La montée en puissance du Round table et le cas douloureux du Canada (1864-1945)
Par Matthew Ehret – Le 3 mai 2019 – Source The Duran

La première incarnation d’un gouvernement mondial remplaçant le principe fondateur de souveraineté fut le projet d’Union impériale autour duquel le Round Table avait été créé. Il s’agissait de créer une fédération de nations unies, rassemblées sous un Empire unique auprès duquel les diverses colonies pourraient envoyer des représentants au Parlement impérial, à l’instar de ce que fait la Troïka européenne qui enchaîne les nations aujourd’hui.
Il y a un peu plus d’un an, le Président français Emmanuel Macron est venu aux États-Unis en apportant deux espèces potentiellement envahissantes à Washington. L’une n’était autre qu’un arbre et la seconde une répression de la liberté d’expression. Ironiquement, peu de temps après la plantation de l’arbre, les autorités l’ont déterré pour le mettre en quarantaine. 





Un puissant barrage peut retenir une immense quantité d’eau, mais une fois brisé, l’inondation qui en résulte peut balayer tout ce qui se trouve sur son passage. J’ai passé presque toute ma vie à ne jamais mettre en doute le fait qu’un tireur solitaire nommé Lee Harvey Oswald avait tué le président John F. Kennedy, ni qu’un autre tireur solitaire avait pris la vie de son frère cadet, Robert, quelques années plus tard. Puis, quand j’en suis arrivé
Emmanuel Macron a fait de la lutte contre les fake news un cheval de bataille… mais uniquement dans la politique. Pourtant, en plein mercato, le monde du football regorge de rumeurs, dont la presse sportive se fait volontiers l’écho… alors qu’elles sont souvent inventées de toutes pièces. À qui profitent les fake news dans le foot ?