Par Moon of Alabama − Le 23 août 2019
Le 30 juillet, nous avons écrit : Non, Israël n’a pas attaqué des cibles iraniennes en Irak. Nous avons PEUT-ÊTRE eu tort :
Par Moon of Alabama − Le 23 août 2019
Le 30 juillet, nous avons écrit : Non, Israël n’a pas attaqué des cibles iraniennes en Irak. Nous avons PEUT-ÊTRE eu tort :
Par Moon of Alabama – Le 30 juillet 2019
Les journaux israéliens font écho à une dépêche affirmant que des avions israéliens ont frappé des cibles iraniennes en Irak.
Haaretz : Dans une escalade majeure, Israël a frappé deux fois des cibles iraniennes en Irak à l’aide d’un F-35.
Ynetnews : Rapport : des avions de combat israéliens ont frappé des cibles iraniennes en Irak
Jerusalem Post : Rapport : Israël a lancé deux attaques contre des cibles iraniennes en Irak, en juillet
Extrait du dernier article :
L’Axe de la Résistance est plus puissant que jamais, l’Accord du Siècle est voué à l’échec
Par Sayed Hasan – Le 19 juin 2019 – Source Le cri des peuples
Discours du Secrétaire Général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah, le vendredi 31 mai 2019, à l’occasion de la Journée Internationale d’Al-Quds (Jérusalem).
Traduit par lecridespeuples.fr
Voir les extraits précédents du discours :
Extrait 1 – La Résistance et les peuples arabo-musulmans n’abandonneront jamais la Palestine
Extrait 2 – En cas de guerre, le Hezbollah et la Résistance à Gaza s’empareront de vastes territoires israéliens
Transcription
[…] (Passons à) l’Irak. Même après 2011, et après le retrait américain d’Irak, toutes les tentatives américaines de s’emparer à nouveau de l’Irak et de le contrôler complètement en matière politique et sécuritaire ont échoué. Ils ont soutenu Daesh pour qu’il constitue un prétexte au retour des forces américaines, et ce double jeu a été démasqué. La position de l’Irak dans les équations régionales est très différente aujourd’hui, et ce au niveau officiel. Je commenterai la position irakienne durant le récent sommet arabe (de La Mecque). Il en va de même aux niveaux populaire et djihadiste (capacité à combattre) en ce qui concerne les causes de la région et la Palestine.
Par Adam Garrie – Le 29 novembre 2018 – Source eurasiafuture.com
Le Docteur David Kelly fut un homme humble, en des temps marqués par l’esbroufe politique – un expert en armement qui s’exprimait d’une voix douce, en des temps de rhétorique guerrière. Ayant travaillé pour les Nations Unies ainsi que pour le gouvernement britannique comme inspecteur en armement de haut niveau, son nom fut brièvement connu du public quand, à l’issue d’une visite en Irak en 2003, le Dr Kelly conclut que le gouvernement de Bagdad disait vrai et était bien incapable de produire des armes de destruction massive, ni ne disposait de telles armes en réserve.
Kerbala, le plus grand pèlerinage au monde. Pourtant vous n’en avez probablement jamais entendu parler.
Par Sayed Mahdi al-Modarresi – Le 18 novembre 2018 – The Huffpost
Ce n’est ni le Hajj musulman [pèlerinage à La Mecque], ni la Kumbh Mela hindoue. Désigné comme le « Arbaeen » [le quarantième jour], c’est le plus grand rassemblement au monde et vous n’en avez probablement jamais entendu parler ! Non seulement cette congrégation dépasse-t-elle le nombre de visiteurs à la Mecque (par un facteur de cinq, en fait), mais elle est encore plus importante que la Kumbh Mela, puisque cette dernière n’est commémorée que tous les trois ans. En bref, Arbaeen éclipse tous les autres rallyes de la planète, atteignant les vingt millions de participants l’an dernier. Cela représente une proportion impressionnante de 60% de toute la population d’Irak, et leur nombre est en augmentation année après année.
Shakespeare a écrit un jour que le diable est capable de citer les Écritures quand il y va de son intérêt. Aujourd’hui, ce sont les termes « humanitaire » et « démocratie » qui servent à couvrir les morts et les destructions.
Par Tomasz Pierscionek – Le 4 octobre 2018 – Source RT
Des mots respectables comme « humanitaire » et « démocratie » ont fini par prendre un sens funeste et cynique du fait de leur détournement pour justifier l’invasion de nations souveraines, et promouvoir l’expansion de la domination militaire et culturelle occidentale à travers le monde. Les médias grand public ainsi que des militants des droits de l’homme y participent en diffusant des contre-vérités et en jouant sur les sentiments de peur, de colère et de répulsion du public pour l’influencer et faire passer pour juste une agression contre un État souverain. Continuer la lecture
Par Andrew Korybko – le 25 septembre 2018 – source orientalreview.org
L’Iran a reconnu avoir procédé à une frappe de missiles contre des militants kurdes en Irak.
Cette frappe s’est produite il y a presque deux semaines, le 8 septembre, et s’était vue confirmée juste après par le corps des Gardiens de la révolution islamique (GRI), mais le général de division Mohammad Ali Jafari est revenu dessus jeudi dernier [le 20 septembre 2018, NdT], en faisant la remarque que « la revanche récente des GRI sur les terroristes porte un message lourd de sens aux ennemis, en particulier aux super-puissances pensant être en mesure de nous imposer leurs machinations diaboliques et de nous intimider ». Ces propos indiquent que Téhéran ne voulait pas uniquement décapiter le commandement des deux organisations militantes kurdes qu’elle considère comme terroristes pour leur participation aux attaques transfrontalières de ces dernières années, mais également signaler à ses adversaires que la République islamique est plus que capable de mener des attaques défensives de missiles sol-sol. Continuer la lecture
Andrew Korybko – Le 29 août 2018 – Source orientalreview.org
Les États-Unis ont déclaré qu’ils resteraient en Irak « aussi longtemps que nécessaire ».
L’annonce politique a été prononcée par le Colonel Sean Ryan, porte-parole de la force opérationnelle interarmées – Opération Inherent Resolve, justifiant cette décision par une volonté de s’assurer de la défaite de Daesh, et d’entraîner les forces armées irakiennes. John Bolton, conseiller à la sécurité nationale avait précédemment déclaré, à l’instar d’autres officiels américains, que la présence militaire américaine en Syrie – pays voisin de l’Irak » était prolongée pour contenir partiellement l’Iran, si bien qu’il est raisonnable de penser qu’il s’agit également de la vraie raison pour les États-Unis de prolonger leur occupation en Irak. Les USA ont compris les prédispositions de Muqtada al-Sadr, « éminence grise » irakienne, à maintenir l’« équilibre » entre l’Iran et l’Arabie Saoudite, ce qui doit être considéré dans toute analyse de l’approche américaine du pays, et qui explique sans doute également leurs prises de risques avec la stratégie de sanctions en cours. Continuer la lecture
Par Moon of Alabama – Le 19 juin 2018
Il y a des signes que la libération tant attendue de la région de Deraa dans le sud-ouest de la Syrie approche. Après un mois de négociations entre la Russie, Israël, la Jordanie et les États-Unis, aucune solution pacifique n’a été trouvée. Les différentes forces terroristes dans la zone (en vert), y compris Hayat Tahrir al-Sham (HTS) aligné sur al-Qaïda et les groupes fidèles à l’État islamique, ont rejeté toutes les négociations. Pendant plus d’un mois, les négociateurs russes ont tenté de convaincre la population locale d’abandonner le combat et de se réconcilier avec le gouvernement. Mais les partisans de la ligne dure de la zone tenue par les rebelles ont tué tous ceux qui parlaient avec les Russes. Le gouvernement américain a mis en garde contre une opération à Deraa et a menacé d’intervenir.
L’Irakien Muqtada al-Sadr est prêt à s’engager dans un acte complexe d’« équilibrage » entre l’Iran et l’Arabie saoudite.
Par Andrew Korybko – Le 29 mai 2018 – Source Oriental Review
Le religieux chiite et ancien chef de milice est considéré comme un nationaliste irakien qui veut donner la priorité aux intérêts de son pays avant ceux de ses voisins et des États-Unis, et pour cela, il essaie de se tailler une place stratégique entre les deux, comme une « zone tampon » dans leur guerre par procuration à l’échelle de la région. Son bloc parlementaire vient de remporter les élections de la semaine dernière, et bien qu’il ne s’y soit pas personnellement présenté, il est désormais l’« éminence grise » irakienne de facto. C’est pourquoi il a récemment rencontré le Premier ministre Haider al-Abadi et aussi un politicien pro-iranien, arrivé second à cette élection, Hadi al-Amiri.