Par Jonathan Turley − Le 28 mars 2025 − Source Zero Hedge

La brillante commissaire européenne Henna Virkkunen, jamais élue par personne, mais ravie d’étaler son goût exquis pour les beaux arts.
Peu après mon retour de Berlin, à l’issue du Forum Mondial, j’ai témoigné devant le Comité Judiciaire du Sénat, et averti de la menace en construction envers la liberté d’expression que cause le Digital Services Act [DSA] de l’union européenne. Jim Jordan, président du Comité Judiciaire de la Chambre, s’est emparé du sujet et a reçu une lettre de la part de Henna Virkkunen, vice-présidente de la Commission Européenne sur les sujets de souveraineté technologique. Sa lettre est aussi vague que fallacieuse.
Cela pourrait sembler étrange à certains : le nouveau président des États-Unis a remporté les élections en ralliant la classe ouvrière contre le marais de l’establishment, mais il a placé à la barre de son assaut contre l’État profond, contrôlé par l’élite, nul autre que l’homme le plus riche du monde. Mais ce n’est un paradoxe que si vous admettez quelques hypothèses que la description ci-dessus présuppose : que la “classe ouvrière” n’est en fait pas représentée du tout dans notre système politique, et que personne sauf “l’élite” n’est impliqué dans les luttes de pouvoir en son sein. Pour comprendre ce qui se passe réellement dans la deuxième administration Trump, il faut se défaire de ces deux notions. Ce à quoi nous assistons est la dernière bataille d’une longue guerre entre deux factions de l’élite américaine. La classe ouvrière ne fait office que de figurant sur la scène – un accessoire moral dans une lutte qui n’a rien à voir avec elle.
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