Par Ron Unz − Le 24 juin 2024 − Source Unz Review
En 2019, une personnalité publique de tout premier plan — dont le nom est extrêmement connu — s’est rendue à Palo Alto pour partager un dîner privé avec moi. Apparemment, il était au courant des écrits controversés que j’avais produits l’année précédente, au sujet de l’assassinat de JFK et, à la veille des révélations sur Jeffrey Epstein, il avait conclu que j’avais probablement raison sur l’idée qu’Israël et le Mossad portaient sans doute une lourde responsabilité dans la mort du 35ème président des États-Unis. Alors que nous discutions de ce sujet, j’ai adhéré à certains éléments de son raisonnement, et ai expliqué que le Mossad avait également joué un rôle central dans les attentats du 11 septembre, chose qui le surprit grandement, car il n’avait apparemment jamais creusé ce sujet-là.


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On semble toujours revenir à la même question : l’Europe a-t-elle bien réfléchi ? Là encore, la réponse probable est « non » . Il est plus probable que la « gifle » contre le président Poutine ait été perçue plutôt comme une opération intelligente – l’image du mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale délivré à l’encontre de Poutine, avec un fonctionnaire allemand déclarant catégoriquement que l’Allemagne appliquerait le mandat si Poutine se rendait dans ce pays.
L’échelle est colossale : ce sont les procureurs généraux de pas moins de 40 États des États-Unis qui se rassemblent pour accuser Google de duper ses utilisateurs. Cette fois-ci, les poursuites sont centrées sur la pratique consistant à laisser penser aux utilisateurs qu’ils ont bien débrayé la fonction de suivi du positionnement géographique depuis leur compte, alors que la société continue de collecter des données à leur sujet.
Les audiences du 6 janvier sur l’émeute du Capitole, réalisées pour la télévision, ont débuté la nuit dernière avec une vidéo d’hommage d’un grand nombre d’Américains ordinaires en colère marchant sur le bâtiment majestueux où, ce jour fatidique, la cérémonie de certification finale d’une élection manifestement malhonnête était en cours après quatre ans de machinations séditieuses par une bureaucratie militarisée visant à mettre hors d’état de nuire et à détruire le chef de l’exécutif en exercice.
