Par Moon of Alabama − Le 28 mars 2020
L’administration Trump réagit au stress de la pandémie en s’attaquant à ses ennemis, internes et externes. Le secrétaire d’État Mike Pompeo dirige l’assaut contre l’extérieur.
Par Moon of Alabama − Le 28 mars 2020
L’administration Trump réagit au stress de la pandémie en s’attaquant à ses ennemis, internes et externes. Le secrétaire d’État Mike Pompeo dirige l’assaut contre l’extérieur.
La résistance en Irak révèle comment les troupes américaines seront renvoyées du pays
Par Moon of Alabama − Le 14 mars 2020
Hier, les États-Unis ont attaqué cinq sites en Irak et tué trois soldats irakiens de la 19e division, deux policiers et un civil. Les frappes ont eu lieu après qu’une dizaine de roquettes, tirées par des inconnus, ont touché la base commune du camp Tali et tué deux soldats américains et un britannique.
Aujourd’hui, les États-Unis ont reçu la monnaie de leur pièce.
Par The Saker − Le 12 février 2020 − Source Unz Review via thesaker.is
Au lieu d’une introduction normale, voici l’estimation, en constante évolution, des dommages causés par l’attaque iranienne contre la base militaire US en Irak.
Par Daniel McAdams − Le 1er février 2020 − Source Ron Paul Institute
Il existe un réel danger pour les conseillers et analystes de politique étrangère – et en particulier pour ceux qu’ils servent – lorsqu’ils se trouvent dans une bulle, une chambre d’écho, et que toutes leurs conclusions sont basées sur des données erronées. Inutile de dire que c’est encore pire quand ils croient qu’ils peuvent créer leur propre réalité et inventer de toutes pièces des narratifs fictifs.
L’attitude des États-Unis au Moyen-Orient nous prépare une catastrophe
Par The Saker − Le 29 janvier 2020 – Source Unz Review via thesaker.is
Mensonges, sacrés mensonges et statistiques
Il s’avère que Trump et le Pentagone mentaient encore cette fois, sur le véritable impact de la contre-attaque iranienne sur les forces américaines en Irak. Ils ont d’abord affirmé qu’il n’y avait pas de personnel américain blessé, pour finalement devoir cracher le morceau que 34 soldats avaient subi une lésion cérébrale traumatique, que Trump a «reclassée» comme un «mal de tête». Ensuite, ils ont dû admettre que ce n’était pas vraiment 34, mais en fait 50 !
Par Alastair Crooke – Le 20 janvier 2020 – Strategic Culture
Le 17 septembre 1656, Oliver Cromwell, un puritain protestant qui venait de gagner la guerre civile et fait décapiter le roi d’Angleterre en place publique, se déchaîna contre les ennemis de l’Angleterre. Il y a, disait-il au Parlement ce jour-là, un axe du mal étranger dans le monde. Et cet axe – dirigé par l’Espagne catholique – était, au départ, dû au problème qu’un peuple s’était mis au service du « mal ». Ce « mal », et la servitude qu’il engendrait, était dû à une religion – le catholicisme – qui refusait au peuple anglais son goût pour les libertés simples : « … [un mal] qui met les hommes sous contrainte … sous lequel il n’y a pas de liberté … et sous lequel, il ne peut y avoir « aucune liberté venant de la conscience individuelle ».
C’est ainsi que le dirigeant protestant anglais voyait l’Espagne catholique en 1656. Et c’est très proche de la façon dont les grands décideurs américains voient l’Iran aujourd’hui : le mal de la religion – du chiisme – soumettant (pensent-ils) les Iraniens à la répression et au servage. A cette époque, cette lutte idéologique contre le « mal » provenant d’une communauté religieuse imposée (L’axe du saint empire « romain ») a conduit l’Europe à un « quasi-Armageddon », les régions les plus touchées d’Europe ayant vu leur population décimée de 60% pendant le conflit.
Par Alan Macleod – Le 13 janvier 2020 – Source Mint Press
Le géant de la Silicon Valley, Facebook, a annoncé vendredi qu’il supprimerait tous les messages positifs concernant le général iranien récemment assassiné Qassem Soleimani sur sa plateforme et sa filiale Instagram. La raison de cette décision, a-t-il expliqué à CNN, est que les nouvelles sanctions américaines rendent illégale la promotion de tout message soutenant une personne ou un groupe que le gouvernement décrit comme une organisation terroriste. « Nous opérons en vertu des lois américaines sur les sanctions, y compris celles relatives à la dénonciation par le gouvernement américain du Corps des gardiens de la révolution iranienne (IRGC) et de ses dirigeants », a déclaré un porte-parole de Facebook. Instagram avait déjà fermé le compte de Soleimani en avril de l’année dernière, à la suite de la désignation par Trump du Corps des gardiens de la révolution iranienne en tant que groupe terroriste. Vendredi, suite à cette nouvelle, Twitter a suspendu le compte du Guide suprême iranien, l’Ayatollah Khamenei, pour « activité inhabituelle ». Il a été ré-ouvert par la suite.
Par Andrew Korybko − Le 11 janvier 2020 − Source oneworld.press
Pas de doute, les luttes au sein de l’« État profond » iranien vont s’intensifier ; un haut gradé du Corps des gardiens de la Révolution islamique (IRGC), appartenant à la faction « principaliste » du pays, endosse la responsabilité d’avoir abattu par accident le vol UIA-752, et par la même occasion a levé le voile sur les tentatives du gouvernement « réformiste » de dissimuler l’événement. C’est d’autant plus vrai qu’il a été révélé au cours de la conférence de presse qu’il a donnée que les autorités avaient été informées de cet accident juste après sa survenance, ainsi que le fait que la demande de définition d’une zone d’exclusion aérienne, demandée par l’armée iranienne avant l’accident, et qui aurait pu empêcher cette tragédie, avait essuyé un refus.
Par Moon of Alabama − 13 janvier 2020
L’administration Trump a donné diverses explications pour justifier son assassinat du général de division Qassem Soleimani et du commandant Abu Mahdi al Muhandis. Elle a affirmé qu’il y avait une « menace imminente » d’incident qui rendait l’assassinat nécessaire, même si elle ne savait pas où, quand, ni même quel genre d’incident se produirait. Trump a ensuite déclaré que cette menace était un attentat à la bombe planifié contre quatre ambassades américaines. Son secrétaire à la défense a ensuite contredit cette déclaration.
Par Moon of Alabama − Le 10 janvier 2020
Reuters se pose la question : « Qui allez-vous croire, moi ou vos yeux menteurs ? »
L’agence de presse (pas) digne de confiance a tweeté ça hier :
L’avion sud-africain qui s’est écrasé est de toute évidence totalement ruiné, mais Reuters affirme pourtant qu’il n’y a « aucun signe de dommages importants ».