Par Moon of Alabama – Le 12 novembre 2024
Le président élu des États-Unis, Donald Trump, est en train de sélectionner un certain nombre de va-t-en-guerres à son gouvernement.
De nombreuses hypothèses circulent actuellement sur ce que ces personnes vont faire.
- Marco Rubio, le probable secrétaire d’État, pourrait vouloir lancer un nouveau coup d’État au Venezuela.
- Michael Waltz, conseiller potentiel à la sécurité nationale, est anti-russe et anti-chinois.
- Elise Stefanik, une sioniste, sera le deuxième ambassadeur d’Israël aux Nations unies.
Si on ne leur impose pas de limites, l’une ou l’autre de ces personnes lancera de nouvelles guerres.





L’élection présidentielle de cette semaine aura été un tournant pour les États-Unis. L’impressionnante victoire de Donald Trump signifie, à première vue que, sur les principaux sujets de préoccupation de l’électorat américain – l’économie et l’immigration – les citoyens ont trouvé ses positions plus convaincantes que celles proposées par la vice-présidente Kamala Harris. De plus, il est clair que les Américains, lors du choix d’un chef d’État, préféraient une personnalité manifestement plus forte.
On vient de commémorer le 22ème anniversaire des attentats du 11 septembre 2001, la plus importante attaque terroriste de l’histoire de l’humanité, un événement dont les répercussions politiques ont dominé la scène politique mondiale durant la plus grande partie des vingt années qui ont suivi. Conséquence de ces attentats, notre guerre en Irak en a rapidement découlé, suivant une décision désastreuse qui a transformé de manière spectaculaire la carte politique du Moyen-Orient et qui a fini par provoquer la mort ou le déplacement de personnes par millions, et l’occupation de l’Afghanistan, pratiquée également par nous en représailles, a fini par se terminer de manière humiliante en 2021.