La Russie, la Chine et l’Arabie saoudite mettent en échec l’hégémonie du dollar

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Préambule de l'auteur 

Les États-Unis rencontrent de plus en plus d'obstacles sur leur chemin pour maintenir l'hégémonie du dollar comme monnaie de réserve mondiale. Ces derniers mois, les pays émergents ont vendu beaucoup de bons du Trésor américain, principalement la Russie et la Chine, mais aussi l'Arabie saoudite. En outre, afin de se protéger contre les fluctuations violentes du dollar, les banques centrales de plusieurs pays ont acquis des énormes volumes d'or pour diversifier leurs réserves de devises. En bref, l'offensive mondiale contre le dollar repart avec la vente massive de la dette américaine et, en parallèle, des achats colossaux de métaux précieux.

Ariel Noyola Rodriguez

Par Noyola Ariel Rodriguez – Le 24 octobre 2016 – Source Russia Today

La suprématie de Washington dans le système financier mondial a subi un coup énorme en août dernier : la Russie, la Chine et l’Arabie saoudite ont vendu des bons du Trésor des États-Unis pour la somme de $37,9 milliards, selon la dernière mise à jour des données officielles publiée il y a quelques jours. Dans une perspective globale, les investissements mondiaux dans la dette publique des États-Unis ont chuté à leur niveau le plus bas depuis juillet 2012. De toute évidence, le rôle du dollar comme monnaie de réserve mondiale est de nouveau remis en question.

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L’impérialisme militaire français est en bonne voie…


Par Michel J. Cuny − Octobre 2016
Résultats de recherche d'images pour « Livre blanc sur la défense »Ce livre suit bravement la piste que lui a tracée le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale élaboré et publié en 2008, sous le règne de Nicolas Sarkozy…

L’attaque et la destruction de la Libye l’ont illustré à merveille, mais ce n’est évidemment pas fini.

En effet, et rien qu’en passant, il nous rappelait, dès la page 44, que certains espaces étaient déjà à portée de fusil :
«Les pays européens sont présents militairement à des titres divers, au Tchad, en Palestine, au  Liban, en Irak et en Afghanistan. Dans ces conditions, l’Europe et la France sont probablement appelées à s’engager davantage encore à l’avenir dans l’ensemble de la zone, pour aider à la prévention et au règlement des crises.»
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La division Est–Ouest est liée au dollar, pas à une guerre nucléaire


Par Brandon Smith – Le 19 octobre 2016 – Source alt-market.com


La chose intéressante sur le travail dans les économies alternatives est qu’inévitablement, vous deviendrez la Cassandre désignée. Vous pouvez présenter des faits sur le terrain et la réalité derrière les chiffres, mais la plupart de ce que vous avez à raconter ne sera pas agréable à entendre. Les économistes alternatifs sont condamnés à être étiquetés comme «catastrophistes». Et c’est vrai…

La vérité est telle qu’elle est, et parfois ça choque des gens obsédés par un positivisme excessif et une naïveté autour de la croissance des marchés. Cependant, aussi mauvaises que nous semblent les perspectives, nous ne posons pas nécessairement les options les plus laides sur la table.

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Face à face Russie–US
La surenchère


Poutine réagit à la menace nucléaire étasunienne par un ultimatum



Par Rostislav Ichtchenko – Le 5 octobre 2016 – Source FortRuss

Suite au décret émis par le Président de la Fédération de Russie de suspendre l’accord avec les États-Unis sur l’élimination réciproque du plutonium de qualité militaire, et la présentation à la Douma d’État du projet de loi correspondant, des disputes ont éclaté parmi les media pour savoir si cela était lié à la rupture de l’accord sur la Syrie. L’autre pierre d’achoppement est une interrogation : pourquoi la Russie, sachant que les États-Unis n’avaient pas rempli leur part de l’accord depuis nombre d’années, ne réagit-elle que maintenant ?

Certains experts nucléaires affirment que l’accord était objectivement bénéfique pour la Russie. Peut-être. Je ne suis pas un expert en la matière et il m’est difficile d’évaluer le degré de leur objectivité. En outre, ce qui est bénéfique du point de vue de l’industrie nucléaire peut très bien être désavantageux du point de vue de la sécurité.

En principe, je pense qu’il n’y avait pas de problèmes particuliers de sécurité. La Russie dispose d’un arsenal nucléaire suffisant pour infliger un coup dévastateur aux États-Unis. Washington le reconnaît aussi. La Russie possède aussi plus que suffisamment de matériel pour la production de nouvelles ogives nucléaires. Dans l’éventualité d’échanges à grande échelle de frappes nucléaires, la production d’un nouveau lot d’armes serait déjà redondant et, en effet, matériellement impossible. Le vrai problème serait de préserver des vestiges de civilisation, tout au moins au niveau de l’âge de pierre.

Concernant la Syrie – et pas seulement par rapport elle – ce ne serait pas la première fois que les États-Unis concluent des accords seulement pour empêcher qu’ils s’accomplissent, et ensuite les concluent à nouveau. La forme de la réaction russe ne se compare clairement pas avec le rejet public de la coopération par Washington, bien que celle-ci n’ait même pas eu lieu.

Je pense que pour comprendre l’ampleur de cet incident, il est nécessaire de prêter attention au fait que Poutine n’a pas simplement retiré la Russie d’un contrat. Il a annoncé la possibilité d’y revenir, mais sous certaines conditions.

Regardons ces conditions:

1. les États-Unis doivent lever toutes les sanctions contre la Russie ;

2. des compensations doivent être payées, non seulement pour les pertes provenant des sanctions étasuniennes, mais aussi pour celles subies par les contre-sanctions russes ;

3. que la Loi Magnitski soit abrogée ;

4. la présence militaire des États-Unis en Europe de l’Est devra être fortement réduite ;

5. les États-Unis devront abandonner leur politique de confrontation avec Moscou.

Le seul terme qui convient pour décrire l’essence des exigences de Poutine, est celui «d’ultimatum».

Pour autant que je me souvienne, la dernière fois que Washington a été placé devant un ultimatum, ce fut par le Royaume-Uni à propos de l’incident du navire RMS Trent. Cela eut lieu en 1861, lors de la guerre civile étasunienne. Même alors, dans des conditions extrêmement difficiles, les États-Unis n’ont accepté de répondre que partiellement aux exigences britanniques.

Il convient de noter que les exigences britanniques en 1861 ne contenaient rien d’humiliant pour les États-Unis. Le capitaine d’un navire de la marine étasunienne avait en effet violé la loi internationale. Il avait arrêté des gens sur un navire neutre (britannique) et ainsi empiété sur la souveraineté du Royaume-Uni, ce qui a failli provoquer une guerre. Puis les États-Unis ont désavoué les actions de leur capitaine et libéré les prisonniers, refusant tout de même de présenter des excuses.

Poutine n’exige pas d’excuses ou la libération de quelques prisonniers, mais le changement de l’ensemble de la politique étasunienne, et de surcroît l’octroi à la Russie d’une compensation pour les pertes causées par les sanctions étasuniennes. C’est une exigence inacceptable et humiliante. Elle signifie essentiellement une capitulation complète et inconditionnelle dans la guerre hybride que Washington mène et n’avoue pas comme irrémédiablement perdue. Et viennent s’ajouter tous les paiements des indemnités et des réparations.

Quelque chose de similaire avait été exigé par la Couronne britannique aux États-Unis, juste avant la fin de la guerre d’indépendance, quand les Étasuniens étaient encore des sujets rebelles du roi George III. Ces cent dernières années, aucune personne n’a même imaginé parler sur ce ton à Washington.

Ainsi, la première conclusion serait : Poutine a délibérément et démonstrativement humilié les États-Unis. Il a montré qu’il est possible de leur parler durement, encore plus durement qu’eux-mêmes ont pris l’habitude de le faire, en s’adressant de manière méprisante au reste du monde.

Comment en est-on arrivé là ? En fait, à quoi Poutine aurait-il réagi ? Aurait-il cru que les États-Unis observeraient l’accord Kerry–Lavrov et maintenant serait-il bouleversé par ce qui est arrivé ? La Russie n’ignorait guère que Washington depuis des années n’observait pas l’accord sur le plutonium, mais Moscou a su tirer un bénéfice important de cela pour son industrie nucléaire, qui est devenue un quasi-monopole mondial dans le traitement du plutonium de qualité militaire et n’était manifestement pas perturbée par le retard technologique des États-Unis dans ce domaine, comme le prévoyait l’accord.

Une rude et presque immédiate réaction a suivi les déclarations de la Russie, elle émane du porte-parole du secrétaire d’État étasunien, disant que la Russie commencera à rapatrier ses troupes de Syrie dans des sacs mortuaires, à perdre des avions, et à subir des attaques terroristes qui accableront des villes russes.

En outre, la déclaration du Département d’État a été immédiatement suivie par l’annonce du Pentagone qu’il est prêt à lancer une frappe nucléaire préventive sur la Russie. Le ministère russe des Affaires étrangères a aussi indiqué que Moscou connaissait les intentions des États-Unis, leur volonté de lancer une guerre aérienne contre les forces gouvernementales syriennes, ce qui signifierait aussi contre le contingent russe légalement stationné en Syrie.

Quel autre événement serait-il survenu pour former l’arrière-plan de l’ultimatum de Poutine ? Les exercices d’il y a six mois impliquant des systèmes stratégiques de défense antiaérienne et antimissile, dans le but de repousser une attaque nucléaire contre la Russie, suivis par ceux du lancement d’une riposte. À ceux-ci s’ajoutent les exercices d’urgence de l’autre jour, pour vérifier la préparation de l’infrastructure de défense civile en cas de guerre nucléaire, impliquant quelques 40 millions de citoyens russes, fournissant des informations supplémentaires aux citoyens sur le plan d’action dans l’éventualité d’une «heure X».

Si nous prenons le tout dans son ensemble, nous pouvons voir que les États-Unis ont depuis longtemps officieusement menacé la Russie avec un conflit nucléaire, et Moscou a régulièrement laissé entendre qu’elle était prête pour une telle tournure des événements et qu’elle ne reculerait pas.

Toutefois, en raison de la fin de mandat de la présidence d’Obama et du manque absolu de confiance en une victoire d’Hillary Clinton à l’élection présidentielle, les faucons de Washington ont décidé une fois de plus de surenchérir. Et maintenant, la situation a atteint un niveau extrêmement dangereux, où le conflit commence à atteindre le stade où il peut se développer de manière indépendante. À ce stade, l’Armageddon nucléaire pourrait commencer à cause de tout type d’incident, en particulier en raison de l’incompétence de certains hauts responsables du Pentagone ou administrateurs de la Maison Blanche.

À ce moment précis, Moscou a saisi l’initiative et fait monter les enchères, tout en élevant la confrontation à un niveau supérieur. Contrairement aux États-Unis, la Russie ne menace pas de faire la guerre. Elle fait tout simplement la démonstration de sa capacité à donner une rude réponse politique et économique susceptible, en cas de comportement inapproprié des États-Unis, de produire un résultat qui serait tout le contraire de ce dont rêve Obama : de détruire l’économie et le système financier de Washington.

En outre, avec ces actions, la Russie a gravement compromis le prestige international des États-Unis, en montrant au monde entier qu’ils peuvent être battus avec leurs propres armes. Le boomerang est revenu. Compte tenu de cette dynamique et de la tournure des événements, nous pourrions voir des centaines de représentants de l’élite étasunienne sur le banc des accusés de La Haye, non seulement durant notre vie, mais avant même que le prochain président étasunien assure son premier mandat de quatre ans à la Maison Blanche.

Poutine vient de donner le choix aux États-Unis. Soit ils réaliseront leurs menaces en déclenchant une guerre nucléaire, soit ils accepteront le fait que le monde n’est plus unipolaire, et commenceront à intégrer le nouveau format.

Nous ne savons pas quel sera le choix de Washington. Le pouvoir politique étasunien a un nombre suffisant d’individus idéologiquement aveugles et incompétents, prêts à brûler dans un feu nucléaire avec le reste de l’humanité, plutôt que de reconnaître la fin de l’hégémonie mondiale des États-Unis, qui s’est avérée de courte durée, insensée et criminelle. Mais ils auront à faire un choix, parce que plus longtemps Washington prétendra que rien ne s’est passé, plus le nombre de ses vassaux (qu’ils appellent leurs alliés, mais qui depuis longtemps sont enlisés dans la dépendance) ignoreront, ouvertement et explicitement, les ambitions étasuniennes et changeront de camp dans les nouvelles perspectives de configuration de puissance globale.

En fin de compte, les États-Unis pourraient en être réduits à ce que même le statut de centre parmi d’autres, dans un monde multipolaire, ne lui soit plus disponible. Non seulement les Africains, les Asiatiques et les Latino-Américains, mais aussi les Européens seront heureux de se venger pour leurs humiliations passées contre l’ancienne hégémonie. Et ils ne sont pas si humains et épris de paix que la Russie.

En conclusion, l’ultimatum de Poutine est une réponse à tous ceux qui en 2014, ont été outrés que les chars russes n’aient pas pris Kiev, Lvov, Varsovie et Paris et se demandent quel pourrait bien être le plan suivi par Poutine.

Je ne peux que répéter ce que j’avais écrit à l’époque. Si vous voulez vous confronter à hégémonie mondiale, vous devez alors être sûr de votre capacité à répondre à n’importe laquelle de ses actions. Les structures de l’économie, de l’armée, de la société, de l’État et de l’administration devraient toutes être prêtes. Si tout n’est pas tout-à-fait prêt, alors on a besoin de gagner du temps et se faire du muscle.

Maintenant, les choses sont prêtes et les cartes sont sur la table. Voyons comment les États-Unis répondront. Mais la réalité géopolitique ne sera jamais plus la même. Le monde a déjà changé. Les États-Unis se sont vus jeter le gant publiquement et n’ont pas osé le ramasser tout de suite.

Rostislav Ichtchenko

Article original paru sur Ria Novosti – Traduit du russe par J. Arnoldski

Traduit de l’anglais par Alexandre Moumbaris, relu par Marie-José Moumbaris

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Trump déchaîné

Photo by Evan Guest | CC BY 2.0


2016-09-24_11h42_10Par Mike Whitney – Le 19 octobre 2016 – Source CounterPunch

«Pour tout citoyen américain doté d’un minimum de conscience, il est absolument évident que Donald Trump est non seulement face à la gigantesque machine politique Clinton, mais aussi aux forces combinées des médias malhonnêtes dominants.»

Boyd D. Cathey, La bande, la conspiration, et la mort de la vieille politique, Revue Unz

«L’élection est absolument truquée par les médias malhonnêtes et déformés favorisant Hillary la corrompue

Donald Trump, Twitter

À quand remonte la dernière fois que les médias ont donné leur soutien à 100% au candidat présidentiel d’un seul parti ? Qu’est-ce que cela dévoile, concernant ces médias ?

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Vérité de situation :
quand un bon missile vaut mieux qu’un long discours…

Russian Kh-101 Air-to-Surface Cruise Missile: Unique and Formidable


Le missile russe de croisière air-Surface Kh-101, unique et redoutable


Andrei AKULOVPar Andreï Akulov – Le 19 octobre 2016 – Source Strategic-Culture

Les événements récents en Syrie ont à nouveau mis en évidence l’utilité des missiles de croisière pour frapper des cibles en profondeur dans le territoire ennemi. Les opérations de combat font la démonstration des progrès de la technologie des missiles de croisière et des nouvelles armes. 

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Les BRICS doivent faire face à la guerre financière des États-Unis

Préambule de l'auteur

Pour faire face à la guerre financière provoquée par les États-Unis, il est urgent que les BRICS renforcent leurs liens de coopération dans les domaines de l'économie et de la finance. La nouvelle banque de développement des BRICS devrait augmenter son volume de prêts, de même que leur fond de réserves. En outre, les BRICS devraient mettre en œuvre dès que possible leur propre agence de notation. Pour intensifier la cohésion économique, la mise en œuvre d'une zone de libre-échange devrait faire tomber les barrières tarifaires et ainsi augmenter sensiblement les échanges entre eux. En bref, si des mesures appropriées ne sont pas prises dans les meilleurs délais, les BRICS courent le risque de sombrer au cours du prochain ouragan financier.

Ariel Noyola Rodriguez

Par Ariel Noyola Rodriguez – Le 5 septembre 2016 – Source Russia Today

Les 15 et 16 octobre a eu lieu dans l’État de Goa (Inde) le huitième sommet du BRICS – Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud. Nous devons reconnaître que la réunion a eu lieu dans le contexte d’une situation profondément critique pour l’économie mondiale. Cependant, les BRICS ont montré, une fois de plus, leur capacité extraordinaire à transformer un mauvais moment en une occasion d’approfondir leurs liens à partir d’un point de vue stratégique.

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Pour des raisons purement techniques


Par Dmitry Orlov – Le 18 octobre 2016 – Source Club Orlov

Cedric Sacilotto

Il est tentant pour nous de penser que nos choix technologiques, si nous choisissons de vivre dans une ville, en banlieue ou à la campagne; si nous voulons conduire un pick-up, une voiture hybride essence-électrique ou un vélo; si nous prenons le train, conduisons sur de longues distances ou prenons l’avion, que ces choix sont déterminées par nos goûts. Nous nous flattons de contrôler ces choix, et que nos choix sont le reflet de nos valeurs éclairées, soucieuses de l’environnement. Ce point de vue repose sur une base de raisonnement circulaire : nous nous comportons de manière éclairée parce que nous sommes éclairés, et nous sommes éclairés parce que, eh bien oui, nous nous comportons de manière éclairée. Quant à savoir pourquoi ce que nous considérons comme être éclairé l’est vraiment, plutôt que de n’être qu’une question de goût personnel éventuellement discutable, cela ne doit pas être discuté : de gustibus non est disputandum / Des goûts et des couleurs, il ne faut pas disputer.

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Les colonnes infernales de la défaite civilisationnelle


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Octobre 2016 − Par Valérie Bugault

Cet article a été inspiré par une analyse du géopolitologue russe Alexandre Douguine dans laquelle il décrit les tenants et aboutissants du concept nouveau de «sixième colonne». Partant de ces constats très pertinents du côté russe, il m’est apparu utile d’en analyser les pendants du côté occidental. Le résultat de cette étude révèle bien autre chose qu’une entité, plus ou moins formelle, hostile aux peuples : elle révèle l’existence institutionnelle, en France, en Occident et au niveau mondial, de puissances d’argent dominantes, structurellement hostiles à tous les peuples du monde.
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Ça ose tout ! Suite…


L’hallucinante clause du TTIP interdisant de porter plainte contre les USA… mais pas contre tous les autres pays ! Vous doutiez encore de la corruption de nos élites ? Lisez ceci…


ttip-parlement-européen


Par  – Le 

La guerre économique que nous livrent les États-Unis est sans merci et d’une violence inouïe.

Nos élites, corrompues et massivement achetées par les 32 000 lobbyistes encartés et déclarés à Bruxelles, ont depuis bien longtemps abdiqué la défense des intérêts des peuples européens.

On nous impose des traités iniques et totalement déséquilibrés.

Nos dirigeants sont prêts à signer tout et n’importe quoi pour conserver leur place de mamamouchi.

Charles SANNAT

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