Par Moon of Alabama – Le 10 janvier 2025
Au sujet de la tentative de Trump d’accaparer le Canada, le Groenland et le canal de Panama, Agit Papadakis offre une observation intéressante :
Par Moon of Alabama – Le 10 janvier 2025
Au sujet de la tentative de Trump d’accaparer le Canada, le Groenland et le canal de Panama, Agit Papadakis offre une observation intéressante :
Par Moon of Alabama – Le 8 janvier 2025
Hier, lors d’un événement médiatique, le président élu Donald Trump s’est livré à l’une de ses divagations habituelles (vidéo, transcription), sautant d’un sujet à l’autre sans aucun lien entre eux.
Il a surtout parlé de ses projets pour son prochain mandat. Il a promis d’alléger les impôts des riches, de supprimer les réglementations environnementales et d’augmenter la production de pétrole et de gaz.
Mais ce qui a retenu l’attention de la plupart des observateurs, ce sont ses idées en matière de politique étrangère.
Par M.K. Bhadrakumar – Le 7 janvier 2025 – Source Indian punchline
L’administration Biden n’a pas renoncé à la guerre en Ukraine. Une réunion dans le cadre de la Réunion au Format Ramstein doit avoir lieu jeudi en Allemagne, présidée par le secrétaire américain à la Défense sortant Lloyd Austin, pour répondre aux besoins de défense de l’Ukraine, auxquels le président ukrainien Zelensky participera également.
Pendant ce temps, Kiev a évidemment lancé une attaque dans la région de Koursk à la veille de cet événement en guise de “lever de rideau”. L’opération, bien que diffusée par toute la presse britannique, est menée par seulement 2 chars et quinze transports de troupes blindés et sera sans aucun doute écrasée par les drones russes et ses hélicoptères de combat hautes performances Ka-52, hautement meurtriers avec une capacité de combat jour et nuit, une grande capacité de survie et une puissance de feu élevées.
Par Kyle Anzalone – Le 13 décembre 2024 – Source Antiwar.com
Des frappes sur les installations nucléaires iraniennes sont sérieusement envisagées au sein de l’équipe de transition de Donald Trump, selon le Wall Street Journal. Bien qu’il n’y ait aucune preuve que Téhéran tente de fabriquer une arme nucléaire, Washington et Tel-Aviv menacent d’attaquer l’infrastructure énergétique nucléaire de l’Iran.
« L’option d’une frappe militaire contre les installations nucléaires fait désormais l’objet d’un examen plus sérieux de la part de certains membres de son équipe de transition », explique le WSJ. « La position régionale affaiblie de l’Iran et les récentes révélations sur les travaux nucléaires en plein essor de Téhéran ont donné un coup d’accélérateur aux discussions internes sensibles, ont déclaré des responsables de la transition ».
Cette version de Trump sait sur quels boutons appuyer, il sait où sont enterrés les cadavres, il a absorbé ce qu’ils ont de pire et maintenant il est sur le point de les leur renvoyer. – Jeff Childers
Par James Howard Kunstler – Le 28 Novembre 2024 – Source Clusterfuck Nation

Vous avez toutes les raisons de croire que ce gouvernement léviathan arrogant et malveillant, et le blob vicieux de renseignement et de guerre légale à son avant-garde, est sur le point d’être mis sens dessus dessous, à l’intérieur et à l’extérieur. Chaque nomination de Trump est une dose de chimiothérapie pour cette bête maligne, visant tous ses organes malades. Les cellules rebelles qui s’y trouvent vont mourir durement, lutter contre leur extinction, hurler et se débattre au fur et à mesure du traitement. Enfin, si on le laisse faire.
Par Brandon Smith − Le 18 novembre 2024 − Source Alt-Market

Au cours des derniers mois, j’ai discuté de la forte probabilité du retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Plus précisément, j’ai averti que l’administration Biden/Harris ainsi que les démocrates ont utilisé la manipulation de données pour cacher la menace croissante d’un effondrement stagflationniste aux États-Unis au cours des deux prochaines années.
Dans mon article intitulé « De la poudre aux yeux : Que se passera-t-il une fois que les manipulations économiques de Biden auront disparu ? », publié en septembre, je décrivais les astuces spécifiques utilisées par l’équipe de Biden pour masquer le déclin du marché du travail, cacher le véritable problème de l’inflation, marginaliser la question de l’explosion de la dette nationale et manipuler l’IPC tout en soutenant artificiellement le PIB par des dépenses publiques.
Par David P. Goldman – Le 27 novembre 2024 – Source Compact
Dès sa première campagne présidentielle, Donald Trump avait fait des taxes douanières élevées la pièce maîtresse de son plan de restauration de l’industrie américaine. Ces taxes donnent un avantage de prix aux producteurs nationaux par rapport aux exportateurs étrangers, ce qui les incite à accroître leur capacité de production et à remplacer les importations. Mais il faudra plus que des taxes douanières pour relancer l’industrie manufacturière américaine. Il y a d’autres obstacles, y compris un système fiscal biaisé contre les investissements à forte intensité de capital. Mais plus important encore, une frénésie d’importations qui dure depuis des décennies a réduit la main-d’œuvre disponible, les talents en ingénierie et laissé dans un état très affaibli les infrastructures et les communautés qui faisaient autrefois l’envie de l’industrie américaine dans le monde. Un plan réaliste de relance de la base industrielle américaine doit prendre en compte tous ces facteurs.
Les divisions de la sécurité nationale du ministère de la justice et du FBI sont les plus grandes menaces intérieures qui pèsent aujourd’hui sur le peuple américain et sur le concept d’État de droit constitutionnel. – Scott Ritter
Par James Howard Kunstler – Le 22 Novembre 2024 – Source Clusterfuck Nation

Dan Hoffman
Vous avez eu votre dose d’euphorie post-électorale. Il est temps de se réveiller. Les rats de l’intérieur des murs de l’État profond tentent de se frayer un chemin dans le cabinet de Trump. Avez-vous déjà entendu parler d’une organisation appelée Cipher Brief ? Bien sûr que non. Cipher Brief est en quelque sorte le McKinsey du monde du blob (alias le réseau de la « sécurité nationale »), une combinaison de relations humaines et de relations publiques, entièrement composée d’anciens officiers de la CIA. Un grand nombre des experts qui ont signé la fameuse lettre d’octobre 2020 déclarant que l’ordinateur portable de Hunter Biden était de la « désinformation russe » sont des contractants de ce cabinet. Ils savaient tous que l’odieux ordinateur portable était authentique, mais ils l’ont quand même fait pour faire basculer l’élection en faveur de « Joe Biden ». Pourquoi ? Parce que… Trump.
L’effondrement a pris une telle ampleur que les bureaucrates libéraux sont prêts à former des milices antigouvernementales et à s’inquiéter au sujet des hélicoptères noirs – Max Blumenthal
Par James Howard Kunstler – Le 15 Novembre 2024 – Source Clusterfuck Nation

« De nombreux Démocrates réfléchissaient à la manière de naviguer dans un avenir sombre, avec le parti incapable d’empêcher M. Trump de mener à bien une transformation de droite du gouvernement américain. D’autres se sont tournés vers l’intérieur, cherchant à savoir pourquoi la nation les a rejetés. Ils ont parlé de la désinformation et de la lutte pour communiquer la vision du parti dans un environnement d’information réduit inondé de propagande de droite » – The New York Times
Le 27 juillet 1794, les membres non fous de la Convention, ou organe législatif national à Paris, se sont soudainement retournés contre le leader jacobin enragé Maximilien Robespierre et ont renversé son groupe tyrannique au pouvoir, qui avait tué 40 000 de leurs concitoyens dans l’orgie paranoïaque connue sous le nom de « règne de la terreur ». Le lendemain, Robespierre s’est rendu à son propre rendez-vous avec le « rasoir national » et la réaction thermidorienne a commencé !
Par Seymour Hersh – Le 26 novembre 2024
Au début du roman satirique de Nathanael West, Miss Lonelyhearts, paru en 1933, il y a une scène qui pue la dépression, le désespoir et le génie. Il est difficile de l’oublier. Le protagoniste est un chroniqueur de conseils amoureux pour un journal de New York. Il reçoit une lettre d’une adolescente qui se décrit comme ayant l’étoffe d’une beauté, avec une silhouette élancée sur laquelle beaucoup s’extasient, mais qui constate amèrement qu’elle n’a jamais eu de rendez-vous galant. Serait-ce, demande-t-elle, parce qu’elle n’a pas de nez ?
Cette scène m’est venue à l’esprit cette semaine alors que je me penchais sur l’amertume du président Joe Biden, qui semble plein de ressentiment parce qu’un groupe de gros bonnets du Parti démocrate, conscient de son échec, l’a forcé à renoncer à sa campagne de réélection et a confié la lutte contre Donald Trump à la vice-présidente Kamala Harris, et d’autant plus de ressentiment qu’elle n’a pas réussi à battre Trump comme Biden l’avait fait en 2020.