Jean-Loup Izambert – Le Scandale Ivermectine


Par Hervé – Source le Saker Francophone

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Jean-Loup Izambert

Le journaliste Jean-Loup Izambert revient sur cette chronique à l’occasion de la publication d’un livre d’actualité sur une facette relativement ignorée de cette pandémie abracadabrantesque de Covid-19. Moins médiatisée que l’Hydroxychloroquine, l’Ivermectine a été et est toujours au centre d’un scandale d’état dont les ramifications vont sans doute faire trembler nombre d’oligarchies dans tous l’Occident.

 

La forme est différente de ses précédents travaux déjà présentés sur notre site car il s’agit d’une série de courtes chroniques s’enchaînant d’un souffle pour retracer l’actualité récente de ce médicament. L’auteur nous fait partager son enquête depuis les premières étapes en Janvier 2020, au tout début de la pandémie, jusqu’à ces dernières semaines où la pression sur les mensonges médiatiques montent de part le monde, mettant à mal le discours consensuel des « experts ».

L’enquête s’appuie notamment sur de nombreuses sources médicales, étatiques ou journalistiques qui viennent corroborer et confirmer le sentiment diffus qui pointait dans nos colonnes ; il existe un profond réseau de médecins, de juristes, de fonctionnaires qui font encore leur travail au nom de ceux qui les payent, c-a-d nous les peuples.

Cet ouvrage est centré sur l’Ivermectine, son histoire, son parcours médical et les services que ce médicament a rendu et, semble-t-il, continue de rendre au delà des premières applications. Jean-Loup Izambert nous fait aussi découvrir comment les milieux médicaux ont travaillé autour de cette molécule dans le cadre de la crise sanitaire, depuis son apparition.

C’est aussi un livre de vulgarisation pour mettre à la portée de tous les travaux de recherche les plus récents et permettre à chacun de traverser le mur du « scientisme » dressé par des médecins ou des chercheurs, mis en avant dans les médias, dont les conflits d’intérêts avec big Pharma font honte à leurs professions.

Si l’auteur s’attarde sur la lutte en France, au niveau des agences de santé et du gouvernement, il prend aussi le temps de montrer le rôle des organisations non gouvernementales comme l’OMS et son financement privé donnant les reines de la santé mondiale à une poignée de gens non élus qui osent donner des leçons de démocratie à la terre entière.


Interview de Jean-Loup Izambert du 4 décembre 2021

– Bonjour Mr Izambert. Pourquoi un livre sur l’Ivermectine seul et pas l’Hydroxychloroquine qui a aussi occupé l’espace médiatique ?

Jean-Loup Izambert : Comme je l’explique dans Le scandale Ivermectine en faisant référence aux nombreuses études scientifiques vérifiées par des pairs qui ont été publiées, l’Ivermectine est utilisé depuis 1988 par plus de 4 milliards de personnes. Il faut saluer à ce sujet le très important travail accompli par des doctorants et scientifiques qui ont créé aux États-Unis, en novembre 2020, la plus grande base de données sur l’Ivermectine mise en ligne sur internet à l’adresse www.ivmmeta.com. Chacun peut y trouver librement toutes les principales études et leurs caractéristiques. Ce médicament est considéré comme sûr et efficace et, surtout, il peut être utilisé à tous les stades de la maladie alors que l’hydroxychloroquine doit plutôt être administrée de manière précoce.

Pour l’Ivermectine les effets secondaires sont très rares et surtout liés à des interactions médicamenteuses. Ce médicament a une liste croissante d’indications en raison de ses propriétés antivirales et anti-inflammatoires et figure sur la liste des « médicaments essentiels » de l’OMS. Très curieusement, c’est la même OMS qui va en déconseiller l’utilisation au prétexte du « manque de preuves d’efficacité ». Il suffit de lire les données scientifiques publiées sur www.ivmmeta.com et les études des revues scientifiques pour voir que cet argument ne tient pas. Le dossier très complet constitué au fil du temps et régulièrement mis à jour par les chercheurs de ce site met à bas les propos du même type avancés par les fonctionnaires de l’Union européenne, de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), de la Haute autorité de la santé (HAS) et du Haut conseil de la santé publique (HCSP) en France. Il est évident que cette décision grotesque et criminelle va favoriser les produits peu efficaces et dangereux à ARNm des sociétés anglo-saxonnes dont des fondations privées de leur mouvance sont les principaux contributeurs au budget de l’OMS.

En juin 2021, de nombreux et grands pays ont obtenu avec l’Ivermectine des résultats incontestables, peu rapportés par les médias occidentaux. Parmi ceux-ci, je citerai la République de l’Inde dont je montre la différence entre les États ayant suivi la recommandation de l’OMS de ne pas utiliser l’Ivermectine et ceux ayant suivi les études scientifiques de l’utiliser et qui, contrairement aux premiers, ont enrayé avec succès la maladie covid-19. Mais il y a aussi certains États des États-Unis, le Mexique, le Pérou, le Paraguay, l’Argentine, le Brésil, le Bulgarie l’Allemagne, la République islamique d’Iran, le Venezuela, l’Afrique du Sud, la République Tchèque, la Slovaquie ou le Japon parmi d’autres. Selon la base de données internationale sur l’Ivermectine (www.ivmmeta.com) au mois de décembre 2021 le médicament est utilisé dans plus de 20 pays pour environ 37% de la population mondiale. L’hydroxychloroquine n’a pas de telles références et si elle s’avère également efficace, elle l’est moins que l’Ivermectine qui permet à la fois de prévenir et de traiter avec des résultats aujourd’hui bien supérieurs. Les pays qui y ont recouru en font la démonstration.

On doit du reste s’interroger sur les raisons pour lesquelles le président Macron n’a pas recommandé l’utilisation de l’Ivermectine. A-t-il été désinformé par le ministre et les hauts fonctionnaires du ministère de la Santé et par ceux du Conseil scientifique, du Comité Analyse Recherche Expertise (CARE) qu’il a fait créer en mars 2020 ? La question est importante : pour quelles raisons le premier responsable de l’État ne fait-il pas promouvoir le seul médicament qui permet de soigner la Covid-19 ?

– Vous parlez de politiques qui aggravent le nombre de morts. Pourra-t-on un jour voir des procès instruits pour comprendre ce qui s’est passé ? Vous citez l’Inde notamment en pointe dans ce domaine.

Jean-Loup Izambert : S’il est un domaine pour lequel je me garde bien de faire des pronostics c’est la politique. Il serait juste que les dirigeants qui ont diffusé de fausses informations aient des comptes à rendre pour au moins deux raisons principales : d’une part parce que leurs décisions ont eu pour conséquence de laisser mourir des gens alors qu’ils pouvaient être soignés et, d’autre part, parce que les mesures gouvernementales décidées sur la base de fausses informations diffusées par l’OMS ont eu pour conséquence d’aggraver terriblement la situation humaine, économique, financière et sociale des sociétés. Je rapporte dans le cas de l’Ivermectine les procédures ouvertes par le cabinet de l’avocat maître Jean-Charles Teissedre au nom de médecins, d’associations de médecins, de l’association BonSens et de nombreuses autres devant plusieurs juridictions.

Maître Teissedre que j’ai interviewé travaille un peu à la manière du célèbre avocat genevois, Marc Bonnant. Il passe au peigne fin tous les éléments de l’importante documentation collectée par ses collaborateurs jusqu’à trouver le fil d’Ariane qui va lui permettre de dégager les éléments essentiels pour organiser son action. Mais le système judiciaire français est l’un des derniers sur le continent européen pour son efficacité ainsi que le montre sur plusieurs années les études régulières de la Commission européenne pour l’efficacité de la justice (Cepej) du Conseil de l’Europe. Je ne me fais donc pas beaucoup d’illusions sur le devenir de procès instruits contre des protagonistes français qui seraient impliqués dans des crimes et délits relatifs à cette crise sanitaire.

C’est aussi, l’une des raisons pour lesquelles dans la nouvelle enquête que je vais publier en mars 2022 avec l’écrivain-enquêteur Claude Janvier nous faisons le point sur les actions en justice menées en France, mais aussi dans plusieurs pays comme les États-Unis, l’Allemagne, l’Espagne et d’autres. De même nous avons pu avoir accès à des éléments de la plainte déposée par l’association anti-corruption, le Collectif syndicats associations professionnelles européennes (CSAPE) dans laquelle plusieurs dirigeants sont cités devant la Cour pénale internationale.

– Le Japon vient récemment d’ouvrir la porte à l’Ivemectine. Peut-on faire un premier bilan de ce que ce médicament a apporté dans les pays qui l’ont utilisé ?

Jean-Loup Izambert : Aujourd’hui ce bilan très positif est réalisable, ce qui était impossible au moment où je terminais d’écrire mon enquête, lors du dernier trimestre 2021. L’utilisation massive de l’Ivermectine au Japon n’est pas le fait du gouvernement mais de chercheurs et de médecins parmi les plus réputés pour leurs travaux dans la communauté scientifique internationale. Les interventions du célèbre chercheur et savant japonais Satoshi Ōmura, l’un des découvreurs de l’Ivermectine en 1975 avec le biologiste parasitologue irlandais William Campbell, et du réputé médecin Haruo Ozaki, président de l’Association médicale métropolitaine de Tokyo, pèseront pour beaucoup dans la possibilité pour les médecins japonais de prescrire librement l’Ivermectine. Là, encore, le succès sera au rendez-vous et « le Pays du soleil levant » viendra à bout de la Covid-19.

Encore une fois, quel silence également dans la plupart des médias occidentaux sur le cas du Japon qui a endigué la maladie en recourant à l’Ivermectine à partir du mois d’août 2021. L’AFP ira même jusqu’à diffuser une dépêche, le 7 septembre 2021, niant toute efficacité de l’Ivermectine en écrivant, je cite : «les allégations circulent en ligne lors d’un pic de problèmes de santé causés par des personnes ingérant de l’ivermectine vétérinaire dans la croyance erronée qu’elle les protégera contre LA Covid-19 ou traitera la maladie mortelle. » Vous voyez le niveau ! Voilà comment l’AFP qui est l’un des principaux fournisseurs d’informations aux médias publie une fausse information en dissimulant carrément les nombreuses études scientifiques qui ont confirmé l’efficacité et la sûreté de l’Ivermectine, en passant sous silence les succès remportés par ce médicament sur des millions de personnes dans plus de vingt pays et, pire, en le rendant responsable « d’un pic de problèmes de santé » par des personnes qui l’ont utilisé !

Par contre l’AFP se fera beaucoup plus discrète lorsque le gouvernement japonais lèvera le 30 septembre suivant l’état d’urgence sanitaire dans toutes les régions alors que nombre quotidien de nouvelles infections au SRAS-CoV-2 est en déclin continu : « 8 cas recensés pour 100 000 personnes au cours des 7 derniers jours » indiquera l’agence Reuters le 3 octobre en rapportant les statistiques du ministère de la Santé japonais. Avec l’utilisation de l’Ivermectine la moyenne du nombre de décès sur 7 jours passera de 108 au 18 mai 2021 à 1 le 2 décembre après l’appel de scientifiques japonais d’y recourir. Le Premier ministre Fumio Kishida, soulignant que, suite à la généralisation du traitement Ivermectine par les médecins, « nous constatons désormais une diminution de nombre des nouveaux cas », se félicitera de cette évolution de la situation lors de son discours de politique générale prononcé le 8 octobre suivant.

Tout comme les autres pays que j’ai cités, la Covid-19 y sera endiguée et pratiquement éradiquée dès que le traitement avec l’Ivermectine sera utilisé massivement. Même si le gouvernement japonais traîne encore les pieds pour recommander l’utilisation de l’Ivermectine malgré les 69 études menées par 658 scientifiques de différents pays sur près de 50 000 patients, les médecins et chercheurs japonais ont remporté une belle victoire en plaçant leur pays parmi ceux qui font la démonstration de l’efficacité et de la sûreté de l’Ivermectine.

– Nous sommes en décembre 2021. On assiste à un paradoxe entre une situation sanitaire qui s’améliore avec comme prévu des variants de moins en moins dangereux et une volonté de plus en plus forte des autorités en Occident de vacciner. Où cela va t il nous mener ?

Jean-Loup Izambert : Effectivement. Mais il ne s’agit pas de « vacciner » mais bien d’injecter des produits expérimentaux à ARNm. Ainsi que Louis Pasteur l’a défini lors de ses recherches, un vaccin est conçu à partir d’un virus ou d’un morceau de virus inactivé. Ce n’est pas du tout le cas des produits à ARNm. Nous développons cette question dans notre prochaine enquête. Plus le temps passe, plus ces succès remportés par les pays qui recourent à l’Ivermectine mettent en évidence le ridicule de dirigeants de pays occidentaux et d’organisations comme l’OMS, l’Union dite « européenne » ou le Conseil de l’ordre des médecins français pour ne citer qu’eux. Ceux-ci s’acharnent, les uns à promouvoir l’injection de produits expérimentaux à ARNm, d’autres poursuivent des médecins qui préconisent l’Ivermectine, arrêtent et jettent au chômage, sanctionnent des personnels soignants, des fonctionnaires, sapeurs pompiers et militaires qui refusent de servir de cobayes avec les produits inachevés de sociétés transnationales anglo-saxonnes.

Leur incompétence ou, pour certains, leur corruption, devient d’autant plus flagrante que la maladie disparaît et qu’il existe en plus un médicament et des vaccins russe et chinois dont l’efficacité et la sûreté sont prouvées sur des millions de personnes. Dire où cela va nous mener est difficile mais tout dépendra de la mobilisation et de l’action des peuples. Concernant la France, il est clair que le système des partis est à bout de souffle. Tous les dirigeants de ces partis, du parti qui n’a plus de « communiste » que le nom aux partis de droite, ont fait la démonstration dans la crise sanitaire de leur soumission, consciente ou non, à la propagande trompeuse de sociétés transnationales et de leur incompétence. Ce n’est pourtant pas faute, notamment pour les députés, de disposer de collaborateurs qui peuvent faire des recherches !

Il en est de même pour la quasi-totalité des syndicats dont les dirigeants nationaux, à l’opposé des militants de base, sont absents des luttes du peuple et tout particulièrement de celles des scientifiques qui se groupent et s’organisent au-delà des frontières, des personnels soignants et des familles des victimes. Pourtant, rien que pour la France, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) recensait en septembre dernier près de 3000 nouveaux cas d’effets secondaires dont au moins 25% de cas graves chaque semaine possiblement liés à l’injection de produits à ARNm. Et, ainsi que nous l’expliquons dans notre enquête à paraître en février 2022, ceux-ci ne représentent qu’entre 1 à 5% du nombre de cas réels. De plus, au mois d’août dernier la recherche menée par le docteur Nicole Delépine auprès des principales bases de données sur les effets indésirables mettait en évidence un fait particulièrement alarmant : le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec les produits à ARNm anti-covid « a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS (VigiBase) en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.»

Où sont, exception faite de quelques élus et de dirigeants d’organisations, les dirigeants politiques et syndicaux, qui dénoncent et appellent à l’action pour stopper cette situation qui s’aggrave de mois en mois ?!

– Comment faites-vous le lien avec la situation géopolitique tendue avec la Russie et la Chine ainsi que les difficultés énergétiques qui se profilent ?

Jean-Loup Izambert : Le lien est simple. Il réside dans la volonté des dirigeants de Washington d’imposer au monde, et tout particulièrement aux pays membres de l’Union européenne, non seulement leur langue, leur culture et leurs lois mais également leurs produits. Ce qui vaut pour des sociétés innovantes comme Alstom, des navires comme le Mistral, des sous-marins, l’agro-alimentaire ou d’autres productions vaut aussi pour le secteur santé. Le cas des sociétés anglo-saxonnes qui ont exercé d’incroyables pressions sur la Commission européenne pour être déchargées de leurs responsabilités sur des produits à ARNm expérimentaux aux risques inconnus en est un nouvel exemple. Voyez ce qu’il s’est passé avec le Remdésivir, dont je donne l’exemple dans mon enquête. Le fabricant de ce médicament, la société Gilead, n’a pas hésité à pousser les instances de l’Union européenne à signer des contrats pour plus d’un milliard d’euros alors qu’ils avaient parfaitement connaissance qu’une grande étude scientifique qui venait de paraître démontrait le peu d’efficacité de leur produit, voir l’inefficacité quasi-totale. Le cas du vaccin russe Sputnik V, véritable vaccin efficace et sûr, toujours bloqué par l’Agence européenne du médicament depuis près d’un an alors que 70 pays l’ont déjà adopté est un autre exemple de cet impérialisme économique.

De même, nous allons révéler dans notre prochaine enquête une quarantaine de faits peu connus du grand public qui vont surprendre bien du monde. Par exemple, savez-vous qu’au mois de décembre 2021, un vrai vaccin contre la Covid-19, conçu à partir d’un virus inactivé, est en train d’être mis au point par une société française ? En ayant connaissance de ces faits il est donc permis de s’interroger : pourquoi les principaux dirigeants de l’Union européenne ont-ils acheté pour des milliards d’euros des produits de sociétés anglo-saxonnes inachevés, peu efficaces et potentiellement dangereux alors qu’il existe de vrais vaccins – russe, chinois et bientôt français – à l’efficacité et à la sûreté prouvées qui permettent de combattre une maladie, la Covid-19 qui est en voie de disparition à la fin de l’année 2021 ?!

Merci Mr Izambert

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