Par Leonid Savin − Le 24 décembre 2020 − Source Oriental Review

Le 18 décembre 2010 est considéré comme le point de départ des émeutes, des troubles et des soulèvements au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, collectivement appelés le printemps arabe. La veille, un jeune vendeur de fruits du nom de Mohamed Bouazizi s’était immolé dans la ville tunisienne de Menzel Bouzaiane. Cette action, qui répondait à l’humiliation qu’il avait subie aux mains de la police, ont déclenché des émeutes et des protestations généralisées. Le 14 janvier 2011, le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali s’est enfui en Arabie Saoudite, et une période de transition sous contrôle militaire a été déclarée en Tunisie, où les événements eux-mêmes ont été qualifiés de deuxième révolution de jasmin. La révolution n’a pas été sans faire des victimes. Selon l’ONU, 219 personnes sont mortes dans le pays et 510 ont été blessées.
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Au début du mois, la télévision libanaise al-Manar a diffusé des images de bases israéliennes en Haute Galilée, filmées par un drone du Hezbollah. Une base israélienne à Brannite et un centre de commandement à Rowaysat al-Alam, dans le nord d’Israël, peuvent être vus dans ces images. Selon Southfront, dont l’expertise militaire est très appréciée, le Hezbollah
Il n’y a vraiment rien de particulièrement compliqué dans ce qui vient de se passer : les anglo-sionistes ont assassiné un scientifique iranien de haut niveau dans l’espoir que ce meurtre déclenchera une guerre. Les Iraniens ont promis des représailles, mais n’ont pris aucune mesure, du moins jusqu’à présent.