Boris Johnson s’est laissé corrompre pour que la guerre continue en Ukraine


Par Larry C Johnson – Le 13 octobre 2025 – Source Son of the new american revolution

Selon un article publié par le journal anglais The Guardian, l’ancien premier Ministre britannique, Boris Johnson, a reçu un paiement d’un million de dollars, l’année où il a quitté son poste, de la part d’un homme ayant de forts intérêts financiers à ce que la guerre en Ukraine continue. Selon The Guardian :

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Mahbubani nous explique la maladie stratégique de l’Europe


Par Moon of Alabama – Le 13 octobre 2025

Kishore Mahbubani est un diplomate singapourien qui a servi pendant dix ans en tant qu’ambassadeur auprès des Nations Unies. Ses interventions sur les politiques mondiales et leur développement sont toujours intéressantes.

Sa plus récente, posant la question “À quoi ressemblera la géopolitique dans les dix prochaines années ?”, ne fait pas exception (vidéo).

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En attendant les abjectes images de soumission qui n’apparaissent pas


Par Alastair Crooke – Le 9 Octobre 2025 – Source  Conflicts Forum

Trump : « Le problème avec le Vietnam…Nous avons arrêté de nous battre pour gagner. On aurait gagné facilement. Nous aurions gagné l’Afghanistan facilement. Nous pouvions gagner toutes les guerres facilement. Mais nous sommes devenus politiquement corrects. Ah, Disons le simplement ! Nous ne sommes plus politiquement corrects. Juste pour que vous compreniez : Nous gagnons. Maintenant, nous gagnons« . Tout cela aurait pu être facile, même l’Afghanistan.

Quel est le sens de cette référence de Trump au Vietnam ? « Ce qu’il dit, c’est que « nous » aurions gagné le Vietnam facilement, si nous n’avions pas été woke et DEI. Certains vétérans pourraient même dire : « Vous savez, nous avions assez de puissance de feu, nous aurions pu tuer tout le monde« .

« Peu importe où vous allez« , ajoute Trump, « peu importe ce que vous en pensez, il n’y a rien qui équivaut à la force de combat que nous avons, [y compris] Rome. Personne ne devrait jamais vouloir se battre contre les États-Unis« .

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Les gauchistes et les globalistes ont fusionné pour former une même entité effrayante


Par Brandon Smith − Le 3 octobre 2025 − Source Alt-Market

L’Amérique est profondément divisée. Elle est divisée et polarisée depuis de nombreuses années. Quiconque pense pouvoir y mettre fin ou y remédier se berce d’illusions. Quiconque pense que ce conflit est évitable se fait des illusions. Quiconque pense que cette division est « artificielle » ou qu’il s’agit d’un « faux paradigme gauche/droite » est naïf. Elle est bien réelle, tangible et indéniable.

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La guerre commerciale entre les Etats-Unis et le Chine monte d’un cran


Par Moon of Alabama – Le 11 octobre 2025

La guerre commerciale de Trump s’est un peu calmée, sauf pour la Chine.

Trump avait, comme son prédécesseur, limité les exportations de puces semi-conductrices haut de gamme vers la Chine. Il avait également arrêté l’exportation de machines et de produits chimiques utilisés pour produire des puces vers la Chine. Ces mesures sont extraterritoriales. Il est interdit à la société néerlandaise ASML de vendre ses machines haut de gamme pour la production de puces à la Chine car certaines d’entre elles contiennent des produits ou des logiciels fabriqués aux États-Unis.

Après que Trump a imposé des droits de douane supplémentaires élevés sur les marchandises en provenance de Chine, cette dernière a riposté en limitant les exportations d’éléments de terres rares. La Chine a un quasi monopole sur ces éléments. Ceux-ci sont nécessaires pour produire des moteurs électriques modernes, des aimants et divers capteurs et semi-conducteurs dont les États-Unis ont besoin. La Chine a également arrêté l’importation de soja, l’un des principaux produits dont dépendent les agriculteurs américains du Midwest.

Trump a été obligé de reculer. Les droits de douane ont été temporairement abaissés et les négociations avec la Chine se sont poursuivies. Un nouvel accord commercial devait être signé plus tard ce mois-ci à l’occasion d’une réunion entre le président Trump et le président Xi en Corée du Sud.

Mais les négociateurs américains sous la direction du sous-secrétaire au Commerce Howard Lutnick ont essayé de la jouer dur. Fin septembre, lors de pourparlers, ils ont imposé de nouvelles restrictions à la Chine :

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Le sac Vuitton, signe extérieur de pauvreté


Octobre 2025 – Source Nicolas Bonnal

Nicolas Bonnal

On a connu des temps meilleurs, comme tout le monde : mais telles sont les années 2020, après les différents krachs si bienvenus pour Goldman Sachs & consorts ; elles dessinent un destin profondément lamentable, dont parfois les rares repus de la stupidité socialiste ou capitaliste se rendent compte maintenant.

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La Chine et l’Australie se livrent une épique guerre des matières premières


Par Arnaud Bertrand – Le 8 octobre 2025 – Source Blog de l’auteur

C’est passé largement inaperçu, mais il y a actuellement une bataille épique entre les géants miniers australiens et la Chine pour savoir qui fixe les prix de l’intrant industriel le plus critique au monde – le minerai de fer – et dans quelle devise.

La Chine a récemment interdit le commerce de minerai de fer libellé en dollars du géant minier australien BHP en raison d’un différend sur les prix (fait intéressant, le commerce en RMB est toujours autorisé). Étrange coïncidence, dans les 48 heures suivant l’interdiction, trois personnes sont mortes dans un gigantesque projet minier de minerai de fer chinois qui était la clé de l’influence de la Chine dans cette bataille, forçant l’arrêt du projet.

La Chine et l’Australie ont toujours eu une relation relativement tendue autour du minerai de fer : elles dépendent complètement l’une de l’autre, piégées dans ce que la Chine appelle “dou er bu po” (斗而不破), ce qui se traduit par « se battre sans rompre« . L’incroyable pourcentage de 5% du PIB de l’Australie dépend des exportations de minerai de fer vers la Chine, car ils exportent 85% de leur fer vers ce pays. Quant à la Chine, 60% de ses importations de minerai de fer proviennent d’Australie et 13 à 20% d’une seule entreprise australienne : BHP.

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Les jours du jugement


Si vous voulez un ami à Washington, prenez un chien. Nous venons vous chercher.− Dan Bongino, directeur adjoint du FBI


Par James Howard Kunstler – Le 26 septembre 2025 – Source Clusterfuck Nation

Vous pouvez être sûr que Martha Stewart a préparé un gâteau hier soir — peut-être un délicieux gâteau Opéra ? — lorsqu’elle a appris que le sandwich au jambon connu sous le nom de James Comey avait été inculpé par un grand jury fédéral vingt-deux ans après que ce même sandwich au jambon ait inculpé la déesse du foyer et de la maison pour avoir menti au FBI et à la SEC au sujet d’une accusation montée de toutes pièces pour délit d’initié, et l’ait envoyée en prison fédérale pour une peine de cinq mois, plus cinq mois supplémentaires de confinement à domicile et deux ans de redécoration sous surveillance.

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Le Comité Nobel, craignant la colère de Trump, remet le Nobel de la paix à une marionnette de changement de régime


Par Moon of Alabama – Le 10 octobre 2025

Le président des États-Unis Donald Trump demandait à recevoir le prix Nobel de la paix. Mais suivre cette demande aurait été désastreux pour le prestige déjà terni du Nobel. Le gouvernement norvégien, qui influence fortement les décisions du comité du prix Nobel de la paix, était dans le pétrin :

À quelques heures de l’annonce du prix Nobel de la paix de cette année, les politiciens norvégiens se préparaient à des répercussions potentielles sur les relations américano-norvégiennes s’il n’était pas décerné à Donald Trump.

Trump a longtemps exprimé ouvertement sa conviction qu’il devrait recevoir le Nobel de la paix, un honneur précédemment décerné à l’un de ses prédécesseurs présidentiels, Barack Obama, en 2009 pour ses “efforts extraordinaires pour renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples”.

En juillet, M. Trump aurait appelé Jens Stoltenberg, ministre norvégien des Finances et ancien secrétaire général de l’Otan, pour lui poser des questions sur le prix Nobel.

Le chroniqueur et analyste Harald Stanghelle a émis l’hypothèse que les représailles de M. Trump – si elles devaient venir – pourraient prendre la forme de taxes douanières, de demandes de contributions plus élevées à l’Otan ou même de déclarer la Norvège comme ennemi.

Après quelques discussions en coulisses, il a été décidé de donner le prix à une personne différente de Trump, mais avec l’intention très évidente de satisfaire également Trump en poursuivant un objectif majeur de sa politique étrangère :

Le prix Nobel de la paix a été décerné vendredi à la dirigeante de l’opposition vénézuélienne, María Corina Machado, qui vit cachée après avoir tenté de se présenter contre le président Nicolás Maduro.

Machado, 58 ans, a été reconnu pour avoir maintenu “la flamme de la démocratie allumée au milieu d’une obscurité croissante” et “un autoritarisme en constante expansion au Venezuela.”

Elle dirige le parti d’opposition Vente Venezuela, mais a été empêchée de se présenter à la présidence du pays et expulsée de ses fonctions en 2014. Elle vit désormais cachée et fait face à de “graves menaces contre sa vie”, a déclaré le Comité Nobel norvégien.

L’administration Trump vise depuis longtemps à évincer Nicolas Maduro, le dirigeant socialiste du Venezuela. Elle a positionné ses moyens militaires autour du pays et envisage un changement de régime sous de faux prétextes :

Peu de temps après son entrée en fonction, Trump a déclaré que Tren de Aragua était une organisation terroriste étrangère qui avait “inondé les États-Unis de drogues mortelles, de criminels violents et de gangs vicieux. » En juillet, le président a ordonné au Pentagone de cibler certains cartels de la drogue latino-américains. En août, huit navires de guerre – dont des destroyers, un croiseur et un navire de combat littoral – opéraient dans la mer des Caraïbes. En septembre, le premier de quatre bateaux a été ciblé et 21 trafiquants de drogue présumés ont été tués. La semaine dernière, l’administration a envoyé un avis confidentiel au Congrès signalant son intention de mener d’autres frappes. La campagne pourrait s’étendre à l’intérieur des eaux territoriales vénézuéliennes ou inclure des frappes de drones à l’intérieur de ses frontières terrestres, nous ont dit des responsables de la Défense.

Mais il est loin d’être clair que les liens entre le gouvernement de Maduro et Tren de Aragua sont aussi étendus que l’administration Trump le suggère, ou même qu’ils existent. Ronna Risquez, auteur du livre El Tren De Aragua, nous a dit qu’il n’y a “aucune preuve” que Maduro dirige des gangs ou des opérations de trafic de drogue ; une note interne du Conseil national du renseignement des États-Unis est arrivée à une conclusion similaire. Il n’est pas sûr non plus que les opérations de drogue vénézuéliennes, centralisées ou non, soient suffisamment importantes pour mériter que le pays soit désigné comme une menace pour la vie des Américains. Le Venezuela n’est pas un important producteur de cocaïne ou de fentanyl. Et même si la majeure partie de la cocaïne mondiale pousse en Colombie voisine, le Venezuela n’est pas non plus une plaque tournante majeure du transit.

La campagne anti-« narco-terroriste » de Trump vise clairement un changement de régime. Ceci malgré les nombreuses offres du gouvernement vénézuélien pour permettre aux États-Unis de profiter des richesses vénézuéliennes (archivé) :

Les responsables vénézuéliens, espérant mettre fin à l’affrontement de leur pays avec les États-Unis, ont offert à l’administration Trump une participation dominante dans le pétrole et les autres richesses minérales du Venezuela lors de discussions qui ont duré des mois, selon plusieurs personnes proches des pourparlers.

L’offre de grande envergure est restée sur la table alors que l’administration Trump a qualifié le gouvernement du président vénézuélien Nicolás Maduro de “cartel narco-terroriste”, a amassé des navires de guerre dans les Caraïbes et a commencé à faire exploser des bateaux qui, selon des responsables américains, transportaient de la drogue du Venezuela.

Dans le cadre d’un accord discuté entre un haut responsable américain et les principaux collaborateurs de M. Maduro, l’homme fort vénézuélien a proposé d’ouvrir tous les projets pétroliers et aurifères existants et futurs aux entreprises américaines, d’accorder des contrats préférentiels aux entreprises américaines, d’inverser le flux des exportations de pétrole vénézuélien de la Chine vers les États-Unis et de réduire les contrats énergétiques et miniers de son pays avec des entreprises chinoises, iraniennes et russes.

Cette offre n’était pas suffisante pour un Trump avide :

L’administration Trump a fini par repousser les concessions économiques de M. Maduro et a interrompu la diplomatie avec le Venezuela la semaine dernière. Cette décision a effectivement tué l’accord, du moins pour l’instant, ont déclaré les personnes proches de la discussion.

L’administration Trump a ignoré l’offre généreuse parce qu’elle est convaincue que ses plans de changement de régime aboutiront à une domination totale sur le Venezuela.

La nouvelle lauréate du prix Nobel de la paix, María Corina Machado, joue un rôle important dans ces projets.

Qui est cette dame, vous pourriez vous demander. En juillet 2024, le NY Times a publié un portrait amical d’elle (archivé) :

Mme Machado, une ancienne députée conservatrice de l’Assemblée nationale autrefois rejetée par ses propres collègues, a non seulement rallié l’opposition frondeuse du Venezuela derrière elle, mais a également captivé une large partie de l’électorat avec une promesse de changement radical de gouvernement.

Si l’opposition gagne, M. González, 74 ans, sera président. Mais de Washington à Caracas, tout le monde comprend que Mme Machado est la force motrice du mouvement.

Elle est devenue militante politique en 2002, aidant à fonder un groupe de défense des droits des électeurs, Súmate, qui a finalement mené un effort infructueux pour destituer M. Chávez. Elle est une chérie de Washington – le gouvernement américain a fourni une aide financière à Súmate – et est devenue l’un des adversaires les plus détestés de M. Chávez.

Mais ce n’est pas seulement le gouvernement qui la déteste. Parmi ses collègues de l’opposition, elle est souvent considérée comme trop conservatrice, trop conflictuelle et trop “sifrina” — qualificatif vénézuélien pour une “classe snobement élevée” — pour devenir la dirigeante du mouvement.

Elle a expliqué que la politicienne qu’elle admire le plus est Margaret Thatcher, l’icône conservatrice connue pour son entêtement et sa fidélité au marché libre. Et Mme Machado soutient depuis longtemps la privatisation de PDVSA, la compagnie pétrolière d’État, une décision qui, selon d’autres dirigeants de l’opposition, mettrait la ressource la plus précieuse du Venezuela entre les mains de quelques-uns.

Machado, alors qu’elle était sur la liste de paie des États-Unis, a été impliqué dans une tentative de coup d’État militaire en 2002 à Caracas :

Des questions entourent encore les actions de Mme Machado en 2002, lorsque des officiers militaires dissidents et des personnalités de l’opposition ont mené un coup d’État de courte durée destiné à évincer M. Chávez. Mme Machado était au palais présidentiel lors de l’installation d’un nouveau président, Pedro Carmona.

Dans l’interview de 2005 avec le Times, Mme Machado a insisté sur le fait qu’elle et sa mère étaient au palais ce jour-là uniquement pour rendre visite à la femme de M. Carmona, une amie de la famille – et non pour soutenir le coup d’État.

Plus récemment, dans une interview accordée à la BBC en 2019, Mme Machado a appelé les “démocraties occidentales” à comprendre que M. Maduro ne quitterait le pouvoir que “face à une menace crédible, imminente et grave de recours à la force.”

Machado a même demandé au criminel de guerre sioniste Benjamin Netanyahou un soutien militaire lors d’un coup d’État (traduction automatique modifiée) :

María Corina Machado a demandé au premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, une intervention militaire au Venezuela, à travers un document publié sur son réseau social X en 2018.

Machado a décrit l’intervention militaire de « pouvoir et d’influence » contre le gouvernement vénézuélien.

« Aujourd’hui, j’envoie une lettre à Mauricio Macri, Président de l’Argentine, et à Netanyahu, Premier ministre d’Israël, pour leur demander d’utiliser leur force et leur influence pour faire avancer le démantèlement du régime criminel au Venezuela, intimement lié au trafic de drogue et au terrorisme« , a-t-elle écrit.

En outre, le document souligne que Machado était « convaincue que la communauté internationale, selon la doctrine de la responsabilité de protéger, est appelée à apporter aux Vénézuéliens le soutien nécessaire pour générer le changement« , un changement de gouvernement.

Machado est toujours de mèche avec (et probablement toujours payé par) les États-Unis pour poursuivre le changement de régime au Venezuela (archivé) :

[Le secrétaire d’État américain] Rubio a rencontré cinq personnalités de l’opposition en mai qui se sont secrètement enfuies aux États-Unis pour leur demander un “plan précis.” Il a fait l’éloge de la dirigeante de l’opposition, María Corina Machado, qu’il a appelée par son surnom, la “Dame de fer vénézuélienne”, lors d’un hommage cette année.

Pedro Urruchurtu, conseiller de Mme Machado, a déclaré dans une interview que l’opposition avait élaboré un plan pour les 100 premières heures suivant l’éviction de M. Maduro, qui impliquerait un transfert du pouvoir à Edmundo González, qui s’est présenté à la présidence contre M. Maduro l’année dernière.

Ce dont nous parlons est une opération de démantèlement d’une structure criminelle, et cela comprend une série d’actions et d’outils”, a déclaré M. Urruchurtu, ajoutant : “Cela doit être fait avec l’usage de la force, car sinon il ne serait pas possible de vaincre un régime comme celui auquel nous sommes confrontés.”

Les plans de l’opposition consistent notamment à persuader d’autres gouvernements de prendre des mesures diplomatiques, financières, de renseignement et d’application de la loi, a-t-il déclaré.

Pour récapituler – le comité du Prix Nobel de la paix donne le prix à un politicien de l’opposition en Amérique du Sud qui est à la solde du gouvernement américain et a été impliqué dans de précédentes tentatives de coups d’État militaires dans son pays. Son conseiller plaide pour l’utilisation de la force pour renverser le gouvernement. Le plan de Mme Machado est de vendre tout ce que les Vénézuéliens ont à l’empire étranger qui la paie.

Le Comité Nobel et la Norvège se sont peut-être, pour l’instant, sauvés de la colère de Trump, mais la décision d’attribuer le prix à Mme Machado est encore une autre énorme tache à son bilan.

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.

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Guerre en Ukraine VIII


Anatol Lieven et John Mearsheimer sur le conflit


Par Peter Turchin − Le 30 août 2025 − Source Cliodynamica 

Cassandre avait le don de prophétie, mais elle était maudite, de sorte que personne ne la croyait. Source

Anatol Lieven est un journaliste, auteur et analyste politique britannique. Je suis son travail depuis plus de 20 ans. Dans mon livre War and Peace War, publié en 2005, j’utilise par exemple son excellente analyse des deux facettes du nationalisme américain, le « credo américain » et le « nationalisme jacksonien ».

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