Par Jonathan Cook – Le 27 février 2019 – Son blog via Sayed7asan.

Juifs orthodoxes de Jérusalem brûlant le drapeau d’Israël, et revendiquant le démantèlement de l’État hébreu.
On peut mesurer à quel point l’attitude de la communauté internationale à l’égard d’Israël s’est complètement inversée au cours des cinquante dernières années en étudiant le sort d’un simple mot : « sionisme ».
En 1975, lors de l’Assemblée générale des Nations Unies, le monde entier se dissociait de la position des États-Unis et de l’Europe pour déclarer que le sionisme, l’idéologie fondatrice d’Israël, « est une forme de racisme et de discrimination raciale ».
À la suite de l’envoi, par la poste, de dispositifs explosifs de capacité incertaine à des critiques éminents du président américain Donald Trump et d’une fusillade massive dans une synagogue de Pittsburgh – la faute de Trump, bien sûr – ainsi qu’une invasion de migrants s’approchant des États-Unis via le Mexique, il y a eu de nombreux appels à atténuer la rhétorique politique dure et « clivante ».


Par James Howard Kunstler – Le 17 août 2018 – Source 


Par Eric Zuesse – Le 14 juillet 2018 – Source
La Knesset vient d’adopter une loi fondamentale qui définit explicitement le caractère juif de l’État hébreu, ce qui a provoqué de vives protestations de la minorité arabe qui y voit du racisme et une menace de discrimination. Masud Ganaim, député de la Liste arabe unie au parlement israélien, a commenté l’événement pour Sputnik.
