Par James Howard Kunstler– Le 29 août 2016 – Source kunstler.com
Est-ce que le destin va permettre que l’élection d’Hillary Clinton soit l’acte suprême et peut-être terminal de notre société où-tout-va-mais-où-rien-ne-compte ? Pourtant, même avec la chance fabuleuse de courir contre un lourdaud politique consommé, elle doit se démener pour prendre le dessus, et elle va peut être atterrir à la Maison Blanche avec le plus faible taux de participation de l’histoire moderne. Mais sa récompense pour le bureau ovale ne serait peut être que d’esquiver les mises en accusation pendant quatre ans, alors que la nation se désagrège autour d’elle. C’est la façon dont le monde se terminerait : pas avec un bang ou un gémissement, mais dans un ricanement.