Par Moon of Alabama – Le 7 mars 2019
John Bolton a gagné. Après une courte période de calme et de pourparlers entre les États-Unis et la Corée du Nord, les deux parties se dirigent de nouveau vers un conflit. Mais une chose importante a changé.
Par Moon of Alabama – Le 7 mars 2019
John Bolton a gagné. Après une courte période de calme et de pourparlers entre les États-Unis et la Corée du Nord, les deux parties se dirigent de nouveau vers un conflit. Mais une chose importante a changé.
Parce que l’aventure qu’ils mènent est exactement le genre d’effort excessif et de dissipation d’énergie qui ne peut que profiter à Pékin et à Moscou
Par Martin Sieff – Le 26 février 2019 – Source Russia Insider
Le secrétaire d’État, Mike Pompeo, le conseiller à la sécurité nationale, John Bolton, et l’envoyé spécial pour la restauration de la démocratie au Venezuela – titre farfelu – Elliott Abrams, sont-ils des agents d’influence de la Russie et de la Chine ? Cette idée a bien plus de valeur que la plupart des ridicules paranoïas qui ont balayé Washington au cours des dernières années.
Juan Guaidó est le produit d’un projet décennal, supervisé à Washington par les meilleurs formateurs du laboratoire des « changements de régime ». Tout en se faisant passer pour un champion de la démocratie, il a passé des années à la pointe d’une violente campagne de déstabilisation.
Par Dan Cohen et Max Blumenthal – Le 29 janvier 2019 – Source Gray Zone

Avant la journée fatidique du 22 janvier, moins d’un Vénézuélien sur cinq avait entendu parler de Juan Guaidó. Il y a quelques mois à peine, cet homme de 35 ans était un personnage obscur dans un groupe d’extrême droite politiquement marginal, étroitement associé à de terribles actes de violence urbaine. Même dans son propre parti, Guaidó avait été un personnage de rang intermédiaire à l’Assemblée nationale, dominée par l’opposition, qui est actuellement mise en examen pour outrage à la Constitution du pays.
Par Wayne Madsen – Le 20 février 2019 – Source Strategic Culture
Pour montrer, à chaque jour qu’il passe à son poste, qu’il a adopté le script néocons, Donald Trump a accordé une victoire majeure à ceux-ci en nommant le félon du scandale Iran-Contra, Elliott Abrams, comme envoyé spécial au Venezuela.

Éditorial – Le 15 février 2019 – Source Strategic Culture
Cette conférence a été présentée comme une conférence sur la paix et la sécurité au Moyen-Orient, qui s’est tenue cette semaine à Varsovie, la capitale polonaise. Le sommet tant vanté dirigé par les États-Unis était tout sauf une conférence sur la paix et la sécurité dans la région déchirée par le conflit. C’était un sommet de guerre contre l’Iran.

Par The Saker – Le 19 février 2019 – Source thesaker.is via Unz Review
Le Saker : Ma première question vous concerne personnellement. Il y a une entrée Wikipedia sous votre nom mais puisque Wikipedia est, au mieux, une sorte de source aléatoire, que pouvez-vous dire à nos lecteurs de vous-même ? Que doivent-ils savoir avant de passer à la question de la situation actuelle au Venezuela ?
Par Michael Hudson – Le 7 février 2019 – Source thesaker.is via Unz Review

Le Saker : Pouvez-vous résumer l’état de l’économie du Venezuela lorsque Chavez est arrivé au pouvoir ?
Michael Hudson : Le Venezuela était une mono-industrie du pétrole. Ses recettes d’exportation ont été largement consacrées à l’importation de produits alimentaires et autres nécessités qu’elle aurait pu produire chez elle. Son commerce était fait en grande partie avec les États-Unis. Malgré sa richesse pétrolière, il a donc augmenté sa dette extérieure.
Par Moon of Alabama – Le 11 février 2019
La légitimité d’un dirigeant peut être mieux déterminée en interrogeant les gouvernés.
La firme de sondage indépendante vénézuélien Hinterlaces a interrogé directement 1 580 Vénézuéliens pour savoir qui ils considéraient comme le président légitime du Venezuela.
57% ont déclaré que Nicolás Maduro était le président légitimé. 32% ont déclaré Juan Guaidó. 11% ne savaient pas ou n’ont pas répondu.
Par Moon of Alabama – Le 9 février 2019
La tentative de coup d’État américain au Venezuela ne concerne pas que le pétrole et l’impérialisme américain. Il s’agit d’essayer de ramener au pouvoir un type particulier de personnes. Le même genre de personnes qui gouvernent à Washington DC.
Le journal The Nation décrit comment les États-Unis ont longtemps financé et manipulé l’opposition au Venezuela. Le Random Guy™, Juan Guaidó, qui revendique la présidence, a été créé de cette manière :
Comment Washington a financé la contre-révolution au Venezuela
…le stratagème manque de soutiens
Par Moon of Alabama – Le 7 février 2019
Un jour à peine après la tentative de coup d’État américain au Venezuela, la feuille de route américaine était déjà assez évidente :