Par Alastair Crooke – Le 17 mai 2016 – Source Huffington Post
Quelque chose d’important s’est passé au cours des derniers jours d’avril, mais il semble que la seule personne à l’avoir remarqué soit Stephen Cohen, professeur émérite d’études russes à l’Université de New York et à l’Université de Princeton.
Dans une interview enregistrée, Cohen fait remarquer qu’une partie de la direction russe montre des signes d’agitation face à certaines décisions du président Vladimir Poutine. Nous ne parlons pas des manifestants de rue. Nous ne parlons pas de coups d’État contre Poutine – sa popularité reste au-dessus de 80 % et il n’est pas sur le point d’être destitué. Mais nous parlons de pressions sérieuses exercées sur le président, pour qu’il descende de la corde d’équilibriste qu’il a prudemment arpentée jusqu’à présent.