Des documents détaillent à quoi ont servi les agents pathogènes mortels financés par les États-Unis et susceptibles d’avoir été testés sur des Ukrainiens.
Par Russia Today − Le 31 mars 2022
L’armée russe a présenté des documents montrant l’intérêt de l’Ukraine pour l’utilisation de drones servant à épandre des agents pathogènes développés dans des biolabs financés par les États-Unis et les utiliser comme armes. Les noms des responsables américains impliqués dans les projets de biolabs, ainsi que le rôle joué par le fils de l’actuel président américain dans le programme, ont également été rendus publics lors du briefing spécial de jeudi.
Il est de plus en plus évident que l’Occident n’a pas eu de stratégie diplomatique pour faire face à la crise ukrainienne, au-delà de l’hystérie provoquée par les opérations psychologiques. Les dirigeants occidentaux n’ont pas apprécié assez tôt le point d’inflexion géostratégique plus large provoqué par la déclaration de Pékin de Poutine-Xi, ni la détermination avec laquelle elle serait mise en œuvre. Au contraire, l’Europe a suivi le réflexe habituel du merkelisme (du nom de l’ancienne chancelière allemande), qui consiste à éviter de prendre des décisions difficiles, à masquer les schismes stratégiques avec un peu d’argent liquide, à ajouter beaucoup d’édulcorants avant de botter en touche.
L’autre jour, je me suis assis avec Alexander Mercouris et Crypto Rich pour un chat que Rich a posté sur sa chaîne Odysee.

Tout d’abord, voici un résumé traduit automatiquement des événements après un mois d’opérations de combat, tel que posté par Boris Rozhin (alias Col. Cassad) :
L’opération militaire lancée par la Russie en Ukraine a inopinément révélé une crevasse aux proportions historiques aux Amériques. Les pays d’Amérique latine se dégagent de l’influence de la Maison-Blanche et gagnent en autonomie politique. Comment Washington a-t-elle perdue son « arrière-cour » qui lui obéissait sans sourciller il y a encore peu de temps ?