Par Will Daniel – Le 6 avril 2023 – Source Fortune
GREEDFLATION. L’arnaque sur les prix signifie : des prix élevés pour vous et des bénéfices records pour les grandes entreprises
Lorsque les coûts augmentent, les bénéfices augmentent aussi ??? Ce n’est pas ainsi que le capitalisme est censé fonctionner, mais c’est pourtant la tendance récente. Depuis plus d’un an, les consommateurs et les entreprises, tant aux États-Unis que dans le reste du monde, sont confrontés à une inflation tenace. Mais cette flambée des coûts n’a pas empêché les entreprises d’engranger des bénéfices records. L’an dernier, les entreprises figurant dans le classement Fortune 500 ont généré à elles seules un bénéfice record de 1 800 milliards de dollars pour un chiffre d’affaires de 16 100 milliards de dollars. Des voix situées à gauche de l’échiquier politique ont tiré la sonnette d’alarme à ce sujet – pensez à Bernie Sanders au Congrès ou à la récente mise à l’épreuve de l’ancien secrétaire au Trésor, Larry Summers, par Jon Stewart. Mais un économiste travaillant pour l’une des plus anciennes et des plus grandes banques d’investissement du monde chante lui aussi le même refrain.

Malgré tout le tintouin que fait Washington, de plus en plus de pays intègrent leurs chaînes d’approvisionnement avec la Chine. Même le ministre britannique des affaires étrangères fait
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Israël est actuellement confronté à un défi unique et redoutable : une force irrégulière multi-frontale qui représente une menace plus grande pour l’État que les armées arabes traditionnelles du passé. Cette force irrégulière se distingue par l’introduction de la guerre des missiles et d’un front véritablement uni, qui ont modifié les règles d’engagement et contraint l’État d’occupation à s’adapter en toute hâte.
Jusqu’à présent, l’assaut militaire prévu par l’Ukraine, initialement annoncé pour novembre 2022, a été reporté indéfiniment. Les sources étrangères diffèrent dans leur évaluation de l’état de préparation de Kiev à une contre-attaque contre la Russie et s’accordent à dire qu’il est difficile pour les Ukrainiens de rassembler suffisamment de forces.
La question posée à ce stade est la suivante : l’Occident collectif approche-t-il de la fin d’un cycle ? Ou sommes-nous toujours en milieu de cycle ? S’agit-il d’un mini-cycle de quatre générations ou d’un point d’inflexion historique ?