’autel de leur propre relation ténue avec la décence. – Tom Luongo
Par James Howard Kunstler – Le 30 Décembre 2024 – Source Clusterfuck Nation

Il doit être évident que le nouveau gouvernement de M. Trump a une tâche primordiale : trier la vérité des mensonges afin que la nation puisse rétablir une réalité de base sur laquelle fonctionner. L’Amérique est tellement abreuvée de mensonges officiels que de nombreuses personnes intelligentes qui devraient en savoir plus proclament maintenant que la réalité est inconnaissable, ce qui n’est qu’une capitulation devant le nihilisme – le rejet des principes moraux, la croyance que le projet humain n’a pas de sens.
Par M.K. Bhadrakumar – Le 10 janvier 2025 – Source Indian Punchline
Mardi, lors d’une conférence de presse dans son manoir de Floride, le président élu Donald Trump a jeté le gant, après avoir fait preuve d’une patience monumentale face aux manigances du président sortant Joe Biden et de son entourage pour “faire un Obama” contre lui, pour la deuxième fois, en cherchant à influencer son nouveau mandat à la Maison Blanche, à partir du 20 janvier.
Trump a dénoncé Biden et son équipe (en les traitant de “groupes de personnes malades”) et a signalé qu’il en avait assez de leur soi-disant “transfert de pouvoir« . La dernière goutte qui a fait déborder le proverbial vase a été la tentative maladroite de l’administration Biden de publier le “rapport final” de l’avocat spécial Jack Smith sur l’enquête fédérale contre Trump, qui n’a d’autre but que de l’humilier.
Par Moon of Alabama – Le 10 janvier 2025
Au sujet de la tentative de Trump d’accaparer le Canada, le Groenland et le canal de Panama, Agit Papadakis offre une observation intéressante :
Vous n’allez pas aimer
Par Patrick Cleburne − Le 20 décembre 2024 − Source Unz Review
C’est magnifique, mais ce n’est pas la guerre.
Pierre Bosquet, général français, lors de l’observation de la charge de la brigade légère, durant la guerre de Crimée ; le 28 octobre 1854.

Winston Churchill et Neville Chamberlain
Au cœur de l’été 1940, les hommes politiques qui composaient le gouvernement britannique se trouvaient confrontés à un problème terrible et retentissant. Et à partir du 10 mai, c’était également le cas du nouveau premier ministre britannique, Winston Churchill. Nous allons y revenir plus bas.
On affirme souvent qu’à l’époque, l’Empire britannique régnait sur le quart des surfaces terrestres de la planète, et qu’il ne voyait jamais le soleil se coucher. Il disposait d’une flotte adaptée. Chacun s’attendait à voir les possessions blanches du Canada, d’Australie et d’Afrique du Sud suivre la voie tracée par la Grande-Bretagne, et c’est bien ce qui se produisit.
Il s’agissait d’une puissance mondiale.
Par Simplicius – Le 9 janvier 2025 – Source Simplicius 76
Une mise à jour de quelques éléments intéressants aujourd’hui :
Israël
Il semble que même les Israéliens aient compris ce que nous rapportons ici depuis le début de la prise de contrôle de la Syrie par les “rebelles modérés”. Maintenant, le monde se rend compte de ce qui viendra vraiment dans ce nouveau grand jeu – l’article du Jerusalem Post répète virtuellement mon analyse précédente mot pour mot :

Israël doit se préparer à une guerre potentielle contre la Turquie, avertit le comité Nagel. Le comité, créé par le gouvernement, prévient que les ambitions turques de restaurer son influence de l’ère ottomane pourrait engendrer des tensions avec Israël, tournant probablement au conflit.