Par CJ Hopkins − Le 23 novembre 2021 − Source Off Guardian
Le capitalisme mondial a donc franchi le Rubicon. La phase finale de leur plan qui vise à transformer la société en une dystopie totalitaire devenue pathologique — au sein de laquelle les injections obligatoires de thérapie génétique et les documents numériques qui attestent d’une bonne conformité à leur Nouvelle normalité sont monnaie courante — est à présent lancée de manière officielle.
Le 19 novembre 2021, le gouvernement de l’Autriche Nouvelle normalité a décrété qu’à partir de février, les injections expérimentales à ARNm seront obligatoires pour toute la population. Ce décret intervient alors que l’Autriche persécute officiellement les « non vaccinés », c’est-à-dire les dissidents politiques et autres personnes de conscience qui refusent de se convertir à la nouvelle idéologie officielle et de se soumettre à une série d’injections à ARNm, censées combattre un virus qui provoque chez environ 95 % des personnes infectées des symptômes grippaux légers à modérés — voire aucun symptôme d’aucune sorte — et dont le taux de létalité global est d’environ 0,1 % à 0,5 %.


L’empire américain est en chute libre. Bien. L’Afghanistan est retourné au contrôle nativiste comme prévu. Les « gardiens de chèvres » restent invaincus. La rapidité de la prise de pouvoir par les talibans ne me surprend pas, car le travail préparatoire était en cours depuis des années.


L’hystérie médiatique actuelle sur les « théories du complot » contamine les domaines scientifiques et les sciences humaines en particulier. En lisant certains articles de psychologie on s’aperçoit que les psychologues eux-mêmes tombent dans le fameux « biais cognitif de confirmation » qu’ils sont si prompts à repérer chez leurs patients en général et les « théoriciens du complot » en particulier. Quand on voit la paille dans l’œil du voisin…
À la fin du mois dernier, l’UE s’est effondrée dans une crise de nerfs affectiviste. Cela s’est produit lorsque Charles Michel, président du Conseil, a décidé d’inscrire au sommet un débat sur les LGBTQI et les valeurs de l’UE, en réaction à une lettre inquiète signée par 17 pays-membres. Le Premier ministre néerlandais Rutte a profité de ce moment pour «monter au nucléaire» (comme il l’avait promis auparavant), en déclarant avant le sommet : «Mon objectif est de mettre la Hongrie à genoux sur cette question». Et, lors du sommet lui-même, Rutte a menacé la Hongrie : ce pays doit «abroger» sa «loi anti-gay» (prétendument anti-gay) et « respecter les droits de l’homme fondamentaux ; ces exigences ne sont pas négociables, la Hongrie les accepte ou elle doit partir [de l’UE]. »
Deux organismes de surveillance des médias, 