Par Moon of Alabama − Le 13 janvier 2023
La nuit dernière, les États-Unis ont lancé une nouvelle attaque contre le Yémen :
Le Commandement central américain (Centcom) a annoncé que les forces américaines avaient lancé une nouvelle frappe, visant un site radar présumé utilisé par le mouvement Ansarullah au Yémen.
Cette frappe, menée par le navire USS Carney (DDG 64) à l’aide de missiles d’attaque terrestre Tomahawk, fait suite à celle du 12 janvier.
Des rapports provenant de sources multiples indiquent que les frappes aériennes ont visé les l’aéroport de Sanaa et les zones environnantes, au nord de la capitale yéménite. Selon CNN, un responsable américain a révélé que cette frappe avait été menée unilatéralement par les États-Unis et qu’elle était de moindre ampleur par rapport aux actions précédentes.
D’autres articles confirment que cette deuxième frappe en deux jours visait un site radar :



Après avoir affirmé sa « solidarité » avec le régime du Premier ministre Benjamin Netanyahu à la suite de l’attentat du 7 octobre, l’Inde s’est ensuite éloigné sans cérémonie de l’axe américano-israélien, qui servait de phare à la politique de Delhi au Moyen Orient au cours des dernières années.
Alors que nous approchons de la fin de l’année, je me laisse irrémédiablement entraîner dans une rêverie réflexive. Même si ce n’est pas la fin de la décennie, lorsque les choses prennent vraiment une teinte rétrospective, ces périodes de bouleversements font que les années semblent passer comme des décennies.
Un lanceur d’alerte a présenté une nouvelle série de documents explosifs, qui rivalisent avec les Twitter Files et les Facebook Files, voire les dépassent, en termes d’ampleur et d’importance. Ils décrivent les activités d’un groupe « anti-désinformation » appelé Cyber Threat Intelligence League (CTIL), qui a officiellement débuté en tant que projet bénévole de scientifiques des données et de vétérans de la défense et du renseignement, mais dont les tactiques semblent avoir été absorbées au fil du temps par de multiples projets officiels, y compris ceux du ministère de la sécurité intérieure (DHS).