Notre problème est simple à décrire.
Par Caitlin Johnstone − Le 1er avril 2019 − Source Medium.com

Depuis l’aube de la civilisation, les puissants contrôlent les récits que les gens se racontent sur leur identité : qui dirige, ce qu’est un bon citoyen, quels groupes doivent être aimés, quels groupes doivent être détestés et ce qui se passe dans le monde en général. En étudiant l’histoire, la plupart du temps, on ne fait que lire la vieille proto-propagande de tel ou tel royaume qui a gagné la dernière guerre durant telle ou telle période. En étudiant la religion, la plupart du temps, on n’étudie que des récits qui ont été forgés par d’anciens gouvernements, qui expliquent pourquoi il faut être docile, accepter de payer des impôts au lieu de se lever pour tuer les riches exploiteurs.





Par Ron Unz – Le 28 novembre 2012 – Source 
Notre tâche consiste à définir les aspects louables de l’irresponsabilité, et pour ce faire, nous devons d’abord définir l’irresponsabilité elle-même. Et là, nous découvrons immédiatement plusieurs possibilités. Il y a l’irresponsabilité par action, être irresponsable en commettant des actes irresponsables. Il y a aussi l’irresponsabilité par omission, être irresponsable en n’agissant pas de manière responsable. Et ne négligeons pas de mentionner l’irresponsabilité volontaire, qui consiste à refuser d’accepter ou de reconnaître ses responsabilités. Enfin, il y a la méta-irresponsabilité, qui consiste à considérer la question de la responsabilité d’une manière irresponsable, comme dans : « Votre discussion sur la responsabilité devient fatigante ! »