Par Moon of Alabama – Le 19 avril 2019
La situation sur le terrain en Libye a peu changé depuis notre dernier article, il y a deux semaines.
Les troupes de l’Armée nationale libyenne (ANL) du général Haftar attaquent par le sud les milices qui soutiennent le gouvernement, coincé à Tripoli et reconnu par l’ONU. L’ANL manque encore de forces pour effectuer une percée importante. Plusieurs objectifs situés sur le front ont changé de mains à plusieurs reprises. Il y a des escarmouches sanglantes, mais pas de gros combats. Il y en aura bientôt.


Par Russia Today – Le 4 décembre 2018 – Source 
À la suite de l’envoi, par la poste, de dispositifs explosifs de capacité incertaine à des critiques éminents du président américain Donald Trump et d’une fusillade massive dans une synagogue de Pittsburgh – la faute de Trump, bien sûr – ainsi qu’une invasion de migrants s’approchant des États-Unis via le Mexique, il y a eu de nombreux appels à atténuer la rhétorique politique dure et « clivante ».

James Howard Kunstler a cette légèreté de ton, cette ironie flegmatique, cette indépendance de l’esprit critique qui sont nécessaires dans la confusion actuelle où se mélangent le conformisme le plus radical et le mensonge pratiqué à la façon d’une pathologie convulsive, pour tenter de donner un rapport des événements du monde qui ne souffre pas du poids des chaînes de la contrainte des esprits. Après tout, il serait plutôt “de gauche” et plutôt “progressiste”, Kunstler, s’il fallait le classer selon le catéchisme en vigueur dans le vaste camp de concentration de la modernité ; aussi est-il anti-Trump et sa cible préférée est-elle le parti démocrate et tout ce qui se rapporte au simulacre que la pensée progressiste enchaînée a édifié pour complaire à la fois au Système et à sa “bonne conscience”. Kunstler est donc un joyeux dissident, pourtant fidèle à ses idées dans un temps où les idées sont devenues “chez eux” autant de simulacres s’intégrant parfaitement dans le Grand Simulacre du Système.
