Les élections aux mains des robots globalistes


La volonté de la Big Tech de mettre fin à la démocratie


Par Matthieu Ehret − Le 13 novembre 2020 − Source Strategic Culture

Dans la soirée du 5 novembre, le président des États-Unis a prononcé des propos, depuis la Maison Blanche, relayant les preuves d’une fraude électorale massive menée par l’alliance entre la communauté du renseignement, Wall Street, Big Tech qui avait activement organisé son renversement pendant quatre ans. Malgré la véracité de ses propos, que de plus en plus de preuves de fraude par logiciel de décompte des voix n’ont fait que valider, les médias grand public de NBC, CNN, NPR et MSNBC ont pris la décision sans précédent de censurer le président au milieu de son discours, pour la protection de l’esprit des téléspectateurs.

© Photo: Flickr / États-Unis. Élections

Parmi les nombreux délits à la déontologie de la presse, le président a déclaré : «Si vous comptez les votes légaux, je gagne facilement. Si vous comptez les votes illégaux, ils peuvent essayer de nous voler les élections.» Le discours censuré complet peut être lu ici.

Mais qu’est ce que ça veut dire ? Quels sont les votes illégaux ?

Comme le président l’a exposé dans ce discours censuré et dans d’autres endroits au cours de la semaine dernière, les votes illégaux signifient exactement cela : des votes recueillis pour un candidat et soustraits à un autre candidat par des moyens illégaux. Les formes typiques que de tels votes illégaux ont tendance à prendre peuvent être d’abord les votes par correspondance qui sont arrivés au-delà des délais légaux et qui ont pourtant été comptés de toute façon ou dont l’horodatage a été changé par les postiers, ensuite les votes de personnes décédées, enfin les votes des personnes qui avaient quitté leur État pour s’enregistrer dans un autre. Il y en a d’autres, bien-sûr.

La technique la plus importante utilisée dans toute cette affaire de fraude électorale a été mise au jour sous la forme de nombreuses machines à voter contrôlées par la technologie, et les logiciels de dépouillement associés, qui ont dominé la plupart des élections dans le monde au cours des 20 dernières années et qui ont été révélées il y a déjà 14 ans dans le documentaire de 2006 Hacking Democracy.

C’est le système de fraude que l’avocat du général Flynn, Sidney Powell, a révélé lors de son entretien du 6 novembre en disant :

Ils ont exécuté un algorithme pour calculer les votes dont ils pourraient avoir besoin dans des zones spécifiques. Je pense que cela explique ce qui s’est passé au Michigan où un problème informatique a entraîné un déplacement de voix d’environ 5 500 en faveur du président Trump dans l’un des 47 districts. Tous ces districts doivent être vérifiés pour ce même ‘problème logiciel’ qui changerait radicalement le résultat au Michigan.

Powell a ensuite décrit les centaines de milliers de bulletins de vote apparaissant mystérieusement au milieu de la nuit en faveur de Biden et a exposé le logiciel qui avait été développé il y a dix ans par l’entrepreneur de la CIA et maintenant lanceur d’alerte Dennis Montgomery nommé Hammer and Scorecard :

 Ils ont été utilisés par les forces et les agents démocratiques qui avaient accès à ces programmes par le biais des points d’accès gouvernementaux dont ils disposaient et qui les ont utilisés illégalement pour modifier les votes dans ce pays. Cela devra probablement faire l’objet d’une enquête de la part des responsables du renseignement militaire les plus fiables du président, qui peuvent entrer dans le système et voir ce qui a été fait. Mais nous avons des preuves que c’est exactement ce qui s’est passé.

Ce message a été amplifié par l’ancien analyste / lanceur d’alerte de la NSA, Kirk Wiebe, le 7 novembre, lorsqu’il a décrit comment ces applications sœurs fonctionnent ensemble pour à la fois cartographier les différentiels de vote dans un système, puis appliquer des changements subtils de votes avec des patchs logiciels intelligents qui déplacent les votes d’un candidat vers un autre en quelques microsecondes selon les objectifs du programmeur.

https://youtu.be/v_2RXrkDuS4

Si l’on cherche des preuves encore chaudes que cela s’est effectivement produit, alors il ne faut pas regarder plus loin que le cas du gouverneur républicain Matt Bevin dont l’adversaire Démocrate Andy Beshear a reçu les 560 votes qui ont été supprimés du décompte de Bevin lors d’une dernière mise à jour en direct de CNN l’an dernier.

Des «problèmes» similaires sont apparus dans tout le pays lors des élections de 2020 et se sont produits bien avant 2019. En fait, des enregistrements de dénonciation publiés en 2015 par le juge fédéral Murray Snow ont révélé que ces programmes avaient été utilisés pour inverser les votes de la Floride en faveur d’Obama en 2012 et les 600 millions de pages publiées par Montgomery impliquant Brennan [CIA] et Clapper [DIA] dans la gestion de l’utilisation du logiciel Hammer depuis qu’il a été réquisitionné par l’État profond d’Obama en 2009.

Le cas révélateur des systèmes de Dominion

Le meilleur point d’entrée dans le monde corrompu des élections truquées organisées par l’État profond d’aujourd’hui se trouve dans l’étude du cas de Dominion Vote Systems, une entreprise canadienne basée au Colorado qui domine le paysage électoral américain. Actuellement, le logiciel de Dominion est utilisé dans 30 États et se vante d’avoir servi 71 millions d’électeurs dans 1 635 juridictions aux États-Unis en 2016.

Parmi les États où ce logiciel exécute la lecture et le comptage des votes, sont inclus tous les États indécis qui font maintenant l’objet de recomptages et d’enquêtes judiciaires, comme le Nevada, l’Arizona, le Minnesota, le Michigan, le Wisconsin, la Géorgie et la Pennsylvanie.

Le 9 novembre, Bethany Blankley, du Washington Examiner, a rapporté que :

Le Dominion Voting Systems, qui a été utilisé dans plusieurs États où une fraude a été alléguée lors des élections américaines de 2020, a été rejeté à trois reprises par des experts en communication de données du secrétaire d’État et du bureau du procureur général du Texas pour ne pas avoir satisfait aux normes de sécurité de base.

Blankley a cité la secrétaire d’État du Texas, Ruth Hughs, qui a rejeté les efforts de Dominion pour entrer dans son État en 2019, car les systèmes n’étaient pas «à l’abri d’une manipulation frauduleuse ou non autorisée».

Allant plus loin pour démontrer son parti pris partisan en tant qu’arme de l‘État profond conçue pour renverser Trump, Dominion est directement lié à la Fondation Clinton par le biais du projet Delian de la Clinton Global Initiative. Ce projet a été créé en 2014 et affiche sur son site internet :

En 2014, Dominion Voting s’est engagée à fournir aux démocraties émergentes et post-conflit un accès à la technologie de vote grâce à son soutien philanthropique au projet DELIAN, car de nombreuses démocraties émergentes souffrent de la violence post-électorale en raison du retard dans la publication des résultats des élections. Au cours des trois prochaines années, Dominion Voting soutiendra les projets pilotes de technologie électorale avec des machines à voter automatisées (AVM), ce qui améliorera le processus électoral et, par conséquent, des élections plus sûres.

Là où la Fondation Clinton décrit les «démocraties émergentes» qui bénéficieront de la générosité de Dominion, elle se réfère en fait aux nations qui ont été ciblées pour la destruction et la reconstruction menées par les révolution de couleur sous l’image de l’idée dystopique de Soros d’un ordre mondial technocratique. Au cours de la dernière décennie, Dominion a fait don de plus de 50 000$ directement à la Fondation Clinton pour ce projet et son ancien propriétaire, William Kennard, avait été nommé par Obama en tant qu’ambassadeur auprès de l’Union européenne (2009-2013) et était auparavant nommé par Clinton lorsqu’il dirigeait le Commission fédérale des communications de 1997 à 2001.

De plus, lors de la recherche d’un lobbyiste à Washington DC, Dominion n’a pas dû aller plus loin qu’au bureau de Pelosi lorsqu’il a embauché Nadeam Elshami, ancienne chef de cabinet de Pelosi, en 2019.

Avant de déclarer hâtivement  «c’est une récompense divine pour les républicains qui ont utilisé les mêmes tactiques pour mettre Bush et Cheney au pouvoir en 2000 et 2004», il est important de se rappeler que cela va bien au-delà de la politique des partis et des frappes au cœur par le système fasciste supranational qui opère au-dessus de la politique nationale. Il s’agit d’un système supranational auquel Trump a résisté depuis son entrée en fonction lorsqu’il a déclaré que «l’avenir appartient aux patriotes et non aux mondialistes», et c’est le système qui a répandu ses tentacules dans toutes les régions du monde au cours du siècle dernier. Sidney Powell a frappé dans le mille en disant : “Ils l’ont utilisé contre d’autres entités dans d’autres pays. Il vient d’être retourné récemment contre nos propres citoyens ici pour changer les résultats des élections.”

Le cas des Philippines

Comme indiqué précédemment, le projet Delian de Dominion est un rappel des opérations de «renforcement de la démocratie» Soros-Clinton qui ont pénétré profondément dans les anciennes nations soviétiques et ont créé un désordre embarrassant aux Philippines, où sa filiale Smartmatic – dirigée par l’archi globaliste Lord Mark Malloch Brown – s’est révélée être au cœur d’une vaste fraude électorale lors des élections de 2010, 2013 et 2016.

Lorsque le pion de Soros, Benigno Aquino III, a été déclaré vainqueur aux élections de 2010 malgré une absence totale de popularité parmi la population et une masse de problèmes de vote, une analyse médico-légale des machines à voter de Smartmatic a été menée par une équipe dirigée par l’informaticien Al Vitangcol III et a constaté que tout les systèmes étaient facilement piratables de plusieurs manières soit en piratant la carte mémoire pour introduire des votes négatifs pour un candidat ou des votes positifs pour un autre, soit utiliser les ports de console et les ports USB à l’arrière des machines de comptage qui, selon Smartmatic, n’existaient que pour le diagnostic mais dont Vitangcol a prouvé qu’ils pouvaient permettre à un ordinateur portable ordinaire de se connecter et d’influencer les votes et les logiciels avec un câble série normal, ne nécessitant aucun mot de passe ou nom d’utilisateur. Enfin, le piratage des serveurs eux-mêmes contenant la transmission d’informations électorales, comme ce fut le cas lors des élections américaines de 2020, s’est révélé remarquablement facile pour les hackers qualifiés de l’équipe de Vitangcol.

Les résultats de ces études et d’autres menées sur les systèmes de Smartmatic ont suffisamment irrité le président Duterte pour exiger en mai 2019 que le gouvernement philippin «se débarrasse de ce Smartmatic et en recherche un nouveau exempt de fraude», en laissant trois ans pour accomplir la tâche.

Jusqu’à présent, nous avons établi l’essentiel de l’aspect technique de la fraude électorale qui s’est produite aux États-Unis et à l’international, et nous nous sommes confrontés à certains des opérateurs et agents supérieurs qui dirigent le jeu depuis le sommet … mais nous n’avons pas encore commencé à réellement regarder la bête elle-même dans sa pleine laideur.

C’est un exercice que nous ferons avec des détails sanglants dans le prochain épisode qui présentera la figure de Lord Mark Malloch Brown, un chef de file derrière l’effort britannique non seulement pour annuler la présidence de Donald Trump, mais aussi pour défaire la république elle-même et le système des États-nations souverains partout dans le monde.

Matthew Ehret

Traduit par jj, relu par Hervé pour le Saker Francophone

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