Par Wayne Madsen – Le 14 juillet 2017 – Source Strategic Culture
Pendant que le secrétaire américain à la Défense James Mattis et le conseiller en sécurité nationale H.R. McMaster examinent la politique militaire américaine en Afghanistan, The New York Times a publié un article le 10 juillet 2017 exposant une menace qui pourrait bouleverser la stratégie de défense des États-Unis et la renvoyer à un passé amer.
Archives de catégorie : Services secrets
La torture étasunienne, le coup saoudien et les crimes de l’EI
« Par, avec et à travers des alliés »
Par Moon of Alabama – Le 22 juin 2017
L’armée américaine et / ou la CIA ont sous-traité une partie de leur campagne de torture en cours au Yémen aux Émirats arabes unis, selon l’AP. Certains « interrogatoires » se font en présence de personnel américain sur des navires américains.
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Les mensonges par omission de Comey
"Les démocrates ne combattent pas Trump pour son assaut sur les soins de santé, ses attaques contre les immigrants, son harcèlement militariste à travers le monde, ou même son statut de président minoritaire qui ne peut revendiquer aucun mandat après avoir perdu le vote populaire. Au lieu de cela, ils ont choisi d'attaquer Trump, le président le plus à droite de l'histoire des États-Unis, à partir de la droite, le dénonçant comme étant insuffisamment engagé dans une confrontation militaire avec la Russie ".
Patrick Martin, "Les Russes arrivent! Les Russes arrivent ", World Socialist Web Site
Par Mike Whithney – Le 14 juin 2017 – Source CounterPunch
Non ! Donald Trump n’est pas la cible d’une enquête du FBI, il n’a jamais été la cible d’une enquête du FBI.
Le FBI ne fait pas d’enquête sur Trump pour collusion, relations inappropriées avec un gouvernement étranger, trahison ou autres choses ridicules dont il a été faussement accusé dans les faux médias. En fait, le FBI n’enquête pas du tout sur lui.
Les démocrates s’enfoncent dans le démagogique Russiagate
L'utilisation démagogique par les Démocrates du Russia-gate pour « résister » au président Trump met les progressistes du même côté que les fauteurs de guerre et les entreprises d’armement et évite une évaluation sérieuse des problèmes politiques du parti, prévient Norman Solomon.
Par Norman Solomon – Le 5 juin 2017 – Source Consortium News
L’administration Trump a déjà causé d’énormes dommages aux États-Unis et à la planète. En chemin, le président Trump a également fait que de nombreux éminents progressistes ont abaissé la qualité de leur propre discours politique. Il nous revient de contester les effets corrosifs d’une hyperbole devenue routine et d’une démagogie absolue.
L’État profond à la manœuvre
... L'assaut contre la présidence de Trump est la plus grande menace pour la sécurité nationale américaine aujourd'hui. Stephen F. Cohen
Le maintien de toute relation entre les États-Unis et la Russie est maintenant considéré comme une trahison par l’establishment anti-Trump
Par The Real Fly – Le 17 mai 2017 – Source Russia Insider
Stephen F. Cohen, professeur d’études russes à Princeton et NYU – un espion russe évidemment – était hors de lui ce soir, dans l’incrédulité absolue à propos de la pathétique insignifiance de la gigantesque chasse aux sorcières lancée contre Trump pour assaillir sa présidence.
Il a déclaré : « Aujourd’hui, je dirais que la plus grande menace pour la sécurité nationale est cette agression contre le président Trump. Soyons clairs, il est accusé de trahison. Cela n’a jamais eu lieu en Amérique, que nous ayons un agent russe à la Maison Blanche. »
Cohen croit que Flynn n’a rien fait de mal en parlant à l’ambassadeur de Russie, expliquant qu’il n’a ainsi fait que son job.
Il a ensuite mis en lumière le fait indélébile qu’il y a une quatrième branche du gouvernement, la communauté du renseignement, qui s’est mêlée des affaires de politique étrangère américaine, entravant les trois autres branches du gouvernement, ajoutant :
« En 2016, le président Obama a conclu un accord avec le président russe Poutine, pour la coopération militaire en Syrie. Il a dit qu’il allait partager les renseignements avec la Russie, exactement ce que Trump et les Russes sont supposés avoir fait l’autre jour.
Notre ministère de la Défense, le Pentagone, a déclaré qu’il ne partagerait aucun renseignement. Et quelques jours plus tard, ils ont tué des soldats syriens, violant l’accord, et ça s’est terminé là. Alors, nous pouvons nous demander qui fait aujourd’hui notre politique étrangère à Washington ? »
Le professeur Cohen a précisé :
« Vous et moi devons poser une question subversive, y a-t-il vraiment trois branches du gouvernement, ou y en a-t-il une quatrième ? Ces services de renseignement. Ce que nous savons, en fait, c’est que Obama a essayé – pas trop – mais il a essayé de forger une alliance militaire avec Poutine, en Syrie, contre le terrorisme et il a été saboté par le département de la Défense et ses alliés dans les services de renseignement. »
Traduit et édité par jj, relu par nadine pour le Saker Francophone
Seth Rich, Craig Murray et les sinistres bureaucrates du National Security State
Par Mike Whitney – Le 19 mai 2017 – Source Unz Review
Pourquoi serait-ce une « théorie conspirationniste » de penser qu’un membre dégoûté du Comité National Démocrate (DNC) ait donné les courriels de la DNC à WikiLeaks, mais que cela n’en serait pas de penser que les courriels ont été fournis par la Russie ?
Pourquoi ?
Quel est le scénario le plus probable ? Qu’un employé frustré ait divulgué des courriers indésirables pour embarrasser ses patrons ou qu’un gouvernement étranger ait piraté les ordinateurs du DNC pour des raisons encore inconnues ?
C’est simple, n’est-ce pas ?
Des détails montrent que l’attentat de Manchester est un retour de flammes du soutien britannique au terrorisme
Par Moon of Alabama – Le 25 mai 2017
On voit apparaître quelques détails supplémentaires sur l’attentat de Manchester et sa relation avec le soutien britannique aux takfiris dans ses guerres contre les pays indépendants du Moyen-Orient et d’ailleurs. L’image n’est cependant pas différente de celle que nous avons peinte hier. L’attaque a bien été un retour de flammes de l’utilisation des takfiris pour abattre les gouvernements que la Grande-Bretagne n’aime pas.
En 2011, lorsque les Britanniques, les Français et les États-Unis ont mené une guerre contre la Libye, le gouvernement britannique a envoyé des takfiris britanniques et libyens pour lutter contre les forces gouvernementales libyennes.
Les attaques du cyberespace sont le déclencheur idéal pour un crash boursier
Par Brandon Smith – Le 17 mai 2017 – Source alt-market.com
Le monde a été étonné au cours des derniers jours par l’avènement de « Ransomware », l’utilisation de cyberattaques sophistiqués sur les systèmes vitaux, afin de (prétendument) extorquer une rançon aux entreprises et aux institutions ciblées. Je suis toujours très méfiant chaque fois qu’un cyber-incident à grande échelle se produit, principalement parce que la manière dont ces événements sont expliqués au public ne couvrent pas certaines réalités importantes. Par exemple, les médias traditionnels ne traitent que rarement ou jamais le fait que de nombreux systèmes numériques sont délibérément conçus pour être vulnérables.
Des idiots dangereux
Par Paul Robinson – Le 17 mai 2017 -– Source Irussianality
À un moment donné, pendant la campagne présidentielle américaine de l’année dernière, le parti Démocrate a décidé qu’il jouerait la carte russe et accuserait Donald Trump d’être au mieux un idiot utile du Kremlin, au pire un agent russe. Les Démocrates ont ensuite transformé cette carte pour en faire quasiment la pièce maîtresse de leur campagne, répétant sans arrêt ces accusations. Je n’arrive pas à comprendre comment ils pouvaient penser que cette stratégie était la bonne, car elle ne fait que renforcer leur manque de lien avec les électeurs ordinaires américains, mais je suppose qu’après l’avoir répété si souvent ils ont fini par y croire.
Macron : un cheval de Troie américain au Palais de l’Élysée
Par Wayne Madsen – Le 17 mai 2017 – Source Strategic Culture
Le nouveau président français, Emmanuel Macron, qui a été poussé dans la course présidentielle française en tant que contrepoids pro-Union européenne pour empêcher l’élection de la leader du Front national Marine Le Pen, semble avoir plus qu’une relation décontractée avec les États-Unis. Alors qu’il travaillait au sein du ministère de l’Économie, successivement comme inspecteur spécial et comme ministre, Macron a supervisé le vol virtuel des industries françaises stratégiques, par des entreprises américaines ayant des liens solides avec la communauté américaine du renseignement.