Trump a « sonné » les Démocrates, et c’est une victoire pour notre pays


« Notre magnifique, historique et patriotique mouvement pour rendre à l’Amérique sa grandeur ne fait que commencer. J’ai hâte de poursuivre notre incroyable voyage ensemble pour restituer la grandeur américaine à tout notre peuple. » – Donald Trump


Par Mike Whitney – Le 14 février 2021 – Source Unz Review

Les Démocrates entamèrent la destitution [la deuxième, en janvier dernier ; Ndt] avec l’arrogance dont ils sont coutumiers. Ils pensaient qu’il suffirait de taper du pied et de se démener comme s’ils avaient le feu au derrière pour que les gens finissent par s’apercevoir de la justesse de leur cause. Mais les choses ne se passèrent pas ainsi. Au contraire, l’équipe d’avocats de Trump leur botta les fesses et les amena à se demander à quoi ils s’étaient cognés. Ils parurent étonnés de ne pas réussir à emporter une accusation au vitriol, basée sur des attaques personnelles et une couverture médiatique partisane. Et ils furent sincèrement choqués quand leurs vidéos trafiquées et leurs preuves truquées furent dévoilées comme telles au public.


Ce qui aurait dû être l’ultime raclée pour Trump, se retourna entièrement et ouvrit une fenêtre sur l’âme avilie d’un parti en déclin. En fin de compte, Trump en sortit indemne alors que les Démocrates en furent réduits à lécher leurs blessures. Hourrah pour Trump !

Dorénavant, Trump est plus puissant que lorsqu’il était à la Maison Blanche. Ses partisans sont plus nombreux, sa réputation de lutteur a grandi et ses adversaires Démocrates se sont montrés incompétents, vindicatifs et entièrement corrompus. C’est presque une victoire totale, autant que c’est possible en politique. Trump a réellement vaincu ses ennemis et il est devenu le plus puissant homme politique américain. C’est un colosse conservateur, un faiseur de rois Républicain, qui est maintenant en mesure de choisir les dirigeants du parti lors des prochaines élections et (peut-être) lors les élections suivantes. Comme l’a dit si justement Marjorie Taylor Greene : « Trump EST le parti Républicain. C’est désormais son parti. »

Comment ne pas approuver ?

L’heure des comptes est arrivée. Déjà la pression s’accroît sur ceux qui l’ont poignardé dans le dos, les imbéciles et les apostats comme McConnell, Graham, Sasse, Romney et la lamentable Liz Cheney. La fuite des « Never Trumpers » a déjà commencé. Ce qui n’est encore qu’un goutte-à-goutte deviendra bientôt un torrent lorsque les lèche-bottes et les quislings de la « Vieille Garde » se bousculeront vers la sortie pour ne plus jamais enténébrer les salles du Congrès. Bon débarras.

Des lecteurs se souviendront de ce qui était la priorité absolue pour Steve Bannon en 2016, c’est-à-dire nettoyer les écuries du G.O.P. et en chasser les félons globalistes dont le seul but était de s’accrocher au pouvoir en rampant devant ces gens de Big Money qui ont trahi l’Amérique pendant des décennies. Maintenant on leur montrera à tous la porte. C’est difficile à croire, mais le parti Républicain est devenu le parti des travailleurs alors que les Démocrates sont sous la poigne d’acier de Wall Street, de Big Pharma, de Big Tech, des syndicats d’enseignants, de la Chine et d’Israël. La destitution a permis aux gens de voir ce qu’il en est véritablement. Les Démocrates ne sont pas liés à l’ « Establishment ». Ils SONT l’ « Establishment », et par « Establishment » je veux dire le Marécage [ le fameux « Swamp » que Donald Trump se proposait de « drainer », NdT] ; ces poupées de chair molle, dépourvues de principes, cupides, et dont le seul but dans l’existence est de complaire à leurs maîtres de l’oligarchie globaliste. Les Démocrates n’ont fait aucun effort pour s’adresser aux classes populaires et prendre en compte leurs intérêts. Et cela pour cette simple raison qu’ils n’éprouvent que du mépris et du dédain pour la classe ouvrière. Mais vous le saviez probablement déjà.

Et ne mâchons pas nos mots, la victoire électorale de Trump fut claire et nette. Il est le Président des Etats-Unis, aucun doute là-dessus. Là où il se trouve, là est la Maison Blanche, là est le siège du gouvernement. Près de cent millions d’Américains n’acceptent pas le résultat d’une élection frauduleuse. Ces gens savent ce qui est arrivé et on ne leur fera pas dire autre chose en les intimidant ou en les menaçant. Trump a gagné. Fin de l’histoire.

On a déjà écrit énormément à propos de la Grande Fraude, aussi je ne vous ennuierai pas avec les détails. Est-il besoin de le dire, le cadavre cognitivement déficient actuellement à la Maison Blanche n’a pas reçu douze millions de voix de plus qu’Obama (Biden a obtenu 81 millions de voix alors qu’Obama en avait obtenu 69 millions), sept millions de plus que Trump (lequel a obtenu 74 millions de voix en 2020) et une masse de 16 millions de voix de plus qu’Hillary (Clinton obtint 65 millions de voix en 2016). L’idée est simplement ridicule. Le plus gaffeur, le plus terne, le plus creux des politiciens de tous les temps n’a pas recueilli 12 millions de voix de plus que Barack Obama. Cela n’est jamais arrivé. Ce qui ne veut pas dire que Trump l’a emporté aisément. Non, pas du tout.

Becoming a circular firing squad...Implosion imminent - Democratic UndergroundIl lui fallait l’aide des Démocrates, et ils la lui ont accordée avec enthousiasme.
Coutumiers du peloton d’auto-exécution [ « circular firing squad », littéralement : « peloton d’exécution circulaire », NdT], les Démocrates ont fait pencher la balance en faveur de Trump quand ils offrirent leur soutien tacite aux émeutiers et incendiaires BLM et Antifa dans les villes partout dans le pays. Ce fut « le brin de paille de trop qui cassa les reins du chameau » [ « the straw that broke the camel’s back » : en français « la goutte d’eau qui fait déborder le vase », NdT] et qui permit à Trump de franchir la ligne d’arrivée. C’est aussi pourquoi Trump obtint 10 millions de voix de plus qu’en 2016 et pourquoi son soutien aux minorités s’est accru dans tous les domaines. De plus en plus de Noirs et d’Hispaniques comprennent que les accusations de « racisme » dirigées contre Trump sont une lamentable tentative de détourner l’attention de l’implacable guerre de classe que les Démocrates mènent contre les membres de la classe ouvrière, quelle que soit leur couleur de peau.

Maintenant lisez cet extrait d’un entretien avec le directeur d’institut de sondage Robert Cahaly qui explique ce qui s’est produit pendant la période précédent l’élection :

Ce que nous avons vu, c’est que les « cols bleus », les électeurs du Midwest, qu’on considérait comme des Démocrates pendant les quelque vingt dernières années et qui avaient fait partie de la coalition de Reagan, sont revenus. Ils sont revenus parce qu’ils ont senti qu’il y avait un candidat qui attirait les électeurs de la classe ouvrière bien plus qu’aucun candidat républicain ne l’avait jamais fait. Je veux dire, pour parler franchement, que Mitt Romney était tout le contraire d’un Républicain susceptible de plaire à la classe ouvrière…

… Il y a des gens qui vivent en banlieue, avec un revenu moyen-supérieur, leurs mères ont fait des études supérieures, et qui n’aimaient pas l’individu Trump. Mais ils ont vu ce niveau de violence et tout le chaos qui s’en est suivi. Et ils nous disent ceci : je n’aime pas Trump, mais je ne peux pas admettre tout cela. C’est comme s’ils avaient cherché une raison pour voter Trump en se pinçant le nez. Et ils l’ont trouvée.

A propos des motifs des électeurs :

Il y a encore six mois, il y avait tout un tas de gens qui voulaient voter contre Donald Trump. Mais alors, au lendemain de la tragédie du meurtre de M.Floyd, il y eut des manifestations. Et certaines manifestations dégénérèrent en violences. Et cette violence engendra un mouvement visant à couper les vivres à la police [« defund the police »], et un mouvement BLM qui allait au-delà de la simple protection de la vie des Noirs – il y eu des appels à abattre des statues. On en arriva au point, une semaine avant le 4 juillet, où des gens estimaient que le mont Rushmore était offensant.

Tout à coup, des Américains qui n’étaient pas nécessairement des chauds partisans de Trump, se dirent : « Qu’arrive-t-il à mon pays ? » Il y eut alors un vrai débat sur la valeur bonne ou mauvaise, des fondements, des principes de l’Amérique. Les gens croient encore en l’Amérique. Si vous faites ce choix, où d’un côté on pense que l’Amérique doit s’excuser de son histoire, qu’elle n’est pas une force bénéfique dans le monde, et de l’autre on estime que l’Amérique a un rôle positif dans le monde et qu’elle a une histoire qui doit nous inspirer… ce n’est pas un bon scénario pour qu’un Américain soit élu Président. Et je pense que Joe Biden était du mauvais côté.

Sur les émeutes :

La crise commence à chaque fois que quelqu’un partage la vidéo de quelqu’un d’autre. Ainsi lorsqu’on jette un cocktail Molotov dans une rue, ou que des gens entendent dire qu’il faut couper les vivres à la police, ou d’autres qui disent qu’il faudrait tuer les policiers – c’est tout cela qui motive les gens à voter contre. Et cela n’arrive pas dans le vide. Il a fallu un mois à l’équipe de campagne de Biden pour enfin admettre qu’ils s’opposaient à cette violence qu’ils constataient… Le fait que Biden ait changé de cap et en quelque sorte critiqué la violence après l’avoir soutenue pendant des mois ou laissé entendre qu’il n’y en avait pas, tout cela me dit qu’il savait qu’elle était réelle. (« Robert Cahaly : comment nos sondages se sont avérés », inédit)

N’est-ce pas une bonne analyse de ce qui s’est passé avant l’élection ? L’envergure du candidat Trump a grandi peu à peu – non pas qu’il fût le meilleur des présidents ou bien parce que tous l’aimaient – mais parce que le pays était mis en état de siège par une horde d’anarchistes qui ravageaient et détruisaient tout sur leur chemin. Pendant un temps il sembla que notre mode de vie traditionnel, notre système de lois et jusqu’à notre civilisation elle-même était sur le point de devenir un monceau de décombres. Et la seule chose à laquelle le peuple américain pouvait se raccrocher, c’était Donald Trump, l’ultime ligne de défense contre la populace marxiste qui brûlait et pillait tout sur son passage.

C’est ce qui s’est passé. Et c’est pourquoi des gens comme moi – qui n’avaient jamais de leur vie voté Républicain – votèrent pour Trump. C’est parce que les Démocrates les ont forcés à le faire en donnant le feu vert, tacitement, aux agissements violents et destructeurs de gauchistes fous furieux.

L’amère expérience de ces derniers mois a poussé plusieurs d’entre nous à réviser leurs allégeances politiques. Elle nous a aussi aidés à laver nos yeux de la boue qui les recouvrait et à reconnaître enfin ce qu’ils voyaient. Et ce que nous voyions, c’est qu’il n’y avait pas de place dans le parti Démocrate pour les travailleurs. Aucune.

Posez-vous ces quelques questions :

  • Qui soutient les lois commerciales qui délocalisent nos entreprises et externalisent nos emplois ? Les Démocrates.
  • Qui envoie nos enfants faire la guerre afin que Wall Street et les oligarques globalistes puissent s’emparer des ressources mondiales en voie de disparition ? Les Démocrates.
  • Qui mène la charge de la censure sur internet, contre ceux qui ont, sur le Covid, une autre opinion que celle des médias de grand chemin ou bien qui contestent le résultat des élections ? Les Démocrates.
  • Quels sont les gouverneurs qui ont confiné leurs États et conduit le pays à la pire récession des temps modernes, jetant des millions de gens au chômage, fermant les écoles et les églises, multipliant les cas de consommation de drogue, de violence contre les enfants, d’alcoolisme, de meurtres, de maladies mentales, de dépression et de paupérisation en tout genre chez les gens dont ils ont la responsabilité ? Les Démocrates.

Les Démocrates ont clairement fait entendre qu’ils méprisent les Américains qui travaillent pour gagner leur vie, qui vont à l’église le dimanche, qui possèdent des armes, et qui sortent le drapeau le 4 juillet. Ils nous méprisent. Ils nous appellent « les déplorables » parce que nous économisons pour aller d ’une paye à l’autre, parce que nous payons nos factures à l’échéance et parce que nous essayons d’éduquer nos enfants avec de vraies valeurs.

Nous ne sommes pas « éclairés » comme nos amis Démocrates qui s’écrient « équité » quand ils abattent les statues de nos pères fondateurs et de nos héros de guerre. Nous ne pensons pas que porter un masque soit un signe de supériorité morale. Nous ne croyons pas que couper les vivres aux services de police améliorera la sécurité pour les gens ordinaires, les commerçants et les personnes âgées. Nous n’essayons pas d’abolir nos frontières et de renoncer à notre souveraineté afin de nous intégrer dans leur plan globaliste de « réinitialisation » grâce auquel les « stakeholders » (les grands monopoles et les multinationales) contrôleront tous les leviers de l’État.

Nous ne voulons rien de tout cela, et c’est pourquoi nous nous réjouissons que Trump ait encore battu les Démocrates, nous donnant l’espoir que la République pourra être restaurée et que nous recouvrerons nos emplois.

C’est pourquoi cela devrait être un jour heureux, un jour à célébrer. Les Démocrates ont joué au-dessus de leurs moyens et ils ont perdu. Ils ont perdu dans les grandes largeurs, ce qui ouvre la possibilité d’autres victoires à l’avenir. Bien entendu, ils vont nous dénigrer et nous appeler des « suprémacistes blancs », des « terroristes de l’intérieur » parce que nous ne partageons pas leur vision du monde de libéraux éclairés. Mais leur haine ne fera que nous rendre plus forts. Nous savons qui nous sommes. Nous sommes les Déplorables, nous sommes le ciment qui fait tenir ensemble ce pays. On ne nous écrasera pas. On ne nous exterminera point, on ne nous fera pas taire et CNN, MSNBC et les autres médias de propagande ne nous diront pas ce qu’il faut penser. Nous voyons clair à travers leurs mensonges et nous nous tiendrons ferme à nos croyances. Et ce que nous croyons c’est que le pays est actuellement aux mains d’un Président imposteur qui n’agira pas dans l’intérêt du peuple, mais qui fera ce que lui ordonnent les puissantes élites et les oligarques étrangers qui tirent les ficelles qui le font se mouvoir. Ce sont ces gens-là qui veulent détruire notre pays, destituer nos dirigeants et nous imposer leur dystopique Nouvel Ordre Mondial. Nous ne les laisserons pas faire.

Cette seconde destitution montre que ces gens peuvent être vaincus parce qu’ils ont été battus. Ils ont perdu et nous avons gagné.

Si ça n’est pas quelque chose à célébrer, je ne sais pas ce que c’est.
Hourrah pour les Déplorables !

Mark Whithney

Traduit par J.A., relu par Hervé pour le Saker Francophone

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