La volonté de la Big Tech de mettre fin à la démocratie
Par Matthieu Ehret − Le 13 novembre 2020 − Source Strategic Culture
Dans la soirée du 5 novembre, le président des États-Unis a prononcé des propos, depuis la Maison Blanche, relayant les preuves d’une fraude électorale massive menée par l’alliance entre la communauté du renseignement, Wall Street, Big Tech qui avait activement organisé son renversement pendant quatre ans. Malgré la véracité de ses propos, que de plus en plus de preuves de fraude par logiciel de décompte des voix n’ont fait que valider, les médias grand public de NBC, CNN, NPR et MSNBC ont pris la décision sans précédent de censurer le président au milieu de son discours, pour la protection de l’esprit des téléspectateurs.

© Photo: Flickr / États-Unis. Élections
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Le cartel d’intérêts, de partis et de personnes se faisant passer pour la Résistance, qui a tenté sans succès de recracher Donald Trump comme une boule de poils pendant quatre ans, pourrait enfin réussir en moissonnant la récolte des bulletins de vote magiques par correspondance, délivrés par des cigognes dans l’obscurité croissante des merveilles mathématiques de cette semaine post-électorale.
Je dois commencer par l’évidence : malgré l’effort de tout l’État profond, la propagande et les ressources de «l’empire profond» (transnational) pour déclarer que «Biden» – c’est-à-dire Harris – a gagné, pour l’instant personne ne sait qui a obtenu le plus de votes et où.
C’est une chose de savoir que vos adversaires n’ont pas d’âme. C’en est une autre de voir affichée, en temps réel, leur dépravation avec un dédain joyeux. Quiconque dit que ce qui se passe actuellement en Géorgie, en Pennsylvanie, au Michigan, etc. n’est pas un effort conscient pour truquer une élection est soit victime de propagande, soit volontairement obtus.
Je poste ici le dernier brouillon de mon article sur Joe et Hunter Biden – le dernier vu par les éditeurs de The Intercept avant de me dire qu’ils
L’une des caractéristiques du totalitarisme est la conformité de masse à un récit officiel psychotique. Pas un récit officiel régulier, comme les récits de «guerre froide» ou de «guerre contre le terrorisme». Un récit officiel totalement illusoire qui n’a que peu ou pas de lien avec la réalité et qui est contredit par une prépondérance de faits.
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