Une incursion succincte dans la reconnaissance de formes.
Par Bogdan Herzog − Mai 2020
Le terme COVID est-il censé être lu en hébreu ? Est-ce que cela signifie être possédé par un esprit maléfique ?
Une incursion succincte dans la reconnaissance de formes.
Par Bogdan Herzog − Mai 2020
Le terme COVID est-il censé être lu en hébreu ? Est-ce que cela signifie être possédé par un esprit maléfique ?
Par James Howard Kunstler − Le 5 juin 2020 − Source kunstler.com
Bien sûr, George Floyd ne méritait pas de mourir avec le genou d’un flic sur le cou et le visage écrasé sur le bitume de la route, mais après le début, hier, d’une série de funérailles à la mémoire de l’ancien voleur à main armée, condamné et maintenant vénéré, on pourrait penser qu’il était la réincarnation – et la suite – de George Washington. Ah bon ? Euh, vérifiez ça… : Washington était propriétaire d’esclaves et, par définition, raciste. Alors Jules César – basé sur la façon dont le révérend Al Sharpton beuglait lors des premières funérailles de jeudi à Minneapolis. Tu peux répéter s’il te plaît ? Jules César possédait aussi des esclaves ? Et Abe Lincoln alors ? Nooon, juste un autre homme blanc ? Et un raciste refoulé … comme on dit.
Par Moon of Alabama – Le 19 juin 2020
La différence entre les États-Unis et l’Union européenne est assez frappante. Les États-Unis ont manifestement renoncé à maîtriser l’épidémie.
La dernière fois que la population américaine des moins de 65 ans a diminué, c’était lors d’une pandémie mondiale… Et maintenant ?
Par Chris Hamilton – Le 4 février 2020 – Source Econimica
Ce qui se passe en Chine est vraiment effrayant, tant pour ceux qui sont actuellement à risque que pour le reste d’entre nous en raison du manque de transparence. Que la situation soit contenue ou métastase, cela semble vraiment être dans la balance, à l’heure actuelle. La dernière fois que le monde a été confronté à une pandémie mondiale de proportions épiques a été la grippe espagnole de 1918/1919. Bien qu’elle n’ait pas pris les proportions de la peste noire (qui a anéanti environ un tiers de la population européenne en cinq ans, ainsi qu’une grande partie de l’Eurasie), l’épidémie de grippe espagnole a été horrible. De toute évidence, la population mondiale était beaucoup plus petite à l’époque (moins de 2 milliards) et le monde était beaucoup moins interconnecté par les transports à grande vitesse et les frontières ouvertes, qui existent aujourd’hui. Pourtant, environ 500 millions de personnes ont été infectées par la grippe espagnole (un quart de la population mondiale) et entre 50 et 100 millions ont péri à cause de la maladie (entre 3 et 5 % de la population mondiale).
Comment les événements catalytiques changent le cours de l’histoire
Par Ugo Bardi – Le 24 mai 2020 – Source CassandraLegacy
Les attentats du 11 septembre 2001 sont des exemples classiques d’« événements catalytiques » qui changent le cours de l’histoire. Ils peuvent être considérés comme les déclencheurs des « effondrements de Sénèque », soudains et catastrophiques, ils sont bien décrits par les mots de Sénèque, « le chemin de la ruine est rapide ». C’est la façon dont l’histoire se déplace : jamais en douceur mais toujours avec des soubresauts. L’exemple le plus récent d’un tel effet catalytique est l’épidémie actuelle de coronavirus.
Comment l’une des sociétés pharmaceutiques les plus corrompues prévoit d’accaparer le marché des remèdes Covid-19
Par Whitney Webb & Raul Diego – Le 9 avril 2020 – Source The Last American Vagabond
L’un des fabricants de vaccins américains les plus politiquement liés mais aussi les plus scandaleux, ayant des liens troublants avec les attaques à l’anthrax de 2001 et la crise des opioïdes, va profiter largement de la crise actuelle du Coronavirus.
Par Dmitry Orlov – Le 8 juin 2020 – Source Club Orlov
Ceux qui observent les protestations et les pillages qui ont eu lieu aux États-Unis et dans les pays à leur botte depuis une semaine environ ont été frustrés dans leurs efforts pour en trouver une justification convaincante. La quête de justice stimulée par la mort particulièrement pittoresque par crise cardiaque d’un certain criminel violent et aussi trafiquant de drogue après avoir été étouffé par un policier en est certainement une, mais elle ne motive pas la violence ou le pillage qui s’en est suivi. La théorie selon laquelle les Démocrates et l’État profond fomentent des troubles afin d’empêcher Trump de remporter un second mandat est sympathique, mais ce qui manque, c’est une explication convaincante de la raison pour laquelle un pays économiquement dévasté serait plus enclin à voter pour le vieux et sénile Biden que pour un Trump drôlement aléatoire mais implacablement franc, qui a demandé le rétablissement de l’ordre public par tous les moyens nécessaires, y compris l’introduction de patrouilles militaires de type occupation irakienne, mais qui a été contrecarré par les gouverneurs Démocrates libéraux, les membres du Congrès et même le Pentagone. Au moment des élections, de nombreuses personnes seraient peut-être prêtes à admettre que le rétablissement de l’ordre public par tous les moyens nécessaires est justement ce pour quoi il faut voter.
Par Martin Sieff − Le 27 mai 2020 − Source Strategic Culture
− Inspecteur Gregory : Y a-t-il un autre point sur lequel vous souhaiteriez attirer mon attention ? − Sherlock Holmes : Oui, sur l'incident curieux du chien pendant la nuit. − Gregory : Le chien n'a rien fait pendant la nuit. − Sherlock Holmes : C'était ça l'incident curieux. «L'aventure de Silver Blaze» - Par Arthur Conan Doyle
Comme au Carnaval de Venise, les habitants de la cité virtuelle se cacheront derrière des masques bariolés
Par Patrice-Hans Perrier − Le 8 juin 2020 − Source Carnets d’un Pèlerin
Nous assistons au triomphe de la possession des corps et des esprits. Les grands régisseurs du cirque universel ont fabriqué une sorte de théâtre d’ombres à partir de cette « pandémie » de coronavirus qui représente, d’après eux, une occasion en OR afin de mettre en scène la grande Guerre de tous contre tous. Ainsi, tablant sur l’effet de peur et le suivisme des foules pour assigner à résidence des milliards d’être désorientés, les grands régisseurs viennent de confisquer l’espace public de manière définitive. Dorénavant, vous ne pourrez plus circuler comme bon vous semble au beau milieu d’une cité transformée en théâtre d’opérations d’ingénierie socialo-sanitaire.
Par Denis G. Rancourt – Le 2 Juin 2020 – Source Research Gate
Les dernières données sur la mortalité toutes causes confondues par semaine ne montrent pas une charge hivernale de mortalité statistiquement plus importante que pour les hivers précédents. Il n’y a pas eu de peste. Cependant, un « pic COVID » étroit est présent dans les données, pour plusieurs juridictions en Europe et aux États-Unis.
Ce « pic COVID » de mortalité, toutes causes confondues, présente des caractéristiques uniques :
Ces caractéristiques du « pic COVID », ainsi qu’un examen de l’histoire épidémiologique et des connaissances pertinentes sur les maladies respiratoires virales, m’amènent à postuler que le « pic COVID » résulte d’un homicide de masse accéléré de personnes immunovulnérables et de personnes rendues plus immunovulnérables par des actions gouvernementales et institutionnelles, plutôt que d’être la signature épidémiologique d’un nouveau virus, quel que soit le degré de nouveauté du virus du point de vue de la spéciation virale.