Par Norman Pollack – 2 novembre 2016 – Source CounterPunch
Damné si je le fais, Damné si je ne le fais pas. Pareil
Lorsqu’un organe de droite (FBI), au cœur du gouvernement depuis sa création, apparaît maintenant à la gauche du principal candidat à la présidence (Clinton), on sait qu’il pêche sur les rivages du fascisme. D’un point de vue démocratique, ce n’est pas pire. Même son challenger marche à son pas dans la vulgarité, prétentieux, indécent, à l’autoritarisme viscéral. Des deux faces du Janus de l’État de classe, lui au moins ne diabolise pas Poutine et la Russie, alors qu’elle prépare une confrontation encore plus large, y compris avec la Chine, menant dangereusement à une guerre catastrophique, et d’abord à la rupture de l’ordre international.
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