Un projet de loi en cours d’examen à la Chambre des représentants offre un « choix » mafieux à l’application chinoise de médias sociaux et aux distributeurs numériques américains.
Par Timur Fomenko – Le 13 mars 1024 − Source RT
TikTok est l’application de média social la plus téléchargée au monde. Avec plus d’un milliard d’utilisateurs mensuels actifs, elle est devenue un événement mondial et a dépassé les autres plateformes de médias sociaux pour devenir la nouvelle mode de notre époque.
Mais pour les politiciens américains, il y a un problème majeur qu’ils n’ont jamais accepté : TikTok est chinois. TikTok n’a pas été créé par une entreprise de la Silicon Valley, comme c’est le cas pour toutes les autres applications de médias sociaux, mais par une entreprise chinoise appelée ByteDance. C’est pourquoi elle fait l’objet d’une paranoïa politique à Washington, DC, et d’une obsession de la part des politiciens Républicains pour tenter de l’interdire.
Par 

Le 28 décembre 2023, le New York Times publiait le désormais tristement célèbre « ‘Screams Without Words’ : How Hamas Weaponized Sexual Violence on Oct. 7 » [des cris sans mots : Comment le Hamas a instrumentalisé la violence sexuelle le 7 octobre] par Jeffrey Gettleman, Anna Schwartz et Adam Sella. Le « rapport » prétendait « découvrir de nouveaux détails montrant un modèle de viol, de mutilation et de brutalité extrême contre les femmes dans les attaques contre Israël« . Il est devenu viral dans le monde entier.
Un lanceur d’alerte a présenté une nouvelle série de documents explosifs, qui rivalisent avec les Twitter Files et les Facebook Files, voire les dépassent, en termes d’ampleur et d’importance. Ils décrivent les activités d’un groupe « anti-désinformation » appelé Cyber Threat Intelligence League (CTIL), qui a officiellement débuté en tant que projet bénévole de scientifiques des données et de vétérans de la défense et du renseignement, mais dont les tactiques semblent avoir été absorbées au fil du temps par de multiples projets officiels, y compris ceux du ministère de la sécurité intérieure (DHS).
Un courriel extraordinaire découvert par un chercheur néerlandais en vertu des lois sur la liberté d’information confirme ce que beaucoup accusent depuis longtemps : Bellingcat, le collectif « open source » largement cité par les journalistes grand public et