Par Alastair Crooke – Le 21 novembre 2025 – Source Conflicts Forum
Nous avons donc maintenant les détails du soi-disant « plan de paix » en 28 points qu’un parlementaire ukrainien, Goncharenko, a fourni en affirmant qu’il s’agissait d’une traduction de l’original.
Le texte – écrit comme un traité juridique putatif – frappera tout lecteur expérimenté comme étant le produit d’un amateur, articulée en plusieurs parties sur des « discussions ultérieures » et sur des « attentes« .
C’est-à-dire que beaucoup d’aspects de cet accord restent ambigus et vagues. Un tel plan est, bien sûr, dans l’ensemble inacceptable pour Moscou (bien qu’ils ne puissent pas le désavouer purement et simplement). Malgré cela, le plan a suscité fureur et recul en Europe. The Economist (reflétant le point de vue de l’Establishment) qualifie le document de « terrible proposition américano-russe qui acquiesce à bon nombre des demandes maximalistes [de la Russie] et en ajoute quelques-unes de plus« .
Les Européens et la Grande-Bretagne veulent la capitulation russe, purement et simplement.
Par 

En 2018, l’US Naval War College Review 
La réunion des ministres des Affaires étrangères du G7 à Niagara, au Canada, les 11 et 12 novembre s’est avérée être un événement important à un moment où un voile d’incertitude s’était abattu sur le dialogue présidentiel entre Donald Trump et Vladimir Poutine. On peut même sentir les signes naissants d’une nouvelle aube se lever dans la déclaration commune des Ministres des finances du G7, qui a évité les habituelles attaques au vitriol contre la Russie.