Par Philip Gilardi – Le 14 août 2018 – Source Unz Review

On me demande souvent pourquoi j’ai « quelque chose » contre Israël, et des amis me disent que je serais beaucoup plus respecté en tant qu’expert si je me concentrais plutôt sur la sécurité nationale et la corruption politique. Le problème c’est que notre soi-disant « relation spéciale » avec Israël est elle-même le résultat de choix catastrophiques en matière de sécurité nationale et de politique étrangère soutenus par une corruption politique et médiatique omniprésente, de sorte que toute tentative honnête d’examiner l’une mène inévitablement à l’autre. La plupart des faiseurs d’opinion qui s’expriment dans les médias échappent à ce dilemme en prenant le parti d’ignorer complètement le côté obscur d’Israël. Continuer la lecture


Depuis 1991 et la fin officielle de la première guerre froide entre les États-Unis et l’Union soviétique, le monde a connu un « moment unipolaire » américain alors que l’establishment politique bipartisan américain cherchait à consolider et à perpétuer son contrôle hégémonique sur l’ensemble de la planète. Voué à l’échec avant même qu’il ne reçoive son expression la plus complète en 1996 par les 





