Le phosphate de chloroquine a montré une efficacité visible dans le traitement de la pneumonie associée au COVID-19 dans les études cliniques
Par Jianjun Gao et Zhenxue Tian, Xu Yang − Le 18 février 2020 − Source BioScience Trends

Le virus de la maladie des coronavirus 2019 (COVID-19) se propage rapidement, et les scientifiques s’efforcent de découvrir des médicaments pour son traitement efficace en Chine. Le phosphate de chloroquine, un ancien médicament pour le traitement du paludisme, s’est révélé avoir une efficacité apparente et une innocuité acceptable contre la pneumonie associée au COVID-19 dans des essais cliniques multi régionaux menés en Chine. Il est recommandé d’inclure le médicament dans la prochaine version des Lignes directrices pour la prévention, le diagnostic et le traitement de la pneumonie causée par COVID-19 publiées par la Commission nationale de la santé de la République populaire de Chine pour le traitement de l’infection à COVID-19 dans les grandes populations futures.
Un titre obligataire spécialisé et peu connu, créé en 2017, par la Banque mondiale pourrait expliquer pourquoi les autorités sanitaires américaines et mondiales ont refusé de qualifier de «pandémie» la propagation mondiale du nouveau coronavirus. Ces obligations, maintenant souvent appelées «obligations pandémiques», visaient apparemment à transférer aux marchés financiers le risque de pandémies potentielles dans les pays à faible revenu.
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Après que trente-trois soldats turcs ont été tués dans une offensive de l’armée syrienne le 27 février dans le cadre de la campagne actuelle de libération d’Idlib soutenue par la Russie, Erdogan a répondu en rejetant entièrement la faute sur la Russie et la Syrie – en évitant avec succès toute mention du fait inconfortable que la Turquie a protégé – et continue – des réseaux terroristes radicaux non seulement à Idlib, mais dans toute la Syrie pendant des années.
Il y a un vrai pouvoir dans le mot «non».

Après six heures de négociations exténuantes – y compris des négociations directes entre Poutine et Erdogan durant près de trois heures – les parties sont finalement convenues de ce qui suit :
