Par Dmitry Orlov – Le 10 décembre 2021 – Source Club Orlov

J’ai reçu une avalanche de courriels de personnes qui craignent que la troisième guerre mondiale n’éclate à tout moment. La plupart de ces inquiétudes ont une seule et même cause : les délires imprimés et diffusés par la presse occidentale. Mais je voudrais suggérer que c’est la presse occidentale qui est le problème, et non un quelconque conflit militaire potentiel impliquant l’Ukraine. La presse occidentale est une blague : il n’y avait pas d’armes de destruction massive ; le fréon ne perce pas de trous dans la couche d’ozone ; Trump n’était pas un agent russe ; la Syrie n’a pas utilisé d’armes chimiques contre son propre peuple ; les émissions de dioxyde de carbone provoquent un refroidissement global, pas un réchauffement global (mais a peu d’effet en tout cas) ; il n’y a pas de troupes russes dans le Donbass ; et…. La Russie ne va pas envahir et annexer l’Ukraine. En outre, aucune incitation ou provocation ne peut inciter la Russie à le faire. Elle ne veut tout simplement pas s’embarrasser de ce pays misérable et sinistré.

Les journalistes américains sont menacés de lourdes amendes par le Trésor américain pour avoir écrit pour les « mauvais » sites web, a déclaré à RT l’écrivain Daniel Lazare, qui craint que la réputation de son pays en tant que défenseur de la liberté de la presse ne soit terminée.

Le capitalisme mondial a donc franchi le Rubicon. La phase finale de leur plan qui vise à transformer la société en une dystopie totalitaire devenue pathologique — au sein de laquelle les injections obligatoires de thérapie génétique et les documents numériques qui attestent d’une bonne conformité à leur Nouvelle normalité sont monnaie courante — est à présent lancée de manière officielle.
Dans les années 1990 et au début des années 2000, le gouvernement russe grouillait d’agents de la CIA, et ils ont finalement dû être « nettoyés » et renvoyés aux États-Unis, a expliqué, jeudi, le président russe Vladimir Poutine.
