Par Philip M. Giraldi – Le 13 mars 2018 – Source The Unz Review
La dernière salve en date, dans le cadre de la saga du Russiagate, est un article de 15 000 mots, publié dans le New Yorker, intitulé « Christopher Steele, l’homme derrière le dossier Trump : comment l’ex-espion a essayé d’avertir tout le monde sur les liens de Trump avec la Russie » signé par la célèbre journaliste Jane Mayer. L’axiome de départ est aussi limpide que l’annonce son titre indigeste : le dossier Steele, qui mettait en cause Donald Trump et ses associés dans une myriade de crimes et de délits, a fondamentalement raison d’exposer la menace existentielle que représente la Russie pour notre pays. Comment en vient-elle à cette conclusion ? En citant des sources non identifiées, mais dont le lecteur doit accepter la crédibilité comme irrécusable, et en y ajoutant les témoignages d’amis et de soutiens de Steele.