Par Tom Luongo − Le 20 avril 2020 − Source Strategic Culture
Peu importent mes efforts pour creuser la tombe politique de la chancelière allemande Angela Merkel, elle s’avère plus apte à rester en vie qu’un cafard dans un tas de bois. Et le récent combat entre les membres de l’Union européenne au sujet des «Coronabonds» [Obligations européennes mutualisant les dettes des membres de l’UE] lui a encore donné une occasion pour échapper à son élimination politique.

La chancelière allemande Angela Merkel fait une déclaration aux médias sur la propagation de la nouvelle maladie à coronavirus (COVID-19) à la Chancellerie de Berlin, Allemagne, le 22 mars 2020. Michel Kappeler / Pool via REUTERS
Un thème récurrent parmi les théoriciens du complot est que l’élite n’attend que le bon moment pour déployer sa technologie de «marquage de la bête» pour identifier et contrôler à distance chaque être humain sur la planète, scellant ainsi ses plans pour un gouvernement mondial unique. Et avec beaucoup de gens prêts à faire à peu près n’importe quoi pour revenir à une certaine normalité, ces craintes semblent plus justifiées à chaque jour qui passe.
Je vais vous donner un indice. Ce ne sont pas les Russes, ni les suprématistes blancs, ni les Gilets jaunes, ni le Culte Nazi de la Mort de Jeremy Corbyn, ni le misogyne Bernie Bros, ni les terroristes à la casquette MAGA, ni aucune des autres forces «populistes» réelles ou fictives auxquelles le capitalisme mondial fait la guerre depuis quatre ans.
Franchement, je n’ai jamais considéré les groupes de frappe de porte-avions comme un élément « pertinent » de l’US Navy pendant la Guerre froide.





