Par Eric Zuesse − Le 3 Février 2022 − Source Oriental Review
Le néoconservatisme (plaidoyer pour le contrôle de la planète entière par le gouvernement américain – c’est-à-dire, d’un empire ou d’une « hégémonie » américaine universelle) a été énoncé pour la première fois en 1877, par le colonialiste de l’empire britannique Cecil Rhodes (fondateur de la Rhodésie et de l’Afrique du Sud en tant que colonies britanniques) lorsqu’il a rédigé le premier projet de son testament qui a finalement donné naissance à l’organisation Rhodes Trust qui sélectionne et endoctrine principalement les futurs dirigeants américains et britanniques afin de les former aux moyens d’entrer (et d’aider d’autres d’entre eux à entrer) dans leurs gouvernements respectifs et dans leurs agences de presse ou de propagande afin de contribuer à la mise en place d’un contrôle du monde entier par une aristocratie unie du Royaume-Uni et des États-Unis – les milliardaires qui contrôlent ces deux pays, et (accessoirement) les milliardaires qui contrôlent d’autres pays de langue anglaise, comme le Canada et l’Australie. C’était le plan, et cela reste le plan.