Ali Khamenei, Guide Suprême de la Révolution Islamique: l’arme nucléaire est illicite en Islam

Par Sayed7asan

l’Occident craint un Iran développé et indépendant

Vidéo sous-titrée en français

https://www.youtube.com/watch?v=DIa8TfK0yDg

Dans ces extraits, Sayed Ali Khamenei révèle les véritables raisons de l’acharnement occidental contre l’Iran sur le dossier nucléaire. Il est utile de les rappeler au moment où un accord semblerait plus proche que jamais, ce d’autant plus que la voix iranienne n’est que rarement entendue. L’hostilité suscitée par l’Iran est en réalité due au fait qu’il s’agit d’un pays souverain qui, depuis la Révolution Islamique de l’Imam Khomeini en 1979, refuse de se soumettre à l’hégémonie politique, économique et culturelle des États-Unis et a atteint un très haut niveau de développement de manière indépendante. La question nucléaire n’est qu’un prétexte, car une fatwa de l’Imam Khomeini interdit catégoriquement les armes nucléaires, ce que personne ne pourrait remettre en cause en Iran. L’Imam Khomeini, et à sa suite l’Imam Khamenei, ont ouvertement déclaré la superpuissance impériale américaine et son cheval de Troie qu’est Israël comme des ennemis irréductibles, et ont œuvré de manière cruciale contre leur influence au Moyen-Orient. Tels sont leurs crimes impardonnables.

Version anglaise : khamenei.ir

Traduction française : http://www.sayed7asan.blogspot.fr

 

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L’assassinat de la Grèce

 

James Petras

Par James Petra – Le 23 février 2015 – Source voltaire.net

James Petras a été directeur du Centre d’études européennes à Athènes (1981-1984) et conseiller du Premier ministre Andreas Papandreou (1981-1984). Il analyse la crise grecque et ses enjeux par rapport à l’Union européenne.

Yánis Varoufákis and Aléxis Tsípras

Le gouvernement grec est actuellement pris dans un combat pour la vie ou la mort avec l’élite de l’Union européenne qui domine les banques et les centres de décision. L’enjeu, ce sont les moyens de subsistance de onze millions de Grecs, ouvriers, employés et petits entrepreneurs, et la viabilité de l’Union européenne. Si le gouvernement de Syriza capitule devant les demandes des banquiers européens et accepte de poursuivre les programmes d’austérité, la Grèce sera condamnée à des décennies de régression, à la misère et à la domination coloniale. Si la Grèce décide de résister et se trouve contrainte de sortir de l’Union européenne, il lui faudra répudier 270 milliards d’euros de dettes étrangères, envoyant les marchés financiers internationaux au crash et provoquant l’effondrement de l’UE.

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L’exceptionalisme suprématiste US à rude épreuve

Mike Whitney

Par Mike Withney – Le 20 février 2015 – Source CounterPunch 

La bataille derrière le brouillard de la propagande
L’exceptionalisme US souffre de Sa défaite écrasante à Debaltsevo

«Il n’y a plus de ville. Elle est détruite.» – Un soldat ukrainien anonyme après la bataille de Debaltsevo.

En moins d’un an, les Etats-Unis ont renversé le gouvernement démocratique élu en Ukraine, installé au pouvoir à Kiev un larbin soutenu par Washington, lancé une guerre sanglante et coûteuse en vies humaines pour les populations russophones de l’Est, poussé l’économie dans une spirale mortelle et réduit la nation à un État anarchique et déliquescent voué à endurer une guerre civile vicieuse et fratricide aussi loin qu’on peut le prévoir.

La semaine dernière, Washington a subi sa plus grande défaite militaire en plus de dix ans, lorsque l’armée ukrainienne conseillée par les États-Unis a été sévèrement battue autour de l’important nœud ferroviaire de Debaltsevo. En gros, 8 000 hommes de l’armée ukrainienne régulière, ainsi qu’une quantité innombrable de chars et d’unités blindées, ont été encerclés dans ce qui a été nommé le chaudron. L’armée de la République populaire de Donetsk, sous le commandement d’Alexander Zakharchenko, a encerclé les envahisseurs et a progressivement resserré le cordon, en tuant ou en capturant les troupes prises dans la poche. Les Forces armées ukrainiennes ont enregistré de nombreuses victimes, entre 3 000 et 3 500, tandis qu’elles abandonnaient derrière elles une grande quantité de matériel militaire offensif.

Selon Zakharchenko, «la quantité d’équipement abandonné par les unités ukrainiennes est indescriptible».

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Méchant Assad, méchant Kadhafi et maintenant méchant Poutine: Comment l’Ouest vend ses guerres (et commet ses massacres)

Par Ghada Chehade – Le 21 février 2015 – Source Russia Insider

Politiques de distraction et variables économiques en Ukraine
Parallèle avec la Syrie, la Libye et l’Irak.

L’ennemi N°1

Alors que le conflit en Ukraine persiste et que les pourparlers de paix entre Poutine et les dirigeants d’Europe occidentale (Merkel et Hollande) continuent, il est important de s’intéresser aux acteurs et aux intérêts économiques qui bénéficient du conflit et du changement de régime en Ukraine, et de faire la comparaison avec la situation de pays comme la Syrie, la Libye et l’Irak.

Il y a des aspects de ces conflits, et des intérêts qui les sous-tendent, qui échappent au public parce que les médias subventionnés occidentaux les passent sous silence et que les gens, submergés par les difficultés humaines et politiques, ne pensent pas à les rechercher. Par exemple, les médias subventionnés passent tout leur temps à diaboliser un ennemi après l’autre, que ce soit Poutine du fait de la situation en Ukraine, Assad en Syrie, Kadhafi en Libye ou Saddam Hussein en Irak, etc., au lieu d’enquêter sur la manière dont des acteurs externes exploitent ou renforcent ces conflits et ces situations pour en tirer des profits politico-économiques, comme l’accès au pétrole, l’obtention de prêts du FMI aux conditions d‘octroi destructrices ou l’interruption de politiques nationales qui nuisent aux intérêts économiques et à l’influence de puissances étrangères.

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Le suprématisme compulsionnel finit par lasser

Par Philippe Grasset – Le 19 Février 2015 – Source dedefensa

Armé de son demi-siècle d’expérience de chroniqueur US installé à Paris, William Pfaff observe ce 18 février 2015 la Compulsion to Dominate de Washington, affection mentale entrée dans sa phase aiguë après la chute du communisme, accélérée irrésistiblement par 9/11 et qui est désormais précipitée dans sa phase complètement compulsive; cela commence à lasser même ses plus fidèles serviteurs formés aux écoles transatlantiques de la soumission standard. Pfaff décrit surtout, dans son texte, les résultats de cette sorte d’obsession assez proche de la manie compulsive et servant de politique aux USA au Moyen-Orient, d’ISIS en Daesh et en «État islamique» qu’il est nécessaire d’abattre absolument et immédiatement, avec l’installation d’un désordre sur le désordre, cela d’une façon telle qu’on en constate aisément la création et l’accouchement du désormais fameux hyperdésordre.

Profitant d’un moment d’inattention de Washington, qui s’est allongé sur un divan pour sa consultation habituelle, Pfaff décrit aisément son diagnostic qui n’est pas dépourvu d’une ironie fatiguée…

«Il y a aux États-Unis une incorrigible conviction que seule l’indispensable nation peut amener la paix dans d’autres nations par toujours plus d’interventions et de guerres, provoquant des guerres civiles, tribales et sectaires dans lesquelles les États-Unis choisissent leur camp, nomment les dirigeants, et accordent les institutions.»

«Ainsi, le président Obama a-t-il demandé récemment au Congrès l’autorisation de mener une guerre contre ISIL pour trois ans. Washington est déjà occupé à réaliser des frappes aériennes et fournit de l’armement et de la formation aux troupes du Moyen-Orient, affirmant comme justification un droit inhérent à l’auto-défense individuelle et collective.

Quelle est la menace que représente ISIL  pour les États-unis? S’il existe une menace pour les forces américaines dans la région, ce serait facilement résolu par le retrait de ces forces.

«Cela laisserait les Arabes à eux-mêmes pour se défendre contre peu importe quoi ou peu importe qui les menace. N’est-ce pas mieux de cette façon? La raison principale pour laquelle la guerre au Moyen-Orient a continué depuis près de quarante ans, c’est que les troupes américaines ont été déployées en permanence sous une forme ou une autre, avec une justification ou une autre, depuis l’opération Bouclier du désert en 1990. (Auparavant, l’administration Reagan avait envoyé les forces US au Liban pendant trois mois, avec des conséquences désastreuses pour les  Marines US, provoquant le retrait de la force).»

«Washington a été obsédé par le Moyen-Orient depuis 1990, en raison du pétrole qui s’y trouve, d’Israël et de la reconnaissance du fait que la région constitue le centre et le dynamisme de la religion islamique, même si la majorité des musulmans dans le monde sont en Indonésie, au Pakistan, et ailleurs en Asie, et en Afrique…»

En fait, parlant de son ironie fatiguée (celle de Pfaff), nous faisions allusion plus précisément au dernier paragraphe de son commentaire qui n’est pas cité ci-dessus, qui le conduit tout de même, et fort justement, à en venir à l’Ukraine et à Poutine. Ce raccourci-là était nécessaire, tout comme ses dernières observations où il implique le couple Merkel-Hollande et ses escapades poutiniennes, et l’incompréhension béate des experts et commentateurs washingtoniens qui continuent à vouer la Russie aux gémonies absolument… Il est vrai que, dans une analyse prémonitoire, le même Pfaff avait prédit, aux premiers signes de la phase aiguë de la manie compulsive, que tout cela se terminerait en A Burlesque of an Empire («To Finish in a Burlesque of Empire?», dans l’International Herald Tribune du 12 mars 1992, voir le 23 novembre 2003 sur ce site) ; traduction inutile, «a burlesque of an empire» … Au contraire pour la conclusion de l’article d’hier de Pfaff, et, disons, au moins pour le plaisir de la plume:

«Depuis la chute de l’Union soviétique, la politique de Washington a été conduite par une obsession compulsive de domination, et pas seulement au Moyen-Orient. C’est ce qui, plus récemment, a inspiré le coup en Ukraine: compléter l’érection d’un mur de l’OTAN autour de la Russie, et intimider Vladimir de manière à faciliter son remplacement. Cela a conduit à l’intervention d’Angela Merkel et de François Hollande ce dernier week-end pour bloquer le programme américain d’envoi d’armes à ce pays, selon une démarche bien dangereuse, toujours pour intimider Vladimir Poutine. Les principaux pays européens n’ont plus confiance dans le gouvernement américain. Cela peut être considéré, peut-être même devrait-on dire que cela doit être considéré comme un développement rassurant, bien que nombre d’Américains n’aient pas encore compris pourquoi.»

Finalement, ce que marque l’article de Pfaff, c’est la mise en évidence soudaine d’une certaine fatigue, voire d’une grosse fatigue de l’Empire. Nous parlions plus haut, comme on dispose d’une image symbolique pour permettre une transition, «d’un moment d’inattention de Washington, qui s’est allongé sur un divan pour sa consultation habituelle»; il est vrai que, depuis quelques jours, disons une grosse semaine, on a soudain la perception d’une baisse de rythme de la folie compulsive de l’Empire. Deux événements servent d’explication de circonstance à cette sorte de passage à vide, qui ne sont que des occasions, des exutoires opérationnels de quelque chose de plus profond…

• La comédie grotesque d’un Obama demandant au Congrès des pouvoirs de guerre pour partir-en-guerre contre ISIS/Daesh, sur lequel on tape déjà et qui n’en a cure, qui est une créature de la nébuleuse Washington-Riyad et Cie, cette comédie devait donner un certain lustre à l’entreprise impériale saisonnière contre la menace-contre-la-civilisation de service. Le Congrès soutenant la chose, ce serait une sorte de légalisation au moins pour une saison de l’illégalité permanente où barbote l’Empire, ou plutôt le Système dans son appendice à prétention impériale au sein du bloc BAO. Cela permettrait de maintenir un rythme languissant, mais un rythme tout de même dans la marche en avant de cette machine destructrice d’entropisation. Mais Washington étant ce qu’il est devenu, une machine dans la machine fabriquant de l’impuissance et de la paralysie, le Congrès rechigne. Là où Obama croyait la piètre partie aisément jouable, il rencontre une étrange coalition des deux ailes, aussi bien des républicains super-hawks que des démocrates qui jouent à être effarouchés par les risques de l’aventure extérieure. Il y a même des commentateurs pour croire que l’occasion est bonne pour monter un procès, comme le propose Andrew J. Bacevich le 14 février 2015 :

«La demande du Président Obama pour l’Autorisation d’utiliser la Force Militaire (AUMF) ne pouvait pas arriver à un moment plus propice. Le projet d’AUMF représente pour le Congrès une extraordinaire opportunité de ne pas entériner les mesures déjà prises et de faire le bilan d’une entreprise qui dépasse déjà la guerre du Vietnam en longueur tout en ne montrant pas le moindre signe de succès final. L’effort de l’armée américaine, afin de stabiliser, de pacifier, de dominer ou de démocratiser le Grand Moyen-Orient a échoué irrémédiablement. Taper plus fort encore, avec des frappes aériennes ou des raids d’opérations spéciales ou même avec une opération offensive durable au sol ne donneront pas un résultat différent.»

• Sur le front ukrainien, ces quinze derniers jours ont constitué un revers majeur pour Washington. L’entrée en piste du couple Hollande-Merkel sous la houlette d’un Poutine qui s’avère increvable, la médiocrité exceptionnelle, – tout est exceptionnel avec Washington – de la direction ukrainienne, le chaos lunaire qu’est devenu l’armée ukrainienne dans ses expéditions intérieures, tout a conspiré, comme dans un vaste complot dont nul ne connaît l’instigateur, pour repousser l’Empire et ses livraisons d’armes sur la touche. Washington a encaissé tout cela sans riposter, il a même voté à l’ONU en faveur d’une motion déposée par la Russie haïssable et promise à être détruite. Depuis le sommet de Moscou, à Canossa-sur-la-Moskova, les USA semblent paralysés dans l’affaire ukrainienne, là aussi brusquement privés de leur rythme, à bout de souffle et à court d’idées déstabilisatrices. Comme l’observe Pfaff, les principaux pays européens n’ont plus confiance dans le gouvernement américain – et Dieu sait si ces gouvernements européens sont les derniers à encore soutenir les USA puisqu’ils considèrent en général se trouver dans la même galère (le bloc BAO). Et le gouvernement américain reste là, sans réaction, et le Congrès n’en fait pas plus, avec sa pile de lois votées pour soutenir et surarmer l’Ukraine contre la Russie, ces lois qui semblent brusquement devenues dérisoires.

Pour survivre dans l’occurrence actuelle qui réunit tous les ingrédients de l’effondrement, l’Empire a besoin de mouvement, c’est-à-dire du mouvement perpétuel en avant, de ce qu’on nomme la fuite en avant, courir toujours plus vite pour ne pas risquer de tomber si l’on cesse de courir, fuir la réalité de cette manie compulsive de la domination qui semble désormais s’exercer sur le vide. Pour cela, il faut du rythme, et pour maintenir le rythme, il faut du souffle. Si l’un et l’autre viennent à manquer et imposent une pause qui peut être fatale, alors se découvre le paysage où l’on évolue, qui est le produit direct des actes additionnés depuis des années, qui sont des actes de destruction, de désolation, de désertification nihiliste. Nous sommes dans un de ces moments, sans savoir bien entendu s’il est décisif ou passager. L’Empire s’est arrêté, brusquement épuisé, et il contemple sans rien voir précisément ni y comprendre grand-chose le produit de sa domination.

Comme le notait Pfaff il y a plus de vingt ans, cet Empire-là n’a même pas la grandeur de ses plus grands prédécesseurs, qui avaient le sens de la tragédie qu’est l’Histoire, et de la tragédie que leur propre sort constituait. L’incompréhension de ce qu’il est réellement, l’aveuglement pour contempler la production de sa politique nihiliste, l’empêchent d’atteindre à cette dimension qui fait qu’on reste à la hauteur de ses ambitions même contrariées jusqu’à l’effondrement, et qu’on peut prétendre avoir eu un destin historique. Effectivement, malgré les destructions, les souffrances, le mensonge général, l’hypocrisie élevée à la grandeur d’un des beaux-arts de l’esprit, malgré la puissance, le poids des armes et la rapacité de l’argent, malgré le pouvoir de l’illusion et du simulacre, l’Empire se retrouve nu dans ces moments-là, pauvre prisonnier d’une pathologie convulsive alimentée par un hybris dévorant, caricaturé impitoyablement par ses propres discours – A Burlesque of an Empire, décidément…

Philippe Grasset

Extraits en anglais traduits pas Toma, relus par Diane pour le Saker Francophone

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La guerre sanglante de Kiev : retour de flamme

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Lorsque les officiers de l’armée ukrainienne sont arrivés au village de Velikaya Znamenka pour dire aux hommes de se préparer à être mobilisés, ils ne s’attendaient pas à ce qui est arrivé ensuite. Alors que l’officier parlait, une femme s’est emparée du micro et lui a dit : «Nous sommes malades de cette guerre! Nos maris et nos fils n’iront nulle part!» Ensuite, elle a tenu un discours enflammé, dénonçant la guerre et les responsables du coup à Kiev, sous les acclamations de la foule.

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MATRIX et illusionnisme
Des vessies pour des lanternes

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La dissonance cognitive est un terme à la mode. Il s’agit d’un trouble mental de plus en plus répandu qui frappe les individus pris entre la réalité des situations vécues et le discours officiel qui leur restitue ces réalités, passées à la moulinette de la bien-pensance, sous forme de narrations fantasmatiques. Ou, plus simplement dit, l’écart entre les mots et les choses, ou plus simplement encore, les vessies pour des lanternes. La seule possibilité pour sortir de cette névrose est de choisir son camp et les risques afférents. Choisissez le réel, vous êtes un terroriste – car, sans repères, le réel terrorise, effectivement – et vous devrez souffrir de cette stigmatisation, ou bien optez pour la narration officielle, vous êtes un complice, conscient ou pas – mais très momentanément en paix. 

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Intrusion des US en Thaïlande
Retour de flamme

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Les observations faites dans le sillage de la chute du régime fantoche soutenu par les USA en Thaïlande discréditent encore davantage la superpuissance en déclin.

D’abord à Hong Kong, maintenant en Thaïlande, le projet américain ininterrompu d’installer des régimes fantoches, afin d’étendre son hégémonie à travers l’Asie-Pacifique, a encore échoué.

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