Par Nicolas Bonnal – Juillet 2019 – Source nicolasbonnal.wordpress.com
L’État en France, la bureaucratie à Bruxelles, l’administration Trump deviennent fous, liquidant/ruinant leur population, menaçant le reste du monde.
Un rappel…
Par Nicolas Bonnal – Juillet 2019 – Source nicolasbonnal.wordpress.com
L’État en France, la bureaucratie à Bruxelles, l’administration Trump deviennent fous, liquidant/ruinant leur population, menaçant le reste du monde.
Un rappel…
Nos sociétés ont une structure juridique basée sur l’auto-détermination et la propriété du capital, mais dans les faits, nous vivons sous la coupe d’une oligarchie néo-féodale.
Par Charles Hugh Smith − Le 22 juin 2019 − Source Of Two Minds
L’héritage romain : l’illumination des âges sombres de l’an 400 à l’an 1000 n’est pas une lecture facile. La longueur de l’ouvrage et le foisonnement de détails qu’on y trouve sont une véritable épreuve.
Le jeu en vaut la chandelle, car cet ouvrage nous aide à comprendre comment la structure du pouvoir dans les sociétés évolue avec le temps, d’une manière qui rend ces évolutions invisibles à ceux qui les vivent.
Le livre « Inheritance of Rome » concentre son analyse sur la longue influence qu’ont eues les structures centralisées politiques et sociales de Rome alors même que son pouvoir économique central et ses routes commerciales perdaient de leur importance
Un drame bayésien en un acte
Par Ugo Bardi – Le 16 juin 2019 – Source CassandraLegacy
L’histoire du garçon qui criait trop souvent au loup est un bon moyen d’illustrer notre attitude envers les gens qui essaient de nous avertir des dangers qui nous attendent. Qu’il s’agisse d’un loup ou du changement climatique [Ou des complots de la CIA, NdT], le résultat est toujours le même : les prophètes de malheur ne sont pas crus (et, parfois, ils sont pendus). Voici une version de l’histoire du garçon et du loup racontée à l’aide de statistiques bayésiennes où je suppose, contrairement à la version d’Ésope, que le garçon essayait simplement de faire de son mieux – si vous ne connaissez pas l’approche bayésienne, essayez ce lien où l’histoire est très bien expliquée. Cet article, en tout cas, ne prétend pas utiliser la théorie bayésienne dans sa version complète, c’est une histoire « montypythonesque » pour illustrer comment les politiciens et le public ne peuvent comprendre les statistiques.
Par Moon of Alabama − 28 juin 2019
Le Financial Times a publié aujourd’hui un long et vaste entretien avec le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine.
Une transcription complète est actuellement disponible via ce lien.
Par W. Ben Hunt – Le 27 mai 2017 – Source Epsilon Theory
Chaque hiver, nous perdons quelque chose ici à Little River Farm. C’est comme une dîme que prend la nature, année après année, après année. Cet hiver a été particulièrement difficile. Le vortex polaire et tout ça, je suppose. Aucune des abeilles n’y a survécu.
Soupir. J’ai perdu des ruches par le passé. Ça arrive. Mais ce n’est jamais facile. Tout sauf joyeux. Elles travaillent SI DUR pour rester en vie pendant l’hiver de la Nouvelle-Angleterre. Elles sont toutes enfermées dans une boîte pendant des mois et vous ne pouvez pas ouvrir la ruche pour les surveiller car cela les affaiblirait à coup sûr et vous ne pourriez de toute façon rien faire, et alors vous attendez, et vous vous inquiétez et vous faites tout pour installer des pare-vents et vous ne savez pas comment elles vont à l’intérieur et finalement il fait assez chaud pour casser la ruche et leur apporter de l’aide et … la mort. Rien que la mort.
Par Dmitry Orlov – Le 20 juin 2019 – Source Club Orlov
La semaine dernière, un article que j’ai écrit il y a un an, « Les barbares envahissent le cimetière européen », a connu un regain d’intérêt. J’y décrivais comment la dégradation constante des pays occidentaux est accélérée par l’arrivée de migrants issus de groupes ethniques incompatibles. Ce qui a provoqué ce regain d’intérêt, c’est un article de Paul Craig Roberts dans lequel il a décrit mon essai comme « la nécrologie de l’Europe et de l’Amérique ». Je maintiens tout ce que j’ai écrit – peu importe le nombre de personnes qui ont du mal à l’avaler – mais au cours de l’année écoulée, j’ai fait des recherches qui m’ont aidé à comprendre pourquoi exactement le projet occidental a déraillé, et il s’avère que j’ai beaucoup plus à dire sur ce sujet.
C’est une réflexion sur la façon dont l’effondrement de l’unité culturelle médiévale en Europe a eu de nombreux effets différents, de la chasse aux sorcières à la musique classique. Il m’est venu à l’esprit en rassemblant les différents éléments des différents exposés entendus lors de l’excellente rencontre « Colloqui di Martina Franca« qui s’est tenue dans les Pouilles en mai 2019 avec Boian Videnoff et Giovanni Semeraro.
Par James Howard Kunstler – Le 10 Juin 2019 – Source kunstler.com
Une nuit de février 1924, dans une salle de concert de Manhattan appartenant à l’Aeolian piano company… le glissando de clarinette gémissant, déformé et aplati qui ouvre la Rhapsody in Blue de George Gershwin annonçait la reconnaissance qu’en ce début de XXe siècle, le monde, et surtout les États-Unis, était plein de nouveautés. Le compositeur a essayé de représenter l’énergie prodigieuse de la culture industrielle en pleine maturité dans une cacophonie symphonique avec un cœur de profonde tendresse – capturant tout l’émerveillement et la grâce de l’instant. Pour l’Amérique, tout était en mouvement. L’amour et la puissance étaient dans l’air.
Par The Saker – Le 7 juin 2019 – Source thesaker.is via Unz Review
Nous savons tous que les néocons sont de loin le groupe de sponsors le plus important et le plus influent des guerres d’agression américaines. Ce sont eux qui ont exercé le plus de pression pour l’invasion de l’Irak, et ce sont eux qui, pendant des décennies, ont tenté toutes les combines possibles pour entraîner les États-Unis dans des actes d’agression contre l’Iran. En fait, en termes de droit international, les néocons pourraient être considérés comme un gang international de criminels de guerre.
Pourquoi ?
Par Guillaume Durocher – Le 14 mai 2019 – Source Unz Review
Les dirigeants politiques et économiques s’entendent aujourd’hui pour dire que nous devons maximiser la croissance économique. Cette hypothèse touche pratiquement tout le spectre politique, à l’exception d’une minorité radicale de Verts opposés à la croissance qui prônent la décroissance. Tout le monde voudrait plus d’argent dans son porte-monnaie personnel, dans le bilan de son entreprise et/ou dans les finances de l’État (du moins pour mettre fin aux programmes d’« austérité »). Dans ce contexte, l’obsession du président américain Donald Trump pour les derniers chiffres boursiers n’est pas très différente du mantra du président Jean-Claude Juncker sur « l’emploi et la croissance ».