… Clinton perd une fois de plus
Par Moon of Alabama – Le 2 juin 2017
En avril, le New York Times a publié cette idiotie : Les hackers russes qui ont ciblé Clinton semblent attaquer la France de Macron
… Clinton perd une fois de plus
Par Moon of Alabama – Le 2 juin 2017
En avril, le New York Times a publié cette idiotie : Les hackers russes qui ont ciblé Clinton semblent attaquer la France de Macron
... L'assaut contre la présidence de Trump est la plus grande menace pour la sécurité nationale américaine aujourd'hui. Stephen F. Cohen
Le maintien de toute relation entre les États-Unis et la Russie est maintenant considéré comme une trahison par l’establishment anti-Trump
Par The Real Fly – Le 17 mai 2017 – Source Russia Insider
Stephen F. Cohen, professeur d’études russes à Princeton et NYU – un espion russe évidemment – était hors de lui ce soir, dans l’incrédulité absolue à propos de la pathétique insignifiance de la gigantesque chasse aux sorcières lancée contre Trump pour assaillir sa présidence.
Il a déclaré : “Aujourd’hui, je dirais que la plus grande menace pour la sécurité nationale est cette agression contre le président Trump. Soyons clairs, il est accusé de trahison. Cela n’a jamais eu lieu en Amérique, que nous ayons un agent russe à la Maison Blanche.”
Cohen croit que Flynn n’a rien fait de mal en parlant à l’ambassadeur de Russie, expliquant qu’il n’a ainsi fait que son job.
Il a ensuite mis en lumière le fait indélébile qu’il y a une quatrième branche du gouvernement, la communauté du renseignement, qui s’est mêlée des affaires de politique étrangère américaine, entravant les trois autres branches du gouvernement, ajoutant :
“En 2016, le président Obama a conclu un accord avec le président russe Poutine, pour la coopération militaire en Syrie. Il a dit qu’il allait partager les renseignements avec la Russie, exactement ce que Trump et les Russes sont supposés avoir fait l’autre jour.
Notre ministère de la Défense, le Pentagone, a déclaré qu’il ne partagerait aucun renseignement. Et quelques jours plus tard, ils ont tué des soldats syriens, violant l’accord, et ça s’est terminé là. Alors, nous pouvons nous demander qui fait aujourd’hui notre politique étrangère à Washington ?”
Le professeur Cohen a précisé :
“Vous et moi devons poser une question subversive, y a-t-il vraiment trois branches du gouvernement, ou y en a-t-il une quatrième ? Ces services de renseignement. Ce que nous savons, en fait, c’est que Obama a essayé – pas trop – mais il a essayé de forger une alliance militaire avec Poutine, en Syrie, contre le terrorisme et il a été saboté par le département de la Défense et ses alliés dans les services de renseignement.”
Traduit et édité par jj, relu par nadine pour le Saker Francophone
Par Mike Whitney – Le 19 mai 2017 – Source Unz Review
Pourquoi serait-ce une « théorie conspirationniste » de penser qu’un membre dégoûté du Comité National Démocrate (DNC) ait donné les courriels de la DNC à WikiLeaks, mais que cela n’en serait pas de penser que les courriels ont été fournis par la Russie ?
Pourquoi ?
Quel est le scénario le plus probable ? Qu’un employé frustré ait divulgué des courriers indésirables pour embarrasser ses patrons ou qu’un gouvernement étranger ait piraté les ordinateurs du DNC pour des raisons encore inconnues ?
C’est simple, n’est-ce pas ?
Par Paul Robinson – Le 17 mai 2017 -– Source Irussianality
À un moment donné, pendant la campagne présidentielle américaine de l’année dernière, le parti Démocrate a décidé qu’il jouerait la carte russe et accuserait Donald Trump d’être au mieux un idiot utile du Kremlin, au pire un agent russe. Les Démocrates ont ensuite transformé cette carte pour en faire quasiment la pièce maîtresse de leur campagne, répétant sans arrêt ces accusations. Je n’arrive pas à comprendre comment ils pouvaient penser que cette stratégie était la bonne, car elle ne fait que renforcer leur manque de lien avec les électeurs ordinaires américains, mais je suppose qu’après l’avoir répété si souvent ils ont fini par y croire.
Le président en exercice a remporté la victoire contre le conservateur Raisi, avec un taux élevé de participation qui garantit la poursuite de l’ouverture du pays au monde.
Par Pepe Escobar – Le 20 mai 2017 – Source Asia Times via entelekheia.fr
Dans la bataille électorale récurrente entre les principlists (conservateurs) et les réformistes, les réformistes iraniens ont encore remporté une franche victoire.
Le président de l’Iran, Hassan Rohani, a été plébiscité samedi – avec au moins 56.88% des votes selon le dernier décompte au moment de la publication de cet article, et une part des votes estimée à 20 millions de voix (il en avait obtenu 18,6 millions en 2013).
A la fin, comme prévu, tout s’est joué sur le taux de participation ; plus de 70% dans les villes principales, avec un pic de 78% à Qom – le cœur religieux du chiisme. Un faible taux de participation aurait bénéficié aux intégristes, qui peuvent compter sur une base électorale de « vrais croyants » d’à peu près 20% de voix. Vingt-neuf pourcents de l’électorat iranien se compose de jeunes adultes (18-29 ans) très mobilisés par les élections.
Par Moon of Alabama – Le 17 mai 2017
Ce texte est la suite des « infobidons » d’hier, suivi d’une histoire sur un mémo de Comey.
Par Moon of Alabama – le 16 mai 2017
C’est la journée #infobidon. Trois histoires font la ronde dans les médias et toutes reposent sur une interprétation d’informations fausses ou largement exagérées. La Corée du Nord, la Syrie et le président états-unien en sont les cibles.
Par Robert Parry – Le 13 mai 2017 – Source Consortium News
L’hystérie qui entoure le RussiaGate a pris de l’ampleur après que le président Trump a renvoyé le directeur du FBI, Comey, mais la grande question est de savoir si un « coup d’État en douce » est en train de se dérouler ou pas aux États-Unis, rapporte Robert Parry.
Où est Stanley Kubrick, quand on a besoin de lui ? S’il n’était pas mort en 1999, il serait un parfait réalisateur pour transformer l’hystérie contemporaine à propos de la Russie, en un théâtre de l’absurde reprenant son classique de la guerre froide, Dr Strangelove – Dr Folamour –, une satire très moqueuse sur la folie du nucléaire et la non moins folle idéologie qui la sous tend.
Pour alimenter mon point de vue, le Washington Post a publié jeudi une longue histoire intitulée « Attention, un russe dans la Maison Blanche », article portant sur un photographe russe autorisé à entrer dans le bureau ovale pour photographier la réunion entre le président Trump et le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.
Préambule du Saker
Les quatre articles qui vont suivre sont une exception à la règle habituelle qui veut que ce blog ne republie pas d’articles déjà parus. Dans ce cas, à la demande de Paul Fitzgerald et Elizabeth Gould, j’ai décidé de faire une exception, en raison de l’importance et de l’intérêt du sujet : les origines du mouvement néocon. Je suis particulièrement reconnaissant à Paul et Elizabeth, qui ont accédé à ma demande de supprimer les restrictions originales au droit d’auteur de ce matériel pour une publication sur le blog du Saker. L’analyse qu’ils ont écrite offre un aperçu très important des racines et de l’histoire du phénomène néocon.
Par Paul Fitzgerald and Elizabeth Gould – Le 10 mai 2017 – Source The Saker
Lasciate ogne speranza, voi ch’intrate. (Vous qui entrez, laissez toute espérance.)
— Dante, La Divine comédie, L’Enfer (partie 1), Chant 3, vers 9
Partie 1 – L’impérialisme américain conduit le monde à la vision que Dante donne de l’Enfer
Par Pepe Escobar – Le 8 mai 2017 – Source Asia Times via entelekheia.fr
Donc, en fin de compte, l’Occident a été sauvé par l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la France : soulagement à Bruxelles, une eurozone pleine d’entrain, et des reprises boursières sur les marchés d’Asie.
Cela a toujours été une évidence. Après tout, Macron était approuvé par l’UE, déesse des marchés, et par Barack Obama. Et il était totalement soutenu par la classe dirigeante française.