Cours accéléré sur les vraies causes de l’« antisémitisme », 2e partie : la chasse aux antisémites


2015-09-15_13h17_31-150x112Par le Saker – Le 12 octobre 2018 – Source The Saker

D’abord, des antisémites partout !

Il y a plus d’un an, j’ai écrit un article intitulé Un cours accéléré sur les vraies causes de l’« antisémitisme ». Je tentais d’illustrer comment le genre d’idéologie et de conception du monde de ce qu’on devrait appeler le pharisaïsme rabbinique, mais qu’on appelle généralement le « judaïsme orthodoxe » provoque inévitablement une réaction hostile de ceux auxquels cette idéologie et cette conception du monde dénie même le statut d’« êtres humains ». Aujourd’hui, je ferai quelque chose d’un peu différent : examiner une tactique politique qui semble donner aux juifs une position très désirable mais qui les met en réalité en danger : l’utilisation de l’accusation d’« antisémitisme » contre pratiquement tous ceux qui osent critiquer quiconque est juif et tout ce qui l’est.

Ce qui m’a donné envie de traiter cette question, c’est ce titre de RT :

Trump accusé d’antisémitisme pour avoir prétendu que Soros finançait des « gueulardes d’ascenseur », [Des manifestantes, y compris des victimes d’agression sexuelle, ont affronté des sénateurs républicains au Capitole au cours de la semaine dernière, au moins deux fois dans des ascenseurs, les exhortant à ne pas confirmer Kavanaugh, NdT].

Je ne gaspillerai pas de l’espace ici en citant l’article entier, donc allez voir directement la page sur RT. Voici seulement un court extrait :

« Les critiques du président américain Donald Trump ont été prompts à l’accuser d’antisémitisme à cause d’un tweet affirmant que les femmes accusant les sénateurs au sujet du candidat à la Cour suprême Brett Kavanaugh étaient payées par le milliardaire libéral George Soros.Les très grossières gueulardes d’ascenseur sont des professionnelles payées uniquement pour donner une mauvaise image des sénateurs. Ne vous faites pas avoir !’, a tweeté Trump vendredi. ‘Regardez aussi tous les signes identiques faits par des professionnels, payés par Soros et d’autres. Ce ne sont pas des signes d’amour fabriqués dans les bas-fonds !’. Cela a provoqué de l’indignation, évidemment. ThinkProgress, le bras médiatique du groupe de réflexion de John Podesta, le Centre pour le progrès américain, a immédiatement accusé le président d’antisémitisme. Un journaliste de Slate s’est mis au diapason en qualifiant les propos de Trump de ‘sifflet de chien antisémite’. Et un membre de la rédaction de The Atlantic a décrété que c’était une ‘théorie conspirationniste que de dire qu’un riche croque-mitaine juif pousse des femmes à se plaindre d’avoir été violées et agressées’. »

Je ne sais pas du tout pourquoi le journaliste de RT a écrit que cela a « évidemment » provoqué  de l’indignation, mais commençons par noter qu’aucun de ceux qui accusent Trump d’antisémitisme ne fait aucun effort pour expliquer pourquoi exactement les propos de Trump sont antisémites.

Aparté

Je sais, « antisémitisme » est une notion trompeuse et fondamentalement dénuée de sens. Dans cet article, « What is Antisemitism », Michael Neumann explique comment ce concept déjà ambigu et fallacieux est devenu fondamentalement vide de sens (il a conclu son analyse en disant : « Le véritable scandale aujourd’hui n’est pas l’antisémitisme mais l’importance qu’on lui donne »). Je n’emploierai ce terme que parce qu’il est si largement utilisé par les organisations juives pour discréditer à peu près tous ceux qui osent exprimer une pensée critique.

Think Progress a simplement tweeté ceci : « Trump tweete une théorie conspirationniste sur George Soros. » Nous avons ici une double contrainte classique :  l’antisémitisme, bien sûr, mais aussi une « théorie du complot ». Nous reviendrons sur ce couple conceptuel.

Mais d’abord les bases.

Y a-t-il le moindre doute que Soros finance toutes sortes de protestations dans de nombreux pays différents, y compris les États-Unis ?

Vérifions d’abord sur l’hyper politiquement correct et doublement-bien-pensant Wikipédia, et regardons ce que nous y trouvons. Au sixième paragraphe de l’introduction de la page Soros [en anglais, NdT], nous lisons la phrase suivante :

« Soros est un soutien célèbre des causes politiques progressistes et libérales américaines, auxquelles il verse des dons à travers sa fondation, l’Open Society Foundation. »

Vraiment ? Non seulement Wikipédia affirme sans ambiguïté que Soros parraine diverses causes américaines progressistes et libérales, mais qu’il a également créé une fondation spéciale pour le faire. Cette phrase signifie-t-elle que Wikipédia fait aussi partie d’une campagne antisémite et répand des théories conspirationnistes ? Trump n’a-t-il pas dit exactement la même chose que Wikipédia lorsqu’il a tweeté sur « des gueulardes qui sont des professionnelles payées » et « des signes identiques fabriqués par des professionnels ». Payés par Soros et d’autres ? » Il me semble évident que Trump et Wikipédia disent exactement la même chose, pourtant l’un est accusé d’être antisémite tandis que l’autre est laissé en paix. Pourquoi ? D’ailleurs, ce que Trump a dit est vraiment de notoriété publique et n’est même pas nié par Soros lui-même. Encore mieux, les « gueulardes d’ascenseur » ne le nient pas non plus.

Et pourtant, malgré cela, le Daily Beast écrit : « Trump goes full conspiracy nut » tandis que le rédacteur en chef adjoint à Washington du New York Times, Jonathan Weisman tweetait : « Je suis désolé, mais la formule du président des États-Unis ‘Soros les paie’ est…  ouaouh » puis il a publié son livre (((Semitism))) Being Jewish in American in the Age of Trump. Ce livre a été salué avec enthousiasme par The Washington Post : (« un appel passionné aux armes »), le Jewish Book Council : (« N’aurait pu être plus important ou opportun ») et l’inévitable Bernard-Henri Lévy : (« Ce serait merveilleux si l’antisémitisme était une spécialité européenne et s’arrêtait à la frontière avec les États-Unis. Hélas, ce n’est pas le cas »).

Attendez !

Comment passe-t-on des « gueulards d’ascenseur professionnels » à l’antisémitisme ?

Trump dit quelque chose qui est à la fois incontestable et incontesté, et cela fait de lui en quelque sorte un fou de la conspiration et un antisémite, et cela, à son tour, est supposé nous suggérer que les Juifs sont en grand danger aux États-Unis (« appel aux armes » + « ne pourrait être plus important »).

Est-ce que cela a un sens ?

Trump est accusé d’être antisémite parce qu’il a eu le culot d’affirmer ouvertement un fait incontesté. Plus précisément, Trump est coupable non seulement pour avoir affirmé un fait incontesté, mais pour l’avoir affirmé par rapport à un Juif (d’où l’accusation spécifique d’antisémitisme et non d’une autre forme de crime de la pensée). Mais puisque Wikipedia et Soros lui-même disent à peu près la même chose que Trump, même si c’est d’une manière plus distinguée, quel est le problème ?

Mis à part le fait que Trump s’est avéré être le meilleur shabbos-goy que le Likoud ait jamais eu (rien que le déplacement de l’ambassade américaine dans Jérusalem occupée était un acte de servilité vraiment abjecte envers Israël), décortiquons ce qui se passe vraiment ici.

Je soutiens que malgré toute la propagande officielle, tout le monde sait que la liberté d’expression dans l’Empire anglosioniste est strictement limitée : dans les colonies européennes par des amendes et des incarcérations et aux États-Unis au moyen d’hystéries politiques. Les méthodes sont différentes (pas de Premier amendement en Europe !), mais le but est le même : salir, discréditer et finalement faire taire les coupables de crime de la pensée.

Examinons deux exemples.

Ensuite, des anti-antisémites partout

D’abord, jetez un coup d’œil à cet article sur les « théories du complot » dans lequel l’auteur écrit (c’est moi qui souligne) :

« L’expressionthéorie du complot’ est utilisée pour décrire toute théorie qui tente de décrire des événements observés comme le résultat d’une conspiration secrète. Le terme est souvent utilisé de manière méprisante, ce qui implique que la théorie est invraisemblable. Bien que les théories du complot (particulièrement celles visant les juifs et les banquiers) remontent à des centaines d’années, l’utilisation la plus précoce de la ‘théorie du complot’ n’a pas toujours eu cette connotation, bien que les théories soient assez souvent rejetées d’une autre manière. Habituellement, c’est simplement une façon de différencier la théorie par rapport à d’autres – comme dansla théorie qui se trouve être un complot’»

Par conséquent, puisque discuter des Juifs et des banquiers est une « théorie du complot » typique et puisque les termes « théorie du complot » sont souvent utilisés avec mépris, impliquant qu’elle est invraisemblable, il n’est donc pas plausible que les Juifs et les banquiers aient une importance politique ou historique spéciale. Mais si c’est si invraisemblable, pourquoi ces théories visent-elles particulièrement les Juifs et les banquiers et non les bouddhistes et les boulangers ? Où est la logique ?

Le second exemple est tiré d’un article intitulé « Holocaust denial and 9/11 ‘Truth’ : Two crappy tastes that taste crappy together », [Le déni de l’Holocauste et la « vérité » sur le 9/11 : deux thèmes pourris qu’il est inconvenant d’associer], qui dit clairement (c’est moi qui souligne) :

« La négation de l’Holocauste marche main dans la main avec le mouvementVérité’ sur le 9/11. Pensez-y. Chaque fois que vous voyez des tenants de la vérité sur le 9/11 affirmer qu’il y a eu une sorte de ‘complot’ pour faire s’effondrer les tours du World Trade Center, qui fait inévitablement partie du complot dans la vision paranoïaque du mouvement ‘Vérité’. Eh bien, généralement il y a le gouvernement étasunien, mais le Mossad serait presque toujours impliqué. Oups, les Juifs. »

C’est intéressant. Supposons que les tenants de la vérité sur le 9/11 pensent pour la plupart qu’Israël était impliqué dans cette attaque sous faux drapeau (je le crois !), comment se fait-il que cela signifie que « les Juifs » ont fait quelque chose de mal ou, plus encore, que cela implique la négation de ce qu’on appelle l’Holocauste ? En plus, comment le fait d’arriver aux conclusions de base inévitables de la physique newtonienne du niveau de l’école secondaire à propos de la tour WTC7 sous-entend que quelqu’un est paranoïaque ? Peut-être l’étiquette de « paranoïaque » devrait être appliquée à tous ceux qui ne font pas confiance au gouvernement ?

Ne serait-il pas beaucoup plus approprié d’appliquer ce terme à ceux qui réussissent à voir un rapport entre les « gueulardes d’ascenseur stipendiées » et l’antisémitisme ou les doutes à propos du 9/11 à la négation de l’Holocauste ? Je pense que les fous paranoïaques sont les anti-antisémites qui font en permanence deux choses très dangereuses :

  1. Nier vigoureusement des faits évidents et connus ;
  2. Accuser d’antisémitisme toute personne critique.

Qu’on ne s’y trompe pas, ceux qui sont encore capables de pensée critique contesteront les récits officiels sur le 9/11 ou sur l’« Holocauste ». Je dirais même que tout livre d’histoire, bon et intéressant, sera révisionniste, au moins à un certain point. Une bonne historiographie devrait toujours contester les croyances largement acceptées, n’est-ce pas ?

Dans une société mentalement saine et politiquement libre, les contestations de la théorie du complot officielle sur le 9/11 (parce que, ne vous méprenez pas, le conte de fées officiel sur le 9/11 est littéralement une « théorie du complot » [Des complots dans des complots, commençant même par le complot « officiel » de Ben Laden complotant dans une grotte, NdSF] et une théorie très improbable et très invraisemblable !) ou du récit officiel sur l’ « Holocauste » devraient être traitées exactement comme « il n’y a pas eu d’hommes sur la lune » ou « la terre est plate » ou toute autre théorie qui devrait être discutée sur la base de ses mérites et non comme une forme de crime de la pensée, monstrueuse et mauvaise. Hélas, nous le savons tous, c’est loin d’être le cas aujourd’hui.

Personnellement, je ne reproche pas aux « Juifs » cet état de fait, ne serait-ce que parce que je n’utilise même pas une catégorie comme « les Juifs », que je considère comme vide de sens. Mais je rejette la responsabilité de cette situation sur la juiverie organisée ; c’est-à-dire les principales organisations juives/sionistes qui, par leurs efforts constants pour fixer des limites aussi ridicules à la liberté d’expression (et même à la libre pensée !) créent un monde dans lequel deux camps principaux s’affrontent :

  • D’abord les doublement bien-pensants, totalement zombifiés par les médias de masse et qui ont totalement intériorisé toutes les caractéristiques de la double-pensée qu’Orwell a décrite dans son livre 1984 : ces zombies au cerveau lessivé peuvent accepter et croire deux choses mutuellement contradictoires sans aucune dissonance cognitive.
  • Ensuite, les fauteurs de crimes de la pensée qui osent douter des opinions officielles sur n’importe quel sujet et qui, une fois qu’ils ont réalisé qu’on leur a menti sur presque tout ce qui est important, se méfient et contestent même les idées les plus largement et les plus systématiquement propagées.

Bien entendu, cette situation est mauvaise pour les non-juifs, mais elle est encore pire pour les Juifs parce qu’elle crée un mécanisme extrêmement dangereux : en imposant rageusement des limites aussi scandaleuses à la liberté d’expression, les organisations juives s’aliènent profondément tous ceux qui sont capables de pensée indépendante. Encore pire, une fois qu’ils commencent à doute de quelque chose, par exemple du récit officiel sur le 9/11, ils se demandent inévitablement si on leur a menti sur un autre sujet, par exemple l’ « Holocauste ». En fait, ce que cette pression à se conformer à la doxa officielle en cours, le Zeitgeist [l’esprit du temps] si vous voulez, provoque, c’est ce que j’appellerais une « réaction en chaîne des doutes », y compris des doutes très déraisonnables.

Permettez-moi de donner un seul exemple :

Après avoir lu de nombreux livres et articles à ce sujet, je trouve très peu probable que les Nazis aient utilisé des chambres à gaz et des crématoires en grand nombre. Je n’oserais jamais prétendre que ce n’est « jamais » arrivé mais, personnellement, je ne crois pas que cela se soit produit massivement (c’est pourquoi je considère que le mot « Holocauste », qui signifie « tout brûler », est un terme très trompeur). Je crois aussi que le chiffre (quasi dogmatique) de 6 millions est une énorme exagération. Pourquoi ? Parce que j’ai beaucoup lu à ce sujet, des deux côtés, et franchement, les « révisionnistes » ont des arguments beaucoup plus forts, à la fois factuels et logiques.

Cependant…

Il ne fait aucun doute dans mon esprit que les Nazis étaient des fous génocidaires et des racistes qui se glorifiaient eux-mêmes, qui ont massacré des millions de gens totalement innocents, y compris un très grand nombre de Juifs. Je crois simplement que la plupart de leurs victimes ont été assassinées par les Einsatzgruppen SS ou sont mortes de faim dans divers camps de concentration (y compris des camps beaucoup plus petits et moins connus). Est-ce vraiment moins mal que d’utiliser des chambres à gaz ou des crématoires ? Je ne pense pas. Ni ne pense que quatre, trois ou même « seulement » un million d’innocents assassinés soit mieux que six millions. Je sais que beaucoup d’autres sont arrivés aux mêmes conclusions. Mais le problème est qu’il y a aussi ceux qui, une fois qu’ils ont commencé à douter des chambres à gaz et des crématoires, ont décidé que la totalité du récit sur l’ « Holocauste » était un énorme mensonge et qu’aucun Juif n’a été visé ou assassiné par les Nazis.

J’ai observé personnellement que la grande majorité de ceux qui arrivent à de telles conclusions (totalement injustifiées) sont en effet des gens qui haïssent les Juifs et qui seraient prêts à répéter comme des perroquets toutes les insanités tant qu’elles sont anti-juives ou pro-nazies. Pas très intelligent, assurément, il n’est pas moins vrai que leur hostilité à l’égard de tout ce qui est juif ou leurs sympathies pour les Nazis ne sont pas venues de nulle part mais sont une réaction à ce qu’ils considèrent comme le pouvoir toxique et oppressif des « Juifs » sur leur pays ou leur société. Remplacez « les Juifs » par « les organisations politiques juives sionistes » et ils ont un argument valable, n’est-ce pas ? Un coup d’œil rapide mais honnête sur la politique américaine ou française le confirmera immédiatement et facilement.

Conclusion : l’antisémitisme est maintenu artificiellement en vie

Il me semble que les organisations juives et sionistes sont apparemment déterminées à se créer autant d’ennemis que possible ou, au moins, à s’aliéner le maximum de gens qui pensent. Je peux comprendre comment un sioniste enragé trouverait une telle situation utile pour l’Alya, mais est-ce vraiment bon pour les Juifs ? J’en doute beaucoup.

Est-ce la même chose pour la mentalité qui voit dans toute critique de Soros ou des banquiers juifs une manifestation d’antisémitisme ? Encore une fois, c’est bon pour l’Alya, je suppose, mais est-ce bon pour les Juifs ordinaires ? Qu’en est-il de l’application de l’étiquette de « fou » sur tous ceux qui osent remettre en question une théorie officielle ? Dans le mauvais vieux temps de l’Union soviétique, de nombreux « dissidents » ont été déclarés atteints de « schizophrénie à évolution lente » (вялотекущая шизофрения) par les psychiatres « officiels », et le « monde démocratique libre » a été scandalisé (malgré le fait que bon nombre de ces dissidents souffraient vraiment de problèmes mentaux). Est-ce vraiment profondément différent de coller l’étiquette de « cinglé » sur quelqu’un qui exprime des doutes sur une théorie officielle ?

Ce que les organisations juives sionistes essaient d’imposer au reste de la planète, c’est une immunité totale contre toute critique à l’égard de tous les Juifs (à l’exception de ceux qui sont affligés de « haine de soi », évidemment !) jointe à une détermination sinistre à écraser quiconque ose s’opposer à ces plans.

Les chances que la plupart des pays du monde acceptent jamais de telles contraintes mentales sont pratiquement nulles. Ce qui est beaucoup plus probable, c’est que la résistance à ces efforts va grandir, sans doute présentée au public comme « l’émergence d’un nouvel antisémitisme » ou quelque chose de tout aussi insipide. Et au bout du compte, il y aura toujours un puissant retour de bâton contre ceux qui ont commencé tout cela. Donc quel est l’intérêt ?

Je me demande si toutes ces organisations juives sionistes ne sont pas composées de gens tout simplement incompétents ou si provoquer plus d’antisémitisme, et non moins, ne serait pas le véritable but de ces organisations.

Quoi qu’il en soit, l’antisémitisme n’est pas quelque chose qui « existe, tout simplement ». C’est quelque chose qui doit être attisé, encore et encore. Ignoré, il s’éteindrait.

The Saker

Cet article a été écrit pour Unz Review

Traduit par Diane, vérifié par jj, relu par Diane pour le Saker francophone

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