Par M.K. Bhadrakumar – Le 14 mai 2025 – Source Indian Punchline
Le président Donald Trump apparaît déjà comme un colosse traversant l’histoire du 21e siècle. Conscient qu’il lui reste moins de quatre ans pour créer son héritage, Trump est sans aucun doute un homme pressé. Étonnamment, l’ordre du jour de sa visite était assez chargé, mais il a trouvé un peu de place pour l’Inde et le Pakistan.
Le discours prononcé par Trump à Riyad le 13 mai, lors d’une visite historique dans la région qui marquera la refonte du Moyen-Orient, se distingue par la vision extraordinaire qu’il a et qui le distingue totalement de son groupe de pairs actuels dans la politique mondiale, non seulement dans le monde occidental, mais aussi dans le monde entier.
Les points forts de la visite sont les suivants :
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J’ai 

La commémoration des 100 premiers jours de la deuxième présidence de Donald Trump a déclenché une vague de commentaires le dépeignant comme un révolutionnaire. En effet, la rapidité, la pression et la détermination avec lesquelles il a agi sont frappantes. Mais ce point de vue est superficiel. Trump ne démantèle pas les fondements de l’État ou de la société américaine. Au contraire, il cherche à restaurer la république pré-globaliste que l’élite libérale a depuis longtemps détournée sur une voie utopique internationaliste. En ce sens, Trump n’est pas un révolutionnaire, mais un contre-révolutionnaire ; un révisionniste idéologue déterminé à inverser les excès de l’ère libérale.
Durant mon enfance, mon grand-père aimait regarder des combats de catch sur sa vieille télévision noir et blanc, et il m’est arrivé d’en regarder avec lui.
En ces temps reculés, le catch diffusé à la télévision ne disposait ni des financements, ni du prestige dont il dispose aujourd’hui, et rares étaient ceux qui le considéraient comme un vrai sport ; il est probable que cette discipline rivalisait avec le