Le président sortant s’inspire du général Sherman
Par Kit Daniels – Le 28 décembre 2016 – Source Infowars
Le président sortant Obama lance une politique de la terre brûlée pour détruire les relations internationales avant que le président élu Trump n’entre en fonction.
Alors que Obama quitte la présidence, il inflige des dommages à tout ce qui pourrait faciliter la transition du nouveau président Trump, comme les relations amicales avec les dirigeants mondiaux.
À l’heure actuelle, Obama attise tant de foyers de conflits internationaux, que le président Trump passera probablement ses cent premiers jours au Bureau ovale à les éteindre.
C’est la seule chose qu’un président canard boiteux peut faire pour entraver son successeur. Le comportement destructeur d’Obama est calqué sur la tactique que le général Sherman a utilisée dans sa Marche vers la mer, au cours de laquelle il a systématiquement tout anéanti sur son chemin pour détruire matériellement, moralement et psychologiquement le Sud.
Cette tactique explique pourquoi l’administration Obama annonce des sanctions économiques contre la Russie pour avoir soi-disant « piraté » élection, malgré le fait que les camions de déménagement soient déjà – métaphoriquement – alignés devant la Maison Blanche.
Selon Zero Hedge :
« Alors que Obama et les démocrates continuent leur croisade pour délégitimer l’administration Trump, nous soulignons une fois de plus que, malgré toute la rhétorique, pas une seule personne n’a publiquement présenté un seul élément de preuve tangible pour confirmer la participation de la Russie au piratage des emails du DNC ou de John Podesta . »
La tactique de la terre brûlée explique également le mouvement récent d’Obama contre Israël à l’ONU, qui est non seulement sans précédent pour un président US, mais présente plus le risque de déclencher une guerre que l’événement fortuit de l’attentat de Sarajevo, en 1914, à l’origine de la Première Guerre mondiale.
En effet, l’administration Obama a refusé de mettre son veto à une proposition de résolution de l’ONU demandant à Israël de cesser de construire des colonies sur le territoire palestinien occupé. Ce refus a brisé une tradition de longue date à l’ONU, voulant que les États-Unis servent de bouclier diplomatique à Israël.
Bien qu’il y ait de solides arguments selon lesquels Israël a tort et ne devrait pas voler les terres palestiniennes, l’administration Obama n’a pas été motivée par cette injustice, mais plutôt par le désir de laisser en héritage à Trump un autre désordre au Moyen-Orient.
Kit Daniels
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Commentaires du blog LaChute : Retour de Sherman et autre analyse
Traduit et édité par jj, relu par nadine pour le Saker Francophone
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