Pékin a décidé que l’asservissement (par la dépendance à l’opium ou aux jeux) ne pourra plus jamais se reproduire.
Par Alastair Crooke – Le 6 septembre 2021 – Source Strategic Culture
“La Lettre écarlate” est l’histoire de Hester Prynne dans l’Amérique puritaine du XVIIe siècle. L’histoire commence après que Hester a donné naissance à un enfant hors mariage et refuse de nommer le père. En conséquence, elle est condamnée à être raillée par une foule moqueuse, subissant “chaque pas [de la cellule de la prison à la place du marché] de ceux qui se pressaient pour la voir [comme] une agonie, comme si son cœur avait été jeté dans la rue pour qu’ils l’écrasent et le piétinent”. Après cela, elle doit porter un “A” écarlate – pour adultère – épinglé à sa robe pour le reste de sa vie. Dans la banlieue de Boston, elle vit en exil. Personne ne veut la fréquenter, pas même ceux qui ont discrètement commis des péchés similaires, dont le père de son enfant, le saint pasteur du village. La lettre écarlate a “l’effet d’un sort, la soustrayant aux échanges ordinaires avec le reste de l’humanité et l’enfermant dans une sphère à part”. Continuer la lecture