Par Philip Giraldi – Le 28 août 2018 – Source Unz Review

Beaucoup pensent que la très visible domination des amis d’Israël sur certains aspects de la politique gouvernementale est un phénomène unique aux États-Unis, où les Juifs engagés et les sionistes chrétiens sont capables de contrôler à la fois les politiciens et le message médiatique relatif à ce qui se passe au Moyen-Orient. Malheureusement, la réalité est qu’il existe un « lobby israélien » dans de nombreux autres pays, tous dédiés à la promotion des agendas promus par les gouvernements israéliens successifs, quels que soient l’intérêt national du pays hôte. L’incapacité de confronter Israël à ses crimes contre l’humanité ainsi que de résister à ses diktats sur des questions telles que l’antisémitisme et le discours de haine a causé de terribles dommages à la liberté d’expression en Europe de l’Ouest et, plus particulièrement, dans le monde anglophone.
Il y a 35 ans environ, j’étais assis dans ma chambre universitaire et je lisais le New York Times comme chaque matin, lorsqu’un article étonnant sur le nouveau Premier ministre israélien controversé, Yitzhak Shamir, a tout particulièrement attiré mon attention.
La Knesset vient d’adopter une loi fondamentale qui définit explicitement le caractère juif de l’État hébreu, ce qui a provoqué de vives protestations de la minorité arabe qui y voit du racisme et une menace de discrimination. Masud Ganaim, député de la Liste arabe unie au parlement israélien, a commenté l’événement pour Sputnik.
Par The Saker – Le 22 juin 2018 – Source 
Par Ilan Pappé – Le 14 juin 2018 – Source
Par Paul Craig Roberts – Le 11 juin 2018 – Source