Par Moon of Alabama – Le 9 mai 2024
Un article paru récemment dans le New York Times nous renvoie à un nom qui a joué un rôle important dans le « nationalisme » ukrainien du siècle dernier.
L’histoire de la région occidentale de l’Ukraine est, comme dans d’autres régions européennes, un drame assez complexe qui se déroule encore de nos jours.
Les premiers rapports sur l’épuisement dû à la guerre dans l’Ukraine occidentale « nationaliste » arrivent. Natalia Yermak, productrice ukrainienne de dessins animés devenue journaliste au New York Times, s’est rendu dans la région de Galicie, près de Lviv :
« Nous devons être clairs sur le fait que notre Europe est aujourd’hui mortelle », a déclaré le président français Emmanuel Macron dans un
Charles Michel, le président du Conseil européen, a appelé l’Europe à passer à une « économie de guerre » . Il justifie cet appel en partie par un soutien urgent à l’Ukraine, mais surtout par la nécessité de relancer l’économie européenne (en perdition) en se concentrant sur l’industrie de la défense.
La semaine dernière a été riche en rebondissements. Elle a commencé avec la condamnation par la Cour suprême des États-Unis (9-0) de l’utilisation du 14e amendement pour punir les opposants politiques. Ensuite, la méchante sorcière de Kiev, Vic(Toria) « Cookies » Nuland, a été évincée du département d’État après avoir torturé le monde pendant des décennies avec sa psychopathie.
Les entretiens du ministre ukrainien des affaires étrangères, Dmytro Kuleba, à New Delhi vendredi se sont essentiellement résumés à des réunions avec seulement deux responsables indiens : son homologue indien S. Jaishankar et le conseiller adjoint à la sécurité nationale Vikram Misri. Le Premier ministre Narendra Modi n’a pas reçu Kuleba. Dans l’ensemble, le pays hôte a adopté une
Alors que le gouvernement suédois a récemment clos son enquête sur la plus grande attaque terroriste contre des infrastructures vitales de l’histoire européenne, déclarant qu' »aucun suspect n’a été identifié« , un analyste de données et chercheur indépendant connu sous le nom de « Mortymer » a mené ce que l’on pourrait qualifier d’enquête approfondie sur l’identité des auteurs des attaques contre le Nord Stream, le 26 septembre 2022.