Par Norman Pollack – Le 5 septembre 2016 – Source CounterPunch
Jamais un candidat à la présidence n’a été aussi attentionné et transparent aux attraits des fastes de la richesse, ce que le New York Times – sortant de son rôle – admet être une appétence pour les ultra-riches. Dans l’article de Chozick et Martin du 3 septembre, intitulé Où était Hillary Clinton ? Demandez aux ultra-riches, nous découvrons l’appel le plus déséquilibré à la richesse, par rapport à la normale des campagnes électorales de l’histoire américaine : manoirs après châteaux, banquets après festins, portes closes, égoïstes dorlotés sortant de leurs boiseries pour se prélasser dans l’amour de ceux qui gravitent autour d’eux, fascinés comme des papillons dans la lumière. Continuer la lecture