Par Moon of Alabama − Le 14 décembre 2020
Le tweet ci-dessous n’a pas été confirmé mais j’espère que c’est vrai.
Pastor Mark Burns @pastormarkburns - 16:19 UTC · 14 déc.2020 DERNIÈRE HEURE : le président Trump pardonnera à Julian Assange.
Mark Burns est le «pasteur de Trump».
Un pardon pour Julian Assange sera un énorme doigt d’honneur en direction de « l’État profond » qui a tourmenté Donald Trump pendant quatre ans avec les absurdités du « Russiagate ».
C’est aussi la bonne chose à faire. Assange n’a commis aucun crime. Il a aidé ses sources à publier des données via Wikileaks qui incriminaient des États, des personnes et entreprises puissants.
C’était et c’est toujours du journalisme à l’ancienne et mérite d’être soutenu.
MISE À JOUR – 18:32 UTC :
Bon, tant pis :
Pastor Mark Burns @pastormarkburns - 17:57 UTC · 14 déc.2020 Concernant le tweet #JulianAssange, il a été publié par inadvertance, la source est défectueuse, veuillez ne pas en tenir compte !
Pourtant, le « tweet par inadvertance » a jusqu’à présent été retweeté 20.000 fois et a reçu 90.000 likes. Cela montre incidemment à quel point un tel mouvement serait populaire.
Cela donnera peut-être à Trump une impulsion supplémentaire pour le faire vraiment.
Moon of Alabama
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Traduit par jj, relu par Wayan pour le Saker Francophone
Le président Poutine a raison de ne pas féliciter Joe Biden pour son élection. Il a deux motifs. Le premier est que le processus électoral complexe aux États-Unis n’est pas terminé ; par conséquent, comme Trump ne l’a pas concédé, il n’y a pas de «président élu». Le second est que les résultats peuvent être annulés pour fraude. Dans ce cas, Poutine aura, à la fin de l’histoire, l’air plus intelligent que ceux qui se sont précipités pour féliciter Biden avant la fin du processus.
Si le long mélodrame électoral était un film, vous penseriez à un mélange de ‘Sept jours en mai’, ‘Six jours en octobre’ et ‘Burn After Reading’. Vous auriez alors droit à un plat principal de trahisons diverses au plus haut niveau, avec un accompagnement corsé au goût de la crise des missiles de Cuba et l’angoisse existentielle de la fin du monde qui va avec ; et, pour le dessert, ce serait un fiasco comique de l’incompétence et de la dépravation du gouvernement en déliquescence, selon la recette des frères Cohen.

Tout au long du drame de quatre ans du Russiagate, la main des renseignements britanniques s’est révélée en permanence.

Il semble y avoir un quasi consensus sur le fait que Trump ne l’emportera pas et que Biden et Harris entreront à la Maison Blanche quoi qu’il arrive. À ma grande surprise, même les médias russes semblent considérer que la présidence de Trump est terminée.
Nous sommes sur le point d’assister à la bataille judiciaire la plus lourde de l’histoire des États-Unis. Oui, le résultat déterminera qui, de Donald Trump ou de Joe Biden, remportera la présidence, mais plus important encore, l’intégrité des élections américaines est sur le point d’être jugée.