Par James Howard Kunstler – Le 26 mars 2021 – Source kunstler.com

Le style de Biden – plus précisément sa façon de communiquer avec le peuple américain – est également une page du livre de recettes de FDR. Deux mois après le début de sa présidence, il s’est montré étonnamment discipliné et économe de ses mots et de ses apparitions. Les gaffes verbales qui l’ont poursuivi tout au long de sa longue carrière à Washington n’ont plus lieu d’être.
– Paul Brandus, chroniqueur d’opinion, USA Today
Il n’est pas exagéré de dire que dans la mythologie de l’Empire anglo-sioniste, Poutine est quelque chose d’apparenté à Satan ou, du moins, qu’il est une sorte de « Sauron » qui incarne le mal. Et nous avons tous entendu que récemment Biden, au cours d’une interview enregistrée, a déclaré que Poutine est « un tueur ». Lorsqu’on lui a donné la possibilité d’adoucir une telle déclaration, Jen Psaki n’a rien fait de tel. Nous pouvons donc conclure qu’il s’agissait d’une caractérisation officielle, délibérément planifiée, du dirigeant russe.
L’administration de Joe Biden n’a pas mis longtemps à finaliser sa stratégie envers la Chine. La conversation téléphonique entre Biden et Xi, qui s’est déroulée dans une soi-disant « bonne ambiance », a déjà laissé place à une « stratégie chinoise » qui n’est
Biden a claironné le mot sacré « démocratie » à maintes reprises, lors de la conférence de Munich sur la sécurité, dont trois fois rien que dans sa phrase de conclusion ; mais le masque est déjà tombé de ce mythe moralisateur datant des années 1940, qui a longtemps servi aux États-Unis. Les récents événements dans ce pays ont mis en évidence le fait que cette « démocratie » n’est qu’une imposture et ont mis à nu les divisions amères qui se cachent derrière la façade.


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